Catégories
Art de vivre

On dirait que mon corps ne sait pas accoucher

Quand j’entends parler d’accouchement, la même phrase revient toujours : le corps de la femme sait comment accoucher, c’est inné, voire même fondamental. Alors, comment se fait-il que mon corps agisse comme une poule pas de tête quand j’accouche? Je fais des bébés «petits formats», dans les six livres/ 20 pouces; ça ne devrait pas être si compliqué que ça!

Mes accouchements ne se déroulent pas comme prévu. Mes deux filles ont fait une bradycardie pendant le travail; une plus légère et l’autre plus sévère. Quand est enfin venu le temps de pousser, d’autres problèmes sont survenus. J’ai eu extrêmement de difficulté à pousser; je ne pousse vraisemblablement pas de la bonne façon pour faire descendre le bébé. C’est comme si je forçais à l’inverse de ma poussée et je n’ai aucune idée de comment je fais ça! Il me faut un certain temps pour bien pousser et même lorsque je réussis à (enfin) trouver le bon beat, chaque poussée peine à faire descendre le bébé suffisamment. On se rend à l’évidence : la ventouse est nécessaire. On me prévient qu’il est fort possible qu’ils doivent se servir de forceps pour sortir mon bébé; et c’est d’ailleurs ce qui s’est passé à mon premier accouchement. J’ai besoin de toute l’aide nécessaire pour accoucher, dont d’avoir deux médecins apparemment, puisque ça s’est produit à mes deux accouchements.

Je n’invente rien, même mon médecin me l’a dit! À notre dernier suivi, il a relu les notes de l’accouchement et m’a dit que j’avais de la difficulté à accoucher, pour ne pas dire que je (mon corps) ne sais pas accoucher! Une chance que je donne naissance à notre époque, parce que même un siècle plus tôt, je crois que je n’aurais peut-être pas survécu à mon premier accouchement. Ne partez pas en peur, je n’en veux pas à mon médecin de m’avoir dit ça, j’ai même une très belle relation avec lui. Il ne fait pas dans le fla-fla et on a assez confiance l’un envers l’autre pour se dire ce genre de choses! Je le sais, je le sens; mon corps fait n’importe quoi lors de mes accouchements. Lorsque mon médecin a mis les mots sur ce que je pensais tout bas, j’ai ri.

J’aurai probablement toujours de la difficulté à accoucher; c’est comme si mon corps ne retient rien des expériences précédentes. Je suis faite comme ça et je ne peux pas changer. Au moins, ça me fera toujours de drôles d’histoires à raconter!

Avez-vous aussi l’impression que votre corps ne sait pas accoucher?

Catégories
Sport

Un 4e enfant à 89 ans pour Bernie Ecclestone!

Ce matin, c’est un article du Daily Mail qui attire l’attention.

Bernie Ecclestone, multi-milliardaire et ancien propriétaire de la F1, a 89 ans. Il s’agira de son quatrième enfant… un premier garçon!

Cette fois, il sera papa avec son épouse Fabiana Flosi, 44 ans…

Trois mois après la naissance de son enfant, Ecclestone célébrera son 90e anniversaire de naissance.

Il a déjà trois enfants : Deborah (65 ans), Tamara (35 ans) et Petra (31 ans). Deborah est issue d’un premier mariage et les deux autres, d’un second.

Deborah a donc 21 ans de plus que l’actuelle épouse de son père… et elle attend un petit frère durant l’été.

Catégories
Divertissement

Rihanna prête à avoir un enfant

La vedette native de la Barbade a fait ces révélations dans la dernière édition britannique du magazine Vogue.

La chanteuse de 32 ans affirme qu’elle n’a pas de relation sérieuse avec un homme, mais que cette situation ne stopperait en rien son envie de goûter à la joie de la maternité.

Elle ne recherche donc pas un homme à tout prix.

«La seule chose importante est le bonheur, c’est la seule façon d’avoir une relation saine entre les parents et un enfant. C’est la seule chose importante pour élever un enfant dans l’amour»

Rihanna souhaite même fonder une famille nombreuse.

«Je vais avoir des enfants. Trois ou quatre sûrement».

La chanteuse a fait plaisir à ses fans en collaborant à la chanson «Believe it» du groupe canadien PartyNextDoor dans les derniers jours.

Elle affirme qu’il ne s’agit que d’un amuse-gueule, car elle souhaite lancer un nouvel album très bientôt. 

Le dernier album de Rihanna était «Anti», paru en 2016.

