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Une ossature plus fragile chez les prématurés

Une recherche, dont les résultats complets sont publiés dans la version en ligne de PLoS Medicine, nous apprend que les bébés prématurés et ceux dont le poids était inférieur à la moyenne à la naissance ont une densité osseuse moindre à l’âge adulte.

Le Dr Petteri Hovi et ses collègues de l’Institut national de santé publique d’Helsinki, en Finlande, ont travaillé avec 144 adultes âgés de 18 à 27 ans pour en arriver à cette conclusion.

En raison de leur densité osseuse moins élevée, ces sujets deviennent plus susceptibles de souffrir d’ostéoporose à l’âge adulte, condition qui les rend plus vulnérables aux fractures.

Les chercheurs recommandent donc de respecter les recommandations quotidiennes en matière de vitamine D, d’éviter l’alcool et la cigarette et de faire plus d’exercice physique.

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Un nouveau test pour les anomalies congénitales

Une récente étude, dont les résultats complets sont publiés dans The Guardian, nous apprend qu’un test sanguin s’avère efficace pour détecter des anomalies congénitales comme la trisomie 21, chez le foetus.

Sans risque pour la future mère et son enfant, le test permet d’analyser l’ADN des cellules foetales.
 
Cette nouvelle technique permettrait ainsi de remplacer des tests plus dangereux utilisés pour détecter les malformations, telle l’amniocentèse, qui consiste à prélever du liquide amniotique lors de la grossesse.
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Une bactérie à l’origine des coliques

Selon le Dr J. Marc Rhoads, professeur à la faculté de médecine de l’Université du Texas à Houston, la bactérie Klebsiella, que l’on trouve dans la bouche, la peau et les intestins, pourrait causer les coliques chez les bébés.

« Nous croyons que cette bactérie déclenche une réaction inflammatoire causant une inflammation des gencives », a précisé le Dr Rhoads. Ce dernier ajoute que les coliques dont souffrent les enfants mènent souvent à d’autres troubles gastro-intestinaux à l’âge adulte, notamment le syndrome du côlon irritable.

Dans cette étude, dont les résultats sont publiés dans la revue médicale Journal of Pediatrics, on apprend que la bactérie Klebsiella a été détectée chez tous les bébés qui souffrent de coliques.

De plus, les poupons dont les intestins sont colonisés par une plus grande variété de bonnes bactéries semblent épargnés par ces douleurs spasmodiques du côlon.

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Le poids à la naissance serait associé à la leucémie

Les auteurs d’une étude publiée dans l’International Journal of Cancer, le Dr Robert W. Caughey de l’école de santé publique de Harvard et la Dre Karin B. Michels du Brigham and Women’s Hospital à Boston, ont découvert un lien entre le poids à la naissance et la leucémie.

Par rapport à un poids normal à la naissance, un poids trop élevé augmente les risques d’une leucémie de 35 %. Le risque passe à 23 % pour une leucémie lymphatique aigüe et à 40 % pour une leucémie myéloïde aigüe. Pour chaque kilo de plus, on note une augmentation de 1,18% des risques de l’ensemble des leucémies.

Quant à ceux qui ont un poids sous les normales à la naissance, les chercheurs ont noté une augmentation de 49 % du risque de leucémie myéloïde aigüe.

Ces conclusions sont basées sur l’analyse de 32 études incluant 16 501 cas de tous les types de leucémie, 10 974 cas de leucémie lymphatique aigüe et 1 832 cas de leucémie myéloïde aigüe.

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Les phtalates et le poids des nouveau-nés

Une étude, qui sera bientôt publiée dans The Journal of Pediatrics, s’est penchée sur l’exposition aux phtalates, une gamme de produits chimiques que l’on retrouve dans les plastiques, sur les nouveau-nés.

Selon l’auteur principal de cette recherche, le Dr Renshan Ge, on a trouvé la présence de phtalates dans le cordon ombilical chez 70 % des poupons participants à ces travaux, particulièrement chez ceux dont le poids à la naissance était inférieur à la moyenne.

« Les résultats démontrent qu’une exposition aux phtalates est omniprésente chez les bébés et ce phénomène peut maintenant être considéré comme un facteur de risque environnemental pour la naissance de bébés de petits poids », a souligné l’auteur.

