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Pour bébé : le pouce ou la suce?
Selon le site Parents, il y a un bon nombre d’avantages pour votre poupon de sucer son pouce plutôt que sa suce.
Le premier, bien évidemment, est que votre petit a toujours son pouce à proximité, et ce, contrairement à sa suce.
Ainsi, maman et papa n’ont pas à le chercher un peu partout. Et ceux-ci ne doivent pas non plus se relever à de multiples reprises dans la nuit afin de lui redonner parce qu’il l’a perdu et que ses pleurs résonnent dans toute la demeure.
Donc, le pouce devient une source d’autosatisfaction pour bébé. Il lui fait du bien, le rassure et apaise notamment sa peine. Le deuxième avantage avec le pouce est qu’avec lui, votre petit finit inévitablement par découvrir ses autres doigts, sa main, ainsi que sa cavité buccale.
Enfin, avantages non négligeables, le pouce ne peut pas tomber dans la poussière comme la suce et s’avère bien plus économique.
Bébé et la poussée dentaire
D’après MagicMaman, en tant que mère, ce n’est souvent pas facile lorsque notre bébé commence à faire ses dents.
Alors qu’apparaît sa toute première dent et jusqu’à la première visite chez le dentiste, voici quelques conseils afin que votre petit puisse avoir un fort joli sourire.
Chez certains poupons, la poussée de dents ne cause pas d’émoi, tandis que chez d’autres, elle provoque de nombreux pleurs et d’interminables nuits sans sommeil.
Même si votre petit n’a que deux dents, il faut faire attention à celles-ci et s’habituer de manière quotidienne à les nettoyer après chaque biberon.
En opposition à ce que plusieurs pensent, il faut savoir que les dents de lait tracent la voie pour les dents définitives.
N’oubliez pas non plus qu’il est entre autres très important de choisir une bonne brosse à dents, en fonction de l’âge de votre enfant.
Si vous vous attardez à ces conseils, tous s’en porteront mieux.
Il semblerait que dès les premiers mois de sa vie, un enfant commence à présenter des signes d’intelligence surprenants et qu’il soit même capable de prouesses intellectuelles.
Le cerveau humain continue de surprendre les scientifiques, mais encore plus celui des enfants, et il regorge de mystères qui font l’objet de nombreuses études.
Deux scientifiques américaines se sont penchées sur le cerveau des bébés et ont découvert avec étonnement que dès leur plus jeune âge, les enfants démontraient des capacités intellectuelles.
Les petits seraient capables de comprendre certaines notions de physique, comme une trajectoire ou la gravité.
De plus, il a clairement été démontré dans la recherche qu’ils imitent spontanément les expressions faciales de leurs proches.
Des recherches plus poussées sont en cours, mais les experts affirment que les neurones des petits nous réservent encore bien des surprises.
Selon l’Institut national d’études démographiques (Ined) en France, la procréation médicalement assistée est devenue de plus en plus courante au pays comme dans le reste du monde.
En 2003, en France, 1 enfant sur 20 était issu de cette technique. En 2008, on parle de 200 000 bébés. Maintenant, dans une classe de maternelle, il n’est pas rare d’y trouver un ou deux enfants par classe nés par fécondation in vitro (FIV).
Toutefois, les experts commencent à s’interroger. Une des raisons principales de ce phénomène est le fait que les couples sont de plus en plus impatients. Ils choisissent de se rendre dans un centre de procréation médicalement assistée s’ils ne sont pas parvenus à concevoir un enfant naturellement dans leur première année d’essais. Le personnel médical parle même de surmédicalisation de l’infertilité. Les couples y auraient recours trop rapidement.
Trente mille couples se rendent dans des établissements annuellement, et un couple sur dix suivra le traitement contre l’infertilité.
On remarque également que 30 % des femmes qui choisissent cette méthode ont plus de 38 ans. Les raisons sont nombreuses, allant de la femme en famille recomposée jusqu’à celle qui a voulu privilégier sa carrière avant de connaître la maternité. Par contre, elles diminuent leurs chances de tomber enceintes. Selon certains, elles attendent trop longtemps. Notons que seulement le quart des fécondations in vitro se terminent par un bébé.
C’est une nouvelle tendance depuis un moment à Hollywood, de nombreuses vedettes adoptent à l’international. Alors que des rumeurs veulent qu’Angelina Jolie et Brad Pitt songent à une nouvelle adoption, voilà que Scarlett Johansson et son mari Ryan Reynolds sont les dernières célébrités à avoir fait part de leur intérêt pour une adoption à l’étranger.
Mais selon Daniela Reale de l’organisme Save the Children, cette vie glamour n’est pas ce qu’il y a de mieux pour un enfant. « Il a été prouvé que le meilleur endroit pour un enfant est son pays d’origine », dit-elle au Daily Express.
Cela est toutefois discutable selon le professeur en travail social Victor Groza. Selon lui, les conventions devraient privilégier les adoptions nationales, mais cela est régulièrement contourné, notamment dans le cas de célébrités en raison de leur prestige.
Même si pour ces enfants il y a d’énormes avantages financiers, M. Groza affirme qu’ils échapperont à leur identité culturelle et n’auront pas un sentiment d’appartenance à un groupe apparenté. De plus, pour le pays qui accorde ces adoptions, cela représente de nombreuses pertes, puisque les enfants sont les ressources futures du pays.
Par contre, l’adoption internationale est une question de vie ou de mort dans certains cas, selon Becky Fawcett de HelpUsAdopt.org. :« Adopter un enfant dans un orphelinat à l’étranger signifie que cet enfant aura un avenir ». Donc, les avantages l’emportent.
Une équipe de chercheurs britanniques de l’Université Oxford vient de découvrir que la faiblesse musculaire et une mauvaise coordination associées à certains rares cas héréditaires de diabète néonatal trouvent leur origine dans le cerveau, et non pas dans les muscles comme on le croyait.
Selon la revue Science, ce type de diabète chez les nouveau-nés se caractérise par des muscles faibles et un retard de développement. Cela est causé par une mutation du canal KATP de la membrane cellulaire qui régularise le potassium et les sécrétions d’insuline, ce qui entraîne le diabète.
C’est après avoir observé des souris que les chercheurs ont découvert que les problèmes de coordination causés par le diabète résultaient d’une mauvaise activation du canal dans le système nerveux central et non pas dans les muscles.
On souhaite que cette découverte puisse mener à des diagnostics plus précis et des thérapies plus sécuritaires pour les tout-petits.