Photo : Cover Images

Catégories
Sport

La famille Price devrait s’agrandir encore

Angela Price, l’épouse de Carey Price, a tenu une séance de questions-réponses avec ses abonnées Instagram.

L’un (ou l’une) de ses abonnés lui a demandé si elle comptait avoir d’autres enfants.

Angela a répondu qu’elle prendrait tous les bébés, tellement elle les aime.

Elle a ensuite avoué que Carey et elle aimeraient avoir un ou deux autres enfants. Lorsque Carey mettra un terme à sa carrière, le couple aurait aussi l’intention d’adopter au moins un enfant. Peut-être plus?

(Crédit: Instagram)

Angela a également confié à un autre internaute qu’elle songeait à vivre aux États-Unis ET au Canada après la carrière de Carey. Une maison pas trop loin des parents de Price dans l’ouest canadien et une autre près des parents d’Angela dans l’État de Washington.

Catégories
Potins

La famille de Tobie Bureau-Huot s’est agrandie!

Malgré les temps incertains des dernières semaines, il est important de se rappeler que la vie est pleine de côtés positifs. Par exemple, la naissance d’un enfant; il n’y a rien de plus magique, et ça, Tobie Bureau-Huot peut l’attester. L’animateur a en effet accueilli son deuxième enfant! C’est avec bonheur qu’il a partagé la nouvelle à ses abonnés ce mardi.

C’est au mois de septembre dernier que le papa de Romane a annoncé qu’elle allait être grande soeur d’un petit frère ou d’une petite soeur avec seulement 17 mois d’écart. Le sexe du bébé n’est toutefois plus un mystère, et c’est le coeur heureux que le papa a dévoilé compté maintenant un petit garçon dans la famille!

« Les Lavigne-Huot sont maintenant un QUATUOR! Le beau Albert, aussi chevelu que dodu, est arrivé le 12 mars. Inutile de vous dire qu’on s’en souviendra longtemps. Réclusion non pas forcée, mais tout naturellement embrassée. Merci mille fois au merveilleux personnel de l’hôpital Fleurimont pour l’accompagnement », a écrit Tobie Bureau-Huot dans le message qui accompagnait une magnifique photo de sa conjointe Natacha Lavigne tenant le petit nouveau.

On craque littéralement pour le prénom du poupon qui risque d’avoir une binette aussi mignonne que sa soeur!

Encore une fois félicitations à la famille Lavigne-Huot!

Voir cette publication sur Instagram

Une publication partagée par tobiebh (@tobiebh) le 17 Mars 2020 à 7 :57 PDT

En coulisses

Psst : On a bien hâte de voir de nouvelles photos de famille des Lavigne-Huot! Non, mais, regardez-les!

Voir cette publication sur Instagram

Et dire que dans 3 semaines, nous serons 4 👨‍👩‍👧‍👦 📷 @maggieboucherphoto

Une publication partagée par tobiebh (@tobiebh) le 19 Févr. 2020 à 3 :07 PST

Catégories
Potins

Geneviève Tardif se confie sur son premier trimestre difficile

Le couple de sportifs Charles Hamelin et Geneviève Tardif ont annoncé à l’automne dernier qu’ils attendaient leur premier enfant. Cette merveilleuse nouvelle est venue après que Charles a demandé en mariage d’une manière féerique Geneviève et que les deux ont achetés une première maison ensemble. Plus récemment, on a également appris qu’ils attendaient une fille, ajoutant ainsi beaucoup d’excitation à la venue de leur bébé. Toutefois, au cours du premier mois, le couple de futurs parents a cru au pire scénario. Ils se sont confiés sur ce gros moment de stress au 7 Jours.

« À 12 semaines, en rentrant à la maison après le travail, je me suis mise à saigner. Comme c’est notre premier bébé, tout est inconnu, alors on a vraiment paniqué. On a appelé un ami de la famille qui travaille à l’hôpital Maisonneuve-Rosemont et, heureusement, on a été en mesure d’aller passer une échographie d’urgence très rapidement. Quand j’ai entendu le coeur du bébé, que le médecin m’a expliqué que c’était un léger décollement du placenta et que, moyennant du repos, la grossesse suivrait son cours, je me suis effondrée en larmes. J’ai vraiment pensé pendant un moment que je faisais une fausse couche », a raconté Geneviève au magazine.