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L’allaitement et les performances scolaires

Selon une recherche publiée dans la revue Journal of Human Capital, l’allaitement pourrait aller de pair avec de meilleurs résultats scolaires.

En effet, la recherche menée par le Dr Joseph Sabia et son équipe de l’Université américaine à Washington a démontré que les enfants allaités réussissent mieux à l’école que les autres qui ont été nourris au biberon avec des formules.

Le chercheur a travaillé pendant plusieurs années avec 126 frères et sœurs de 59 familles et a découvert que pour chaque mois d’allaitement, les résultats scolaires grimpaient de 1 % et que la probabilité de fréquenter l’université augmentait de 2 %.

« Ce n’est qu’un autre bienfait de l’allaitement. Nous savons qu’il est associé à une meilleure santé, un quotient intellectuel plus élevé, mais il reste maintenant à découvrir quelles sont les implications », ont conclu les auteurs de l’étude.

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Meilleur taux de survie chez les prématurés

Une recherche menée auprès de bébés prématurés par une équipe de chercheurs de l’Université de Lund, en Suède, a démontré que le taux de survie de ceux qui sont nés à 23 semaines de gestation était de plus de 50 %.

Les scientifiques attribuent aux avancées de la néonatalogie ces données où le taux de survie a considérablement augmenté comparativement à des recherches antérieures. En effet, plusieurs d’entre elles mentionnaient un taux de survie de 6 à 26 % après un an chez les bébés nés à 23 semaines.

Le taux de survie est toutefois plus faible lorsque la naissance a eu lieu à 22 semaines, alors que la moitié des bébés décèdent dans l’heure qui suit l’accouchement. Les chercheurs ont observé que leur état ne se stabilisait que onze heures après la naissance.

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Le dodo contre la dépression post-partum

Une recherche menée par l’équipe du Dr Meir Steiner, de la clinique Women’s Health Concerns d’Hamilton, en Ontario, démontre que l’on pourrait éviter davantage la dépression post-partum chez les nouvelles mamans avec plus de sommeil.

En 2005, le chercheur a instauré un programme pour les patientes qui avaient souffert de ce trouble et qui appréhendaient une autre grossesse. Ce programme consistait à augmenter les jours d’hospitalisation à cinq pour les nouvelles mamans et leur poupon, placé en pouponnière quelques heures durant la nuit.

« L’idée est de prévenir le manque de sommeil qui semble être le pire ennemi des femmes qui présentent un risque », a expliqué le Dr Meir Steiner.

Devant le succès qu’a connu l’initiative de M. Steiner, sept centres hospitaliers de l’Ontario ont choisi de l’adopter.

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Les risques des césariennes répétitives

Les bébés dont la mère a accouché uniquement par césarienne dans le passé sont deux fois plus à risque d’être admis à l’unité de néonatalogie que ceux qui naissent par voie naturelle, après un premier accouchement par césarienne chez la mère.

Parmi les problèmes de santé observés chez ces poupons, on note des troubles respiratoires et un besoin de recevoir de l’oxygène.

« De plus, les coûts sont plus élevés pour prendre soin de la mère et son enfant qui font partie du groupe des césariennes que ceux du groupe de l’accouchement par voie vaginale », a souligné la Dre Beena Kamath de la Faculté de médecine de l’Université du Colorado à Denver.

Les détails de cette recherche se retrouvent dans l’édition de juin de la revue Obstetrics & Gynecology.

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Comment réduire l’hospitalisation des bébés

Une recherche, dont les détails se retrouvent dans le New England Journal of Medicine, mentionne que la combinaison de deux médicaments, l’épinéphrine et la dexaméthasone, diminue de 35 % les hospitalisations chez les bébés qui souffrent de bronchiolite, une inflammation des petites voies respiratoires des poumons appelées bronchioles.

La Dre Amy Plint, le Dr Terry Klassen, le Dr David Johnson et la Dre Hema Patel ont travaillé avec 800 bébés qui étaient hospitalisés en raison de l’infection respiratoire.

« Jusqu’ici, il n’y avait pas vraiment de traitement efficace contre la bronchiolite, sauf donner de l’oxygène. Pour cette étude, nous avons analysé deux médicaments utilisés pour traiter la maladie, mais on obtient une chute de l’hospitalisation quand on les combine », a expliqué la Dre Plint.