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La capacité d’empathie chez les bébés

Sur le site Medical Xpress, les résultats d’une récente recherche viennent démontrer la capacité d’empathie dès l’âge de 10 mois.

L’empathie est la capacité d’un individu à se mettre à la place d’autrui afin de comprendre leurs sentiments.

Il était précédemment dit qu’on ne pouvait pas démontrer ce type de sentiments chez les enfants de moins de 4 ans. En effet, une étude publiée en 2005, conduite par des neurobiologistes et des psychologues, prétendait que bien qu’ils puissent percevoir nos émotions, nous ne possédions aucune façon de déterminer le niveau d’empathie chez les enfants de moins de 4 ou 5 ans.

Or, une plus récente recherche a maintenant démontré que les bébés pouvaient démontrer de l’empathie dès l’âge de 10 mois.

Les chercheurs ont utilisé des clips vidéo montrant différentes interactions agressives entre des formes de couleurs différentes, une s’attaquant à l’autre.

À la suite des observations, les chercheurs ont conclu : « Les bébés de seulement 10 mois arrivent à différencier les victimes et les agresseurs dans les interactions, mais aussi à montrer de la sympathie rudimentaire envers la détresse. Cette préférence simple peut fonctionner en tant que fondement d’un comportement sympathique à part entière par la suite ».

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La capacité d’empathie chez les bébés

Sur le site Medical Xpress, les résultats d’une récente recherche viennent démontrer la capacité d’empathie dès l’âge de 10 mois.

L’empathie est la capacité d’un individu à se mettre à la place d’autrui afin de comprendre leurs sentiments.

Il était précédemment dit qu’on ne pouvait pas démontrer ce type de sentiments chez les enfants de moins de 4 ans. En effet, une étude publiée en 2005, conduite par des neurobiologistes et des psychologues, prétendait que bien qu’ils puissent percevoir nos émotions, nous ne possédions aucune façon de déterminer le niveau d’empathie chez les enfants de moins de 4 ou 5 ans.

Or, une plus récente recherche a maintenant démontré que les bébés pouvaient démontrer de l’empathie dès l’âge de 10 mois.

Les chercheurs ont utilisé des clips vidéo montrant différentes interactions agressives entre des formes de couleurs différentes, une s’attaquant à l’autre.

À la suite des observations, les chercheurs ont conclu : « Les bébés de seulement 10 mois arrivent à différencier les victimes et les agresseurs dans les interactions, mais aussi à montrer de la sympathie rudimentaire envers la détresse. Cette préférence simple peut fonctionner en tant que fondement d’un comportement sympathique à part entière par la suite ».

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Les enfants du divorce et le lien paternel

Voilà de tristes statistiques. Sur le site PsychoEnfants.fr, on énumère différents facteurs menant à cette situation, issus d’une étude nommée Quand la séparation des parents s’accompagne d’une rupture du lien entre le père et l’enfant.

Les résultats lèvent le voile sur les particularités des pères qui n’entretiennent plus de contacts avec leurs enfants après le divorce. Le niveau social, la distance domiciliaire et l’âge des enfants font beaucoup varier les données.

En effet, plus haut se situe le niveau d’éducation du père, plus il a tendance à rester présent dans la vie de ses enfants à la suite de la séparation. Incidemment, le salaire joue aussi dans la balance, en montrant que les papas à faible revenu maintiennent un lien beaucoup moins important.

Alors qu’il n’est pas si surprenant d’apprendre que la distance du deuxième domicile a un impact sur les visites, la différence ne se remarque vraiment que lorsque le trajet à parcourir est au-delà de 4 heures.

Au sujet de l’âge, il est spécifié qu’un enfant de 3 ans et moins sur 4 ne voit plus du tout son père. Le nombre passe à 1 sur 7 lorsque l’enfant est âgé d’au moins 8 ans.

Selon l’Institut national d’études démographique (INED), la garde alternative ou partagée reste le meilleur moyen de ne pas couper les ponts entre les enfants et leur père.

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Prévention des dommages cérébraux chez les nouveau-nés

C’est sur le site Medicalxpress que nous apprenons cette nouvelle. À la suite d’une récente recherche faite par les spécialistes de l’Université de Manchester, il serait démontré que même les bébés souffrant de la moins sévère forme d’hyperinsulinisme présenteraient des risques de handicaps à long terme ainsi que des dommages au cerveau.