Maintenant dans son troisième trimestre, Geneviève assure que sa grossesse se passe bien. Cela ne l’a toutefois pas empêché de connaître un premier trimestre difficile. Elle se sentait souvent fatiguée, à un tel point qu’elle faisait parfois une sieste dans sa loge. « Je me sentais constamment comme si j’étais sur un bateau », a-t-elle ajouté.

Par chance, c’est chose du passé! Reste plus qu’à attendre la mignonne binette de leur petite fille!

En coulisses

Psst : Le ventre arrondi de Geneviève prend de l’expansion, tout comme le sourire du couple; ils rayonnent de bonheur!

Voir cette publication sur Instagram

Catégories
Potins

Frédérique Dufort et Jérome Couture accueillent leur premier enfant

C’est dans une publication sur Instagram que la comédienne Frédérique Dufort a annoncé la naissance de son adorable poupon. Sous la plus mignonne des photos, où elle nous a fait découvrir son joli minois, elle a annoncé : 

« Il était une fois… Nous sommes arrivés à deux et nous sommes repartis à trois ».

Il est à noter que le chanteur Jérôme Couture et sa belle n’ont toujours pas dévoilé le sexe de leur bébé. Comme l’indique une publication Instagram antérieure, le couple avait décidé d’attendre à la naissance pour le découvrir. En effet, le 26 janvier dernier, Frédérique Dufort avait publié sur son compte Instagram un moment touchant en dévoilant sa belle bedaine toute ronde : « Pour le sexe du bébé, il faudra attendre de lui voir le bout du nez… »

Rappelons que les amoureux avaient annoncé qu’ils attendaient un premier enfant à travers un clip du chanteur. Ils avaient confirmé être en couple à l’automne 2018, après près d’un an de rumeurs.

On leur souhaite tout le bonheur du monde et on attend avec impatience de savoir si les heureux parents vont nous en dévoiler un peu plus sur cet heureux événement! C’est à suivre…

Catégories
Art de vivre

Un 2e enfant plus facile que prévu

Ceci se veut un message d’espoir à tous ceux et celles qui souhaitent avoir plus d’un enfant, mais qui sont déjà un peu découragé.e.s par la tâche monstre d’en élever un seul. On m’avait tellement prévenue qu’un deuxième enfant est un CATACLYSME (« Si tu penses qu’avoir un enfant, c’est difficile, attends d’en avoir un deuxième! »), que finalement, je trouve ça vraiment plus facile que prévu.

Mon premier avait 21 mois à la naissance de ma deuxième. Assez rapprochés, donc. Pourtant, l’adaptation s’est faite assez rapidement. Les six premières semaines ont été INTENSES, mais après ça, on dirait qu’on a tous trouvé notre nouveau rythme et depuis, ce n’est que du bonheur. 

En fait, je réalise que d’avoir un deuxième enfant, pour moi, c’est juste difficile parce que c’est un bébé naissant. Les nuits trop courtes, les boires interminables, les poussées de croissance, le stress… Les mêmes difficultés qu’au premier, finalement. Oui, on manque un peu plus de sommeil et on a moins de pauses, mais on reçoit aussi le double d’amour, alors ça compense largement.

Surtout, j’ai l’impression d’être plus compétente qu’au premier. Je suis moins stressée, j’ai de l’expérience, je suis déjà habituée à ne pas dormir (mon fils a commencé à faire ses nuits un mois avant mon accouchement), mais surtout, en regardant mon plus vieux, je sais que ça va devenir tellement plus facile bientôt

Au fil des mois, j’ai établi quelques trucs pour m’en sortir (et j’en ai appris certains dans des conférences sur le sujet) et maintenir l’équilibre familial. Évidemment, ça dépend toujours de la situation familiale (mettons que d’avoir un chum/père très présent, ça aide pas mal) et de la personnalité des enfants, mais voici ce qui fonctionne pour nous, pour l’instant :

Mon chum va porter mon plus vieux à la garderie avant d’aller au travail

Ça me permet de continuer de dormir avec ma fille le matin et de pouvoir me lever à notre rythme la semaine.

La fin de semaine, je me lève avec mon plus vieux

Ça permet à mon chum de pouvoir dormir un peu à son tour et ça me donne une bonne heure ou deux de temps de qualité, seule avec mon fils.

Je fais participer mon fils à TOUTES les tâches

Changer la couche de ma fille, cuisiner, étendre le linge, etc. À 2 ans, mon plus vieux ne demande qu’à être pris au sérieux, alors c’est deux pierres d’un coup : il se sent important et j’avance ma liste de tâches.

