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Chloë Sevigny attend son premier enfant à 45 ans!

L’actrice Chloë Sevigny a révélé qu’elle attendait son tout premier enfant à 45 ans! C’est le tabloïd américain TMZ qui a rapporté la nouvelle, alors qu’ils ont pris sur le vif un moment attendrissant entre l’actrice et son amoureux, Sinisa Mackovic. Ce dernier aurait caressé le ventre arrondi de Sevigny avant de l’embrasser avec amour. L’actrice a par la suite confirmé la nouvelle aux différents magazines à potins comme People. Elle entamerait son cinquième mois de maternité et on peut dire qu’elle rayonne à la voir sur les photos!

Chloë Sevigny vient tout juste de terminer les tournages de la nouvelle minisérie de HBO, We Are Who We Are. On y suivra l’histoire de deux jeunes adolescents vivant sur une base militaire en Italie selon ce que rapporte Deadline.

L’annonce de sa grossesse vient faire écho au vibrant discours féministe qu’a donné Michelle Williams au Golden Globes ce dimanche. Cette dernière, qui est elle-même enceinte à 39 ans, tenait à rappeler aux femmes, alors que plusieurs états aux États-Unis commencent à interdire l’avortement, qu’elles sont maîtres de leur corps et leur vie.

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Quand bébé arrive juste avant Noël

Je suis maman de trois enfants et le premier est né le 2 décembre, il y a maintenant 7 ans (que le temps passe vite). Ce bébé censé arrivé début janvier nous a fait une belle surprise et nous a apporté le seul et unique cadeau dont nous avions besoin pour ce Noël-là!

Si la magie de Noël était plus qu’au rendez-vous puisqu’il était le premier petit-enfant de la famille, nous étions aussi en plein dans les trois premières semaines de vie d’un bébé. Disons donc que pour moi, ce ne fut pas le Noël le plus magique. ?

J’ai beaucoup allaité, beaucoup bercé un bébé énervé par ses maux de ventre qui passait de bras en bras et relâchait tout la nuit avec maman. Du coup, on repassera pour le temps des Fêtes féerique avec un bébé de trois semaines!

Mais, après coup, je dirais finalement qu’un bébé tout neuf entraîne peu de changement dans la célébration de Noël. Ce n’est que plus tard (jusqu’à ce qu’il découvre que c’est toi qui déposes les beaux cadeaux sous le sapin) que les enfants nous font vivre et revivre la magie de Noël avec intensité. Maintenant que je le vis avec mes enfants, ce sont les meilleurs moments de l’année.

Les plus grands aident à faire le sapin (début novembre cette année)… que les plus petits détruisent au fur et à mesure. On craque sur des décorations gonflables extérieures alors qu’on se moquait du voisin avant d’avoir des enfants. Les décorations made by baby à la garderie prennent place sur le buffet (même si c’est hyper moche, bien évidemment) et on écrit ensemble les lettres au père Noël. Ici, même papa et maman en écrivent une. Bref, on se donne à 1000% pour voir le sourire de nos enfants s’élargir un peu plus.

Franchement, avouez que faire la queue dans le centre commercial pour prendre une photo avec le père Noël est un rêve qu’on ne peut réaliser qu’en devenant enfin parent! ?

Cette année, ce sera le premier Noël de ma fille qui aura un an le 31 décembre. Elle ne réalise pas encore ce qu’est Noël, mais ses frères lui ont élaboré une liste de cadeaux pour le père Noël plus que parfaite!

Sur ce, je vous laisse, on va regarder Maman, j’ai raté l’avion pour la 25 ème fois. 

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Lady Gaga : « Je veux avoir des bébés »

Si
Stefani Germanotta
, alias Lady Gaga, est de nouveau au sommet de
l’industrie artistique américaine depuis son rôle dans A Star Is
Born
, l’actrice et chanteuse étudie avec soin chacun des prochains
projets potentiels qu’on lui offre.