L’hyperinsulinisme est caractérisé par un taux sanguin d’insuline qui dépasse la norme et, par le fait même, abaisse le taux de glucose qui, lui, cause de l’hypoglycémie. Il s’agit en fait du contraire clinique du diabète.

L’étude a démontré qu’on dénote des signes de dommage au cerveau causé par ce phénomène chez le tiers des enfants de bas âge.

Ayant participé à la recherche, la Dre Karen Cosgrove de la Faculté des sciences de l’université déclare : « Notre nouvelle recherche prouve qu’il est important pour tous les bébés souffrant de ce mal d’être rapidement traités afin de prévenir une trop grande baisse de sucre dans le sang ».

Alors que les répercussions peuvent être très importantes, il existe cependant de très bons moyens de prévenir le tout en réajustant le taux sanguin avec la découverte hâtive du problème.

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Les nausées matinales et les antihistaminiques

Une récente étude conduite par l’équipe de Marlena Fejzo de l’Université de Californie à Los Angeles fait état de nouveaux liens entre les nausées matinales et certains troubles observés chez les nouveau-nés.

Les femmes souffrant d’hyperemesis gravidarum, sévères nausées et vomissements lors de la grossesse, ont plus tendance à pencher vers l’utilisation d’antihistaminiques afin de trouver le sommeil malgré leurs symptômes.

Celles qui sont atteintes se trouvent parfois à être gravement malades tout au long de leur grossesse, n’arrivant pas à se nourrir. À force de vomir, certaines se défoncent les tympans, se fêlent des côtes, et d’autres ont même eu un décollement de la rétine ou l’œsophage déchiré. Voilà, entre autres, pourquoi la prise de ce type de médicaments est si populaire.

Cependant, la majorité des futures mamans ne sont pas au courant des risques pour l’enfant à naître. Fejzo mentionne notamment des problèmes de naissances prématurées, de bébés avec un poids sous la moyenne, ce qui peut causer d’autres problèmes.

En effet, les nourrissons nés à moins de 37 semaines risquent d’avoir plus de problèmes liés à la respiration et à la nutrition. Les recherches se poursuivent maintenant pour déterminer si l’hyperemesis gravidarum peut avoir des répercussions plus tard dans la vie des bébés des mères atteintes.

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La grossesse : moment de quiétude

Cette conclusion faite suite à une enquête effectuée par la Fondation PremUp avec l’institut Opinion Way sur la perception de la grossesse. Le seul bémol récurant serait en fait le manque d’accompagnement de la part du système de santé.

60 % des femmes interrogées se sont dites déçues du manque de suivi de la part des médecins et des sages-femmes. Celles ayant reçu des conseils disent n’avoir été informées que des sujets communs tels que les comportements à risque (consommation d’alcool, cigarette, nourriture).

Moins de 4 futures mamans sur 10 ont été mises au fait des grossesses pathologiques.  Il s’agit de grossesses au cours desquelles survient un événement qui comporte un risque, soit pour la mère ou pour l’enfant, ou encore pour les deux.

Ce qui pourrait néanmoins expliquer la quiétude ressentie par la majorité d’entre elles pourrait être causé par un déni face à la grossesse pathologique. Certaines femmes refusent même des soins à privilégier pour des raisons financières.

Plus d’un tiers des femmes ne considèrent pas la grossesse comme une période à risque et sentent qu’elles peuvent à peu près tout faire comme avant.

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L’impact de l’allaitement sur le cerveau

Une récente recherche conduite par les spécialistes de l’Université Brown démontre de nouvelles preuves concernant les bienfaits de l’allaitement sur le développement du cerveau des bébés.

À la suite de l’observation par résonnance magnétique, les améliorations ont été particulièrement notées dans les zones responsables du langage, des émotions et des aptitudes cognitives.

Alors que ces résultats étaient déjà connus chez les adolescents et les adultes, les chercheurs ne savaient toujours pas vers quel âge les effets bénéfiques se produisaient.

Grâce à cette étude, il est désormais clair que les bienfaits se produisent très tôt dans le développement de l’humain, soit avant l’âge de 2 ans. De plus, il est maintenant prouvé que plus longtemps un enfant est allaité, plus son cerveau se développe rapidement, et que les résultats s’améliorent nettement lorsque l’enfant est exclusivement nourri de lait maternel.

En effet, si le régime de bébé contient également de la formule maternisée, son développement s’en retrouve affecté.