Je continue de traiter mes enfants également

Si mon fils se fait mal (même si ce n’est pas grand-chose) alors que ma plus jeune est en crise depuis une demi-heure, je laisse ma fille pleurer quelques minutes pour aller consoler le plus vieux. Ou bien je termine les 2-3 morceaux de casse-tête avant d’accourir auprès de ma fille qui s’est réveillée. Si mon fils frappe sa soeur, je le chicane, mais je fais aussi la même chose si sa soeur lui donne un coup de pied par inadvertance.

Elle ne se rend compte de rien et lui est satisfait par mon sens de la justice. Ça a beaucoup aidé à ce que mon fils ne fasse pas trop de crises pour avoir de l’attention (quelques-unes quand même, hein). Bref, j’essaie de ne pas oublier que même si mon fils est le plus vieux, il a juste 2 ans et est encore un bébé à bien des égards.  

Quelles sont les astuces qui vous ont permis de bien vous en tirer au deuxième enfant?

Catégories
Art de vivre

Mirianne Brûlé : « J’ai essayé les couches lavables »

Par un doux matin frette gris poche de novembre, alors que mon bébé de 3 mois dormait paisiblement, je m’apprêtais à sortir mes vidanges pour la première fois depuis que j’avais donné la vie, car normalement c’est mon conjoint qui le faisait, mais ce matin-là il était occupé à autre chose et – boom – ça m’a frappée: la poubelle à couches, une fois transférée dans ledit sac de vidanges, me semblait peser une tonne… après seulement une semaine.

Je me suis mise à calculer vite vite; environ 6-8 couches par jour, 7 jours par semaine ça donne une cinquantaine de couches par semaine, donc
200 par mois et donc 2400 couches en 1 année… Et selon Google, une couche jetable a besoin de 250 à 500 ans pour se décomposer dans un site d’enfouissement. Je me suis dit « oh mon dieu »!

J’ai donc commencé mes recherches sur le merveilleux monde des couches réutilisables/lavables. Parce qu’on va se le dire, au début, ça nous semble être un monde à part auquel on peut accéder seulement après une maîtrise en anatomie du corps de bébé et une autre en biochimie du lavage.

Il existe plusieurs sortes de couches et d’inserts, différents niveaux d’absorption et il y a les routines de lavage qui diffèrent selon le modèle de laveuse, selon l’eau, selon le détergent. Il y a aussi le décrassage, l’entreposage… Bref, au début, ça semble bien compliqué.

Je vais parler ici en tant que novice en la matière, car il y a beaucoup de personnes qui en connaissent plus que moi sur le sujet; sur internet, il y a beaucoup de parents experts qui se disent accros aux couches lavables (il existe d’ailleurs un groupe Facebook qui s’appelle « Accros aux couches lavables », si vous ne me croyez pas). Ce groupe qui porte si bien son nom m’a d’ailleurs été très utile dans mon processus d’apprentissage.

Essayer avant d’adopter

Mais avant d’investir dans un lot de couches dispendieux, j’avais envie d’essayer. J’ai lu sur plusieurs sites que les différentes marques de couches peuvent convenir ou non à la forme du bébé (s’il a des petites ou des plus grosses cuisses, un petit ou un rond bedon, etc.). Les prix diffèrent aussi selon les marques et le pays où elles ont été fabriquées; bref, c’est un investissement et un pensez-y-bien.

J’ai donc décidé de louer un ensemble de couches chez Câlins et popotin à Montréal. Oui oui vous avez bien lu, vous pouvez louer un ensemble de couches qui contient différents modèles et différentes marques. Pour une semaine, je crois que ça m’a coûté 20$ plus un dépôt de 100$ qui est redonné à la fin de la location. Ça permet d’expérimenter et d’essayer différents fits pour bien choisir et aussi voir si on est à l’aise avec le lavage.

Pour moi, première constatation: ce n’est vraiment pas si compliqué que ça! Il y a 3 sortes de couches – les couches à poches avec insert, les couches tout-en-un (le nom le dit: tout est là, pas d’insert à ajouter) et les couches plates (celles qu’on plie comme dans le temps de nos mères). J’ai préféré les couches à poches avec un insert à placer à l’intérieur de la poche; je trouvais ça facile, ça semblait confortable pour bébé et simple à laver et sécher. C’est aussi pratique parce qu’on peut ajuster l’insert selon l’âge de bébé.

