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Le bonheur contagieux de son bébé

Selon des chercheurs texans, le sourire d’un bébé provoque le même effet dans le cerveau de sa mère que le sexe et la dépendance à la drogue, rien de moins.

Pour en arriver à cette conclusion, le Dr Lane Strathearn a observé l’activité cérébrale de 28 nouvelles mamans et n’hésite pas à comparer l’effet des poupons sur leur mère à celui de la cocaïne.

À la simple vue d’une photographie de leur progéniture, leur cerveau a sécrété de la dopamine, un neurotransmetteur qui joue un rôle important dans la dépendance aux substances.

Cette découverte pourrait ouvrir la porte à d’autres recherches, notamment pour essayer de comprendre le comportement de mères abusives ou négligentes. Le mystère quant à savoir si l’instinct maternel est biologique ou simplement acquis doit aussi être percé selon le Dr Strathearn.

 

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Les raisons derrière les nausées matinales

Selon une recherche publiée dans l’édition de juillet du magazine scientifique American Naturalist, les nausées et vomissements dont souffrent certaines femmes enceintes ont pour but de protéger l’embryon.

Ce dernier est beaucoup plus fragile aux toxines et microorganismes contenus dans la nourriture lors du premier trimestre de grossesse, moment où les nausées sont plus fréquentes.

Les futures mères sont particulièrement sensibles aux odeurs de viande ou de légumes, qui provoquent souvent des hauts le coeur. Or, il se trouve que ces aliments sont aussi ceux qui contiennent le plus de parasites ou de poisons pouvant être nocifs pour leur enfant.

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La carie, due au manque de vitamine D

Selon des chercheurs canadiens de l’Université du Manitoba, il vaut mieux faire le plein de vitamine D lors de la grossesse si l’on souhaite que le futur poupon ait moins de caries, une fois adulte.

206 femmes enceintes ont participé à cette étude où l’on a mesuré le taux de vitamine D lors de leur second trimestre de grossesse. Parmi celles-ci, seulement 10,5 % d’entre elles possédaient suffisamment de cette précieuse vitamine-soleil.

Les chercheurs ont aussi observé que 21,6 % des enfants nés des participantes avaient un émail dentaire plus mince et que 33,6 % avaient déjà des caries, ce qui laisse supposer un lien significatif entre le taux de vitamine D et la santé dentaire des enfants.

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La césarienne, un facteur de risque de l’asthme

Des chercheurs norvégiens de l’Université de Bergen se sont penchés sur le lien potentiel entre l’asthme et l’accouchement par césarienne. Selon eux, cette incidence est 50 % plus élevée lorsque le poupon est né par césarienne plutôt que par accouchement naturel.

Le Dr Mette C. Tollanes et ses collègues ont analysé les registres de naissance de 1,7 million d’enfants nés entre 1967 et 1998 pour en arriver à ces conclusions.

Selon le chercheur, cette découverte pourrait s’expliquer par le fait que les bébés nés par césarienne ne sont pas exposés aux bactéries maternelles lors de la naissance, ce qui est essentiel pour favoriser le développement de leur système immunitaire.

Le Dr Tollanes avance aussi comme hypothèse que lors de l’accouchement naturel, la compression de la poitrine favorise le vidage du liquide amniotique des poumons, ce dont seraient privés les poupons nés par césarienne.

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Découverte sur la mort subite des poupons

La mort subite du nourrisson serait provoquée par un déséquilibre de la sérotonine dans le cerveau du bébé. Cette amine agit entre autres sur la coordination de la respiration et du rythme cardiaque.

Le professeur Cornelius Gross, l’auteur principal de la recherche, explique : « Les chercheurs soupçonnent depuis un bon moment le lien entre l’instabilité de la sérotonine et le syndrome de la mort subite. Mais c’est la première fois qu’on réussit à prouver cette hypothèse sur un modèle animal. »

Réalisée sur des souris, cette étude a démontré que 70 % des rongeurs décédaient avant l’âge de trois mois lorsqu’il y avait un dérèglement de la sérotonine.

Cette découverte est bien accueillie par l’Association québécoise de pédiatrie, qui rappelle que le « dodo sur le dos » est encore le meilleur moyen de prévenir le syndrome de la mort subite du nourrisson.