De
plus, la star souhaite se laisser du temps pour vivre sa vie au cours
des prochaines années, elle qui révèle souhaiter avoir des
enfants.

« Plus
de musique (…) Je veux faire plus de films, je veux avoir des bébés
et je veux continuer de construire Haus Laboratories en la compagnie
de mes rêves. Je vis mes inspirations en ce moment (…) Quand je
suis inspirée, je fais les choses tout de suite. Il va y avoir des
tas de choses dingues au cours de la prochaine décennie. Je ne sais juste pas exactement ce qu’elles sont, c’est pour ça qu’elles
seront extra dingues! », lance Gaga avec sa fougue habituelle
lors d’une entrevue accordée à la chaîne YouTube de
NikkieTutorials
, rapporte notamment E! News.

Lady
Gaga doit maintenant travailler avec Ridley Scott pour son prochain
film en lien avec la famile Gucci, rapportait Deadline, bien
qu’aucune confirmation n’a été offerte jusqu’à maintenant
dans ce dossier.

Crédit
photo : WENN/COVER

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La Procréation Médicalement Assistée, un tabou?

J’ai toujours su que j’aurais du mal à avoir des enfants. Ma mère a mis 9 ans à tomber enceinte, et autant ma soeur n’a rencontré aucune difficulté, autant je sentais au fond de moi que ce serait compliqué. Et ça n’a pas loupé. À nous le parcours PMA (Procréation Médicalement Assistée). Parcours : ce mot est tellement juste…

Qu’on s’entende de suite, je ne suis pas ici pour me plaindre. D’autant plus que je m’estime chanceuse dans notre histoire : notre parcours n’a pas été si long, nous avons eu la chance incroyable de tomber sur un médecin compréhensif et aidant, et surtout, nous sommes les heureux parents d’une petite fille de 10 mois qui nous comble à chaque instant.

Je pourrais vous parler de toutes les difficultés que l’on a rencontrées. De ces multiples examens, de cette hystérosalpingographie avec des étudiants en médecine observant mon vagin, de ce test post-coïtal et de cette impression terrible d’avoir eu mon intimité violée, de ce moment de solitude lors de ma première injection dans le ventre, première d’une longue série. De l’arrêt du traitement suite à un malaise et de cette angoisse de ne jamais pouvoir recommencer. Je pourrais vous parler de ma pudeur, disparue à jamais, de ce temps qui passe, trop vite ou trop lentement, de ces espoirs, de ces déceptions, de cette souffrance, de cette attente interminable des résultats, et de tout ce monde dans lequel on bascule et dont on ignorait tout. Mais ce n’est pas de cela que j’ai envie de vous parler.

Ce dont j’ai envie de parler, c’est du fait qu’on n’en parle pas, justement. Pourquoi? À chacun ses raisons. Peut-être parce qu’il s’agit de notre intimité et qu’on n’a pas envie de l’étaler. Peut-être… peut-être parce qu’au fond, on a un peu honte, parce que ça devrait être naturel, parce qu’on fait des enfants depuis la nuit des temps et que nous, on n’y arrive pas. Parce qu’on se sent un peu nulle, un peu incomplète avec ce ventre désespérément vide, qu’on a peur et pas envie d’être jugé.e, observé.e. Parce que pour les hommes, il y a un peu de leur virilité qui est remise en question et qu’on sait à quel point c’est important.

Et pourtant… Sachez que vous n’êtes pas seuls, il paraîtrait même qu’on est un couple sur dix. Un couple sur dix… Si l’on regarde autour de nous, il y a forcément des gens qui sont concernés.

C’est de ça que j’ai envie de parler. Mon homme et moi avions pris le parti d’en parler librement (moi surtout, lui a suivi). Parce que j’avais besoin de dédramatiser tout ça, de le banaliser. Et je ne l’ai jamais regretté. Ou plutôt si, une fois, quand j’attendais avec angoisse les résultats de la fécondation in vitro, je me suis dit qu’il serait difficile de partager un résultat négatif avec mon entourage, aussi aimant soit-il. Mais c’est la seule fois. Et c’est fou ce que cela peut entraîner, quand on choisit d’en parler.