Pour ma part, j’ai opté pour les Bum Genius (ceci n’est pas une pub!). On me demande souvent quelle marque j’utilise et je sais qu’il y en a des super belles de compagnies québécoises aussi, mais je n’ai tout simplement pas encore eu la chance de les utiliser, car j’ai acheté pour commencer un lot de 15 couches usagées Bum Genious sur Kijiji et elles sont parfaites.

Là, vous vous demandez: acheter des couches usagées, ah oui, vraiment?

Mais oui! Tout à fait! C’est encore mieux pour l’environnement, car on prolonge la durée de vie d’utilisation d’un lot de couches qui est en parfait état, mais qui n’est plus utilisé parce que le bébé a grandi. Il faut juste s’assurer que les élastiques sont encore bons et que la membrane imperméable l’est toujours. J’ai dépensé 150$ pour un lot de 15 couches avec les inserts. Après, il suffit de les décrasser pour s’assurer qu’elles sont bien désinfectées et c’est tout (voir le tableau ci-dessous du groupe Facebook Accros aux couches lavables). Ce sont des « one size » donc, normalement, elles sont censées faire jusqu’à la propreté.

L’étape fatidique: le lavage

Au début, j’ai paniqué parce qu’après le premier lavage de 2 cycles, mes couches étaient encore tachées. Je me voyais mal retourner chez Câlins et popotin avec des couches tachées, mais après quelques recherches, j’ai compris que si bébé est allaité exclusivement, il est normal que les cacas tachent et le seul truc pour les faire partir, c’est de les exposer au soleil (même si c’est seulement à travers une fenêtre). Je l’ai essayé et ça fonctionne! C’est magique!

Aussi, il faut vraiment trouver une routine de lavage adaptée à notre laveuse c’est très important! D’ailleurs, sur le groupe Facebook Accros aux couches lavables, on peut publier une photo de notre laveuse et quelqu’un nous explique quelle sera notre routine de lavage adaptée. J’ai même eu droit à une routine différente pour le Costa Rica où j’habite présentement. Je fais toujours sécher mes couches et inserts au soleil, car c’est un excellent agent blanchissant. J’avoue que c’est un avantage que je n’aurais pas si j’habitais encore au Québec, surtout en plein hiver.

Crédit: Mirianne Brûlé

Autre élément important: la gestion des odeurs

Au niveau des odeurs, on met les couches souillées dans un wet bag fait exprès pour ça. Et il n’y a aucune odeur qui s’échappe du sac, sauf quand on l’ouvre, bien sûr, pour faire le lavage. Pour être honnête, oui ça pue et oui c’est un peu dégueulasse de manipuler des couches souillées de caca macéré depuis 3-4 jours, mais c’est un petit 2 minutes à retenir sa respiration. C n’est vraiment pas si pire que ça.

Ensuite, hop dans la laveuse et le tour est joué!

Et les fuites?

En ce qui concerne les fuites, pour le moment, ça ne m’est pas arrivé avec mes couches lavables alors que ça arrive souvent quand j’utilise des couches jetables. Ça veut dire que mes couches lavables sont bien ajustées et que leur niveau d’absorption est bon pour ma poulette.

Bref…

On recommande d’avoir un lot de 20-25 couches pour commencer pour avoir un bon roulement. Si on décide d’investir dans du neuf, on parle d’un investissement d’environ 500 à 800$, mais encore une fois,  ça dépend des modèles et des marques.

Moi, je n’en ai que 15, car je devais les apporter dans mes valises au Costa Rica et je trouve ça ben correct pour le moment. Je lave aux 3-4 jours et j’utilise encore des couches jetables la nuit et quand on sort, qu’on va en visite, etc. Je ne suis pas encore 100% aux couches lavables – un jour peut-être – mais je pense que la clé pour apprécier cette expérience, c’est d’y aller à son rythme et de ne pas se mettre de pression.

Pour assembler les couches (ce qui veut dire mettre les inserts dans les poches), ça me prend environ 10 minutes; je le fais pendant la sieste de bébé et ce n’est vraiment pas la fin du monde. Dans le fond, c’est juste un peu plus de lavage et de temps.

Donc, je suis contente de mon expérience et je souhaite poursuivre l’aventure des couches lavables. Je voudrais juste ajouter en terminant que ma fille ne mange pas encore; j’imagine que ce sera différent dans quelques semaines. À suivre…

Je pourrai vous faire un petit update après quelques mois d’utilisation.

Utilisez-vous des couches lavables? Comment se passe votre expérience?

Catégories
Art de vivre

10 choses qu’on ne fait plus après l’arrivée d’un bébé

Il y a quelques semaines de cela, j’étais avec une amie qui a récemment accueilli son premier enfant. En discutant, on s’est mise à rire en énumérant toutes les petites choses de la vie que nous ne faisons plus depuis l’arrivée de nos enfants. 

J’ai donc consulté les mamans qui collaborent à TPL Moms pour dresser une liste (non exhaustive), juste pour le plaisir (et pour se sentir un peu moins seul.e.s)! On s’entend que c’est aussi un peu pour rire, alors c’est à prendre avec un grain de sel, hein!

1. Prendre soin de son corps

Masque pour le visage, hydratation du corps, manucure, rasage des jambes, séchage des cheveux et brushing, passage quotidien de la soie dentaire; les étapes d’une hygiène corporelle complète perdent leur priorité.

2. Dépenser pour soi

Le budget change et les dépenses se résument à l’essentiel: épicerie, couches, produits d’hygiène, café, lait. J’exagère un peu ici, mais les virées shopping se font rares et Amazon devient rapidement un excellent allié.

3. Manger un repas chaud ou boire son café chaud

Manger ses repas température pièce et boire son café froid font maintenant partie du quotidien. Ok, il arrive de pouvoir déguster un bon café latte pendant que les enfants jouent.

4. Aller aux toilettes seule

Mission impossible! Il y a toujours un enfant qui veut se joindre à moi. Le plus drôle, c’est que ça n’arrive pas aussi souvent à papa…. je me demande pourquoi? ?

5. Faire un marathon Netflix

Les journées et soirées entières de marathon Netflix sont révolues. Pas nécessairement par manque de temps (car les enfants se couchent tôt), mais plutôt par fatigue ou par peur d’être trop épuisée le lendemain matin.

6. Lire un livre

En fait, on a le temps de lire. Les bébés dorment plusieurs heures par jour et les jeunes enfants se couchent très tôt. Le défi est plutôt d’être assez concentré.e pour lire quelques pages, sans devoir relire la même phrase – voire le même mot – au moins 3 fois. Mais, il y a de l’espoir! Le weekend dernier, j’ai réussi à lire quelques pages d’un livre pendant que mes garçons (1 et 3 ans) jouaient aux autos dans le salon. Le rêve!

7. Prendre une douche chaude tranquille pendant plus de 2 minutes 

Toute une aventure! Je me souviens des premiers mois de vie des enfants quand je me timais pour sauter dans la douche dès que bébé s’endormait. Je me savonnais à toute vitesse pour ressortir 5 minutes top chrono après, de peur que bébé se soit réveillé entre temps. Pas besoin de vous dire que la majorité du temps, bébé dormait paisiblement à mon retour auprès de lui. 

8. Prendre une marche en soirée

Avec de très jeunes enfants, les marches en soirée se font rares. Avec un bébé qui se couche entre 18h et 19h, il ne reste plus beaucoup de temps pour une promenade… sauf si votre enfant est comme mon dernier et que les promenades nocturnes en poussette vous sauvent la vie.

9. Sortir en amoureux

Soit par manque d’énergie, soit par manque de temps, on néglige souvent notre couple à l’arrivée d’un enfant. La logistique des sorties, qui implique de trouver une gardienne, rend la chose encore plus difficile. Mais ça fait tellement de bien de se retrouver en tête à tête et de parler sans se faire interrompre. Et la sortie en amoureux peut être aussi simple que se commander des sushis et les manger à la maison avec une bonne bouteille de vin lorsque les enfants sont finalement endormis.

10. Avoir le luxe d’être malade

C’est tout un luxe d’être malade. Reprendre ses énergies lors d’un vilain rhume s’avère très difficile avec les petits qui demandent notre attention. Avec de la chance, on tombe malade en semaine, les enfants sont à la garderie et on prend une journée de maladie. Mais quand ça arrive le weekend et que papa ne se sent pas très bien non plus… ohhh que les journées sont longues.

La vie change, mais ce n’est pas mal pour autant. Même si on n’a plus le temps de se faire de belles manucures, de prendre de longs bains moussants ou d’enchaîner plusieurs épisodes en une soirée, on arrive à être comblée et à se dépasser. Car, au fond, on est hot, les mamans (et les papas aussi!). Il y a des mamans qui coordonnent les rénovations de leur maison, d’autres qui obtiennent des diplômes universitaires et d’autres qui écrivent sur ce blogue. Tout ça en plus de travailler et de prendre soin de leur famille!

Ce n’est pas si mal après tout!

Qu’est-ce qui a changé depuis que vous avez des enfants?