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Inquiétude face à la hausse des césariennes

Devant le nombre sans cesse croissant du nombre de césariennes pratiquées au pays, la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC) croit que cette tendance n’est pas sans conséquence et peut représenter des risques accrus pendant l’accouchement et les grossesses ultérieures, en plus d’exercer une grande pression sur le système de soins de santé.

Tant les médecins que les femmes enceintes devraient éviter ce type de chirurgie, à moins d’une contre-indication médicale, selon la SOGC.

« Bien que le risque individuel lié à une césarienne soit assez minime pour une femme, le taux à la hausse est sans contredit inquiétant. Nous devons nous assurer que les césariennes ne sont pas pratiquées par commodité, que les interventions sont indiquées sur le plan médical et que c’est la sécurité de la femme et de son bébé qui est au premier plan de ces décisions », a souligné la Dre Guylaine Lefebvre, présidente de l’organisme.

Soulignons qu’un accouchement sur quatre est fait par césarienne au Canada, alors que le taux est passé de 17,6 % à 26,3 % entre 1993 et 2006.

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Les périodes charnières de l’obésité

Selon des chercheurs français, l’obésité se prépare dès la petite enfance, particulièrement lorsque le bambin est âgé de 3 mois et de plus de 3 ans.

Ainsi, ce ne sont pas toutes les phases du développement chez l’enfant qui prédisposent de la même manière au surplus de poids, tant chez le garçon que la fille, concluent-ils.

C’est entre 1 an et deux ans que « la vitesse de prise de poids ne montre pas d’association avec la masse grasse ultérieure ».

Pour les chercheurs, cette découverte promet une intervention plus rapide et efficace chez les enfants pendant ces deux périodes charnières de leur développement.

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L’oméga 3, cet inconnu

Un sondage téléphonique mené par Ipsos-Reid auprès de 600 nouvelles mamans canadiennes nous apprend qu’environ le tiers d’entre elles ignore les bienfaits du DHA, un oméga 3 reconnu pour favoriser le développement cognitif et visuel chez les bébés.

« Des recherches ont démontré que le DHA (ou acide docosahexanoique) doit être présent à des concentrations élevées dans le cerveau et la rétine de l’oeil pour favoriser le développement normal, ce qui est particulièrement important chez les nourrissons », suggère le Dr Jacques Simard, pédiatre au Centre pédiatrique de Laval.

Comme le corps humain ne peut produire que de faibles quantités de DHA, l’apport quotidien provient du lait maternel pour les nourrissons. Cette quantité peut varier en fonction de la consommation, chez la mère, de sources alimentaires de ce nutriment.

Des préparations sont aussi enrichies de DHA et peuvent être proposées aux bébés qui ne sont pas allaités par leur mère.

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Un QI plus élevé grâce au poisson ?

Une recherche publiée récemment dans l’American Journal of Epidemiology annonce que des bambins âgés de trois ans ont obtenu des résultats supérieurs à des tests d’intelligence lorsque leur mère a craqué pour les poissons lors de sa grossesse.

Les chercheurs apportent toutefois un bémol à ces résultats puisque le mercure contenu dans plusieurs produits de la mer semble avoir eu l’effet inverse. Les enfants exposés à cette substance lorsqu’ils étaient dans le ventre de leur mère ont moins bien performé à ces mêmes tests.

Pour la Dre Emily Oken et ses collègues de l’école de médecine de l’Université Harvard, les femmes enceintes ne doivent toutefois pas s’abstenir de consommer du poisson lors de la grossesse en raison du mercure puisque les effets des oméga-3 sur le développement du cerveau sont notables.

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Un juste équilibre dans les menus pour enfants

Les parents qui souhaitent imposer leur régime alimentaire strict à leur marmaille devraient y penser deux fois selon des chercheurs de la Food Standard Agency.

En effet, selon la Dre Sarah Almond, les enfants qui suivent les diètes de leurs parents souffrent de carences alimentaires, ce qui pourrait nuire à leur développement.

La surconsommation de fruits et légumes n’est pas recommandée, particulièrement pour les petits de moins de cinq ans, car ces aliments, pourtant excellents pour les adultes, nuisent à l’absorption de minéraux essentiels.

Côté portion, la recherche démontre que les bambins ont besoin de repas nourrissants et qu’il ne faut pas diminuer le nombre de calories quotidiennes.