Le Dr Deoni et son équipe ont ensuite confirmé leurs données d’imagerie avec une série de tests cognitifs de base sur un groupe d’enfants plus âgés ayant été allaités. Ces essais ont révélé une performance accrue du langage, de la réception visuelle et dans les performances de motricité.

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Pas de codéine pour les moins de 12 ans

C’est par voie d’un communiqué que Santé Canada émet cette recommandation.

Alors que le but recherché avec la prise de codéine est sa transformation en morphine, certaines personnes qui possèdent un métabolisme très rapide la transforment trop rapidement et se retrouvent en surdose de morphine.

Dans des cas, heureusement rares, mais non moins importants, des enfants se sont vus souffrir de graves effets secondaires, et certains autres sont décédés à la suite de l’absorption de cette substance, que ce soit par prise directe ou par le lait maternel.

D’ailleurs, après le décès d’un nourrisson alors que sa mère prenait de la codéine et du paracétamol en août 2007, la Food and Drug Administration a lancé une mise en garde sur le danger d’un traitement par codéine au cours de l’allaitement.

À noter que cet opiacé se retrouve dans plusieurs antidouleurs sirops antitussifs, tant en vente libre que sur ordonnance. Alors qu’il semblerait que les étiquettes des produits en vente libre qui en contiennent avisent déjà de ne pas en administrer aux enfants, l’agence fédérale travaille maintenant à revoir celles des produits vendus sous ordonnance avec les fabricants afin d’émettre une mise à jour.

 

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Gérer les souvenirs de bébé

Alors que certains parents garderont vêtements, dessins, jouets, doudous, dents de lait et mèches de cheveux, il n’est pas rare de se retrouver avec un sous-sol rempli de boîtes de souvenirs.

Afin de démêler le tout, voici certains conseils pratiques fournis sur le blogue The Bump.

On y suggère de conserver l’annonce de naissance, si vous en avez envoyé une. Il s’agit d’un faire-part envoyé à vos proches comprenant des détails de l’arrivée de bébé. Bien sûr, les articles favoris de vos enfants. Les couvertures et animaux en pluche sont communs. Certains parents créent de nouvelles choses à partir des certains de ces articles, comme des couvertures avec les vêtements ou encore des taies d’oreiller avec les couvertures trop abîmées.

La blogueuse suggère aussi de se défaire du bracelet d’hôpital. Alors qu’elle y a tenu pendant longtemps, elle s’est ensuite demandé pourquoi elle ne s’en débarrassait pas, alors qu’elle avait une tonne de photos de l’évènement et qu’après tout, il ne s’agissait en fait que d’un affreux morceau de plastique gribouillé de stylo. Mais certaines mères y tiendront. Le choix reste à vous.

Même chose pour les vêtements, dessins, cartes, etc. À moins de conserver les habits pour un futur bébé, il ne sert en effet pas à grand-chose de les garder.

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Les mères prêtes à faire moins d’argent

Une étude menée en Angleterre a démontré que plus de la moitié des mères seraient prêtes à diminuer leurs revenus afin d’équilibrer leur mode de vie.

Alors que tous les emplois ne permettent pas nécessairement une flexibilité jugée nécessaire par les mères, plusieurs viennent à choisir le travail à temps partiel ou à partir de la maison.

Les défis d’une mère travaillante sont nombreux. Entre autres, elle prend souvent la responsabilité de son enfant malade, des rendez-vous médicaux et scolaires, et se retrouve souvent à devoir négliger des heures de travail.

Sur FemaleFirst, il est noté que les deux tiers des mères anglaises auraient déjà vécu des cas similaires. C’est la chef des ventes au Royaume-Uni pour la compagnie de vêtements suédoise me & i, Pernilla Kemp, qui a commandé cette recherche.

À la réception des résultats, elle a confié : « Le fait que plus de la moitié des femmes interrogées disent qu’elles accepteraient une baisse de salaire afin d’équilibrer leur vie parent-travail démontre le désir des mères pour cet équilibre et à quel point nous en sommes encore loin ».

« Alors que nous avons vu une augmentation du nombre de mamans qui se taillent une carrière alternative pour eux-mêmes et leurs enfants, il y a encore beaucoup de mamans dont la situation de travail a très peu changé et qui sentent que l’équilibre travail-vie n’est rien d’autre qu’un mythe. »