Je pense à cette amie qui a fondu en larmes quand on en a parlé, à qui on a donné les coordonnées de notre médecin, et qui est maman aujourd’hui. Elle n’en avait jamais parlé à personne, pas même à sa famille. Je pense à cette autre amie qui n’était pas sûre de bien lire les résultats de sa prise de sang et à qui j’ai eu l’immense joie de confirmer que oui, après toutes ces épreuves, elle était bien enceinte. À cette personne que je connaissais si peu et avec laquelle nous avons partagé nos expériences. Je pense à toute cette solidarité et ces magnifiques liens que cela a pu créer, juste parce que j’en ai parlé.

Je pense aussi et surtout à toutes ces personnes qui se taisent et qui souffrent en silence. Je veux leur dire que non, elles ne sont pas seules. Il y aura toujours quelqu’un pour les écouter et pour parler.

 À commencer par moi…

 

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Le bébé d’Arnaud Soly est né!

Arnaud Soly est désormais l’heureux père d’une magnifique petite fille! L’humoriste a partagé la nouvelle sur ses réseaux sociaux avec son humour unique habituel. « Bienvenue dans le monde, Romane Soly! T’es chanceuse, ta maman c’est la plus douce et la plus forte. Pis ton papa y’a jamais aimé personne comme toi, pis yé vraiment vraiment heureux même si yé fatigué pis que yé toujours pas capable de tirer son lait », a-t-il écrit pour accompagner la photo tellement craquante de son poupon.

C’est le premier enfant pour Arnaud Soly et Laurence Gough, qui se sont mariés plus tôt cet été après huit ans d’amour.

Nos félicitations aux nouveaux parents, et bien que le premier one-man-show d’Arnaud Soly, Stand-Up,  ne commence sa tournée qu’en avril 2020, on sait déjà que son deuxième sera sûrement teinté de couches culotte!

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Préma-Québec souligne la Journée mondiale de la prématurité de la plus belle manière

Le 17 novembre prochain, c’est l’occasion de souligner la Journée mondiale de la prématurité et l’organisme Préma-Québec en profitera pour partager plusieurs témoignages d’adultes qui étaient auparavant de très grands prématurés.




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En ce mois de novembre et de sensibilisation à la prématurité, nous vous présenterons, au cours des prochains jours, une série de portraits d’adultes qui sont nés prématurément. Bien des parents, lorsqu’ils sont confrontés à la prématurité, se demandent ce que deviendront leur enfant. Au chevet du bébé, on vit un jour à la fois et on oublie un peu qu’un jour ces être si minuscules deviendront grands. On vous présente donc un premier portrait : celui de la belle Mélissa ! ? Mélissa est née à 30 semaines. Malgré un début de vie difficile (transfusion, arrêt cardiaque, difficultés respiratoires), elle est rendue à 34 ans et fière de tout le chemin parcouru ! Maintenant coordonnatrice d’une clinique médicale dans Lanaudière, elle est aussi une passionnée de voyages d’aventure en sac à dos qui a déjà parcourue plusieurs pays ! Elle adore la nature, le hiking, le plein air, les gens, les différences, les animaux. Elle mord dans la vie ! #prematuredevenuadulte #minidevenugrand #premature #premaquebec #bebepremature #prematurebabies #espoir #courage #miracle #journeemondialedelaprematurite #worldprematurityday

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Cette offensive a été lancée dans le but de sensibiliser le public à la réalité des prématurés devenus adultes et aussi à déconstruire les idées préconçues en lien avec les séquelles possibles d’une naissance prématurée. Dans les faits, la grande majorité des prématurés (85%) s’en sortent sans séquelles. Les témoignages des adultes pourront éventuellement calmer les craintes des parents qui traversent actuellement cette épreuve.

L’organisme en profite également pour rappeler leur mission d’aider les familles avec les aspects financier et émotif liés au fait d’avoir un enfant prématuré.

Parmi les personnes qui témoignent, il y a notamment Ginette Mantha, la fondatrice et directrice générale de Préma-Québec, et son fils Vincent Lalumière, né à 31 semaines.

« Je profite de la Journée mondiale de la prématurité pour espérer sensibiliser le public et les nouveaux parents de prématurés à cette réalité, générer des conversations, inspirer et donner de l’espoir. J’en suis une preuve bien vivante », mentionne Vincent.

C’est une belle campagne remplie d’espoir que lance Préma-Québec et on vous invite à en savoir plus en cliquant ici

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Avoir une fille

Attention: Ce texte est basé sur l’expérience de la maman qui en est l’auteure. Le but n’est aucunement de faire l’éloge de stéréotypes, mais plutôt de raconter une parcelle de vie d’une mère et de sa fille.

Avoir une fille. J’en ai rêvé longtemps et lorsqu’on m’a annoncé que c’était bel et bien une fille que j’attendais, j’ai sauté de joie (lire: j’ai fondu en larmes).

Je m’imaginais déjà, main dans la main avec ma fille, être sa plus grande complice, être en harmonie, voire en symbiose, avec cette petite humaine. Puis, elle est arrivée un jour d’octobre 2015. La réalité m’a alors frappée de plein fouet. Ce petit être, si fragile, ne dépendait que de moi pour sa survie.

Alors, après ces quatre années, me demanderez-vous, c’est comment avoir une fille?

Avoir une fille, c’est acheter du rose. Hé! Attendez! Je sais que ça sonne cliché, mais dites-vous bien que le rose est loin d’être ma couleur favorite et que si c’était juste de moi, elle s’habillerait avec des couleurs neutres. Mais elle, c’est ce qu’elle aime. Elle n’avait pas encore deux ans qu’elle me criait: « VEUX ROSE!! » Rendue à 4 ans, c’est la même histoire.

Avoir une fille, c’est beaucoup de drama. Bon. Ça sonne encore cliché, et je sais bien que ce ne sont pas toutes les petites filles qui sont comme ça, mais la mienne, eh bo-boy! C’est pas drôle. Par chez nous, c’est la fin du monde plusieurs fois par jour. Qu’elle se cogne un orteil, qu’elle ne trouve plus sa doudou, que je lui refuse un 2e bonbon, que je lui demande d’arrêter de taper son frère, etc… Crise de larmes AS-SU-RÉE.

Avoir une fille, c’est aussi beaucoup de tendresse et de gentillesse. Ma fille est une colleuse au grand coeur et j’adore ça. Des « je t’aime maman » à tous les jours, des câlins et des bisous qui font partie de notre quotidien. Et puis, son petit frère, c’est bien rare qu’elle le tape. Elle est plutôt hyper protectrice envers lui; elle l’enlace, elle l’aide, elle l’encourage et le console. Elle est aussi très sensible aux autres, elle devient triste quand quelqu’un a de la peine.

Avoir une fille, c’est gérer des cheveux. Laver des cheveux. Brosser des cheveux. Sécher des cheveux. Coiffer des cheveux. Repeat. J’ai l’air de chialer de même, mais je dois vous dire que c’est plutôt un plaisir pour moi. J’adore jouer dans ses cheveux et pourtant, je déteste gérer les miens.

Avoir une fille, c’est avoir peur. Avoir peur qu’elle se fasse juger, critiquer, manipuler, même maltraiter. Dans une société comme la nôtre, qui est loin d’être parfaite côté égalité femme/homme, j’ai peur pour elle. Bien sûr, je ferai tout en mon pouvoir pour la préparer et pour qu’elle ait confiance en elle, mais je sais cette peur sera toujours présente.

Avoir une fille, c’est espérer. Espérer justement que l’égalité des sexes continue de progresser et que ma fille autant que mon garçon puissent avoir les mêmes opportunités, les mêmes chances, les mêmes droits.

Et pour vous, c’est comment avoir une fille?

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Le sexe après bébé, on en parle?

Toute personne ou situation citées dans cet article ne serait que le pur produit de mon imagination… N’est-ce pas, chéri?

Rappelez-vous de ce temps, il y a fort fort fort longtemps, où vous pouviez faire l’amour quand bon vous semblait, où bon vous semblait, en tout insouciance… Ce temps où vous pouviez rester au lit une journée entière à vous dévorer des yeux et à vous dévorer tout court, sans penser à rien d’autre que l’instant présent. Vous visualisez? Eh bien, chassez vite cette image de votre esprit. Ce temps est révolu. FINI. Bébé est arrivé.

Au début, ce n’est pas un problème; on vient d’accoucher, notre corps n’est pas encore remis, il y a même encore tout un tas de choses qui s’y passent et pas des moins douloureuses. Et surtout, il y a ce tout petit être, si fragile, dont il faut prendre soin chaque seconde, ce petit être qui bouleverse nos vies et nos coeurs. Alors le sexe, forcément, ça passe au second plan.

Quelques jours ou semaines après ? chacune son rythme ! ? on recommence à y penser, avec une légère appréhension : est-ce que ça va faire mal? Peur irrationnelle quand on pense qu’un être de la taille d’une pastèque vient de nous passer entre les jambes. Ne le prenez pas mal, messieurs, mais, malgré vos attributs, ce n’est pas comparable. Et, en cas de césarienne, on a peur que passer à l’acte rouvre la cicatrice. Là encore, c’est prêter bien des capacités à ces messieurs. Mais on ne contrôle pas nos peurs!

Côté messieurs aussi, c’est compliqué. Des études ont prouvé que l’arrivée d’un nouveau-né avait tendance à faire baisser le taux de testostérone pour permettre aux nouveaux papas de développer leur instinct paternel. Donc, forcément, qui dit moins de testostérone dit moins d’envie. Donc, non mesdames, ce n’est pas parce que vous avez tous les jours une tête de lendemain de fête, des vêtements et de la lingerie qui ne ressemblent à rien ou des kilos en trop, que monsieur a moins envie, non. C’est tout simplement parce qu’il est en train de se transformer en papa poule. Ouf! Nous voilà rassurées.

Et après? Quand toutes les conditions sont enfin rassemblées, quand on est fin prêts, c’est là que ça se complique vraiment… bébé s’en mêle.

Bénis soient les parents qui ont des bébés qui dorment et qui ont pu aisément reprendre leurs ébats là où ils les avaient laissés avant la naissance. Comme je vous envie! Car notre fille nous a été livrée sans l’option sommeil, et pendant ses huit premiers mois, nous n’avons pas dormi. DU TOUT.

Je ne compte pas les fois où nous avons dû interrompre ce que nous venions à peine de commencer ou encore les fois où nous avons renoncé. Heureusement, je ne compte pas non plus les fois où nous en avons ri. Et, avouons-le : quand bébé vient enfin de s’endormir, que tu sais qu’il se réveille dans une heure et demie et que tu as le choix entre dormir et faire l’amour, bah en fait, tu ne te poses même pas la question: TU DORS.

Alors, c’est sûr, quand tu y arrives enfin, tu profites de chaque seconde comme si ça ne devait plus jamais avoir lieu ? parce qu’en fait, tu ne sais vraiment pas quand ça pourra encore avoir lieu ? et c’est encore meilleur.

Au cours de ces mois difficiles, j’ai aussi découvert que faire l’amour pouvait prendre différentes formes : c’est échanger un regard appuyé, s’inventer un code, une phrase en public, qui dit à l’autre « j’ai envie de toi », c’est se retrouver épuisés le soir, se dire : « tu sais, dans ma tête, on est en train de faire des trucs de dingue, mais mon corps ne peut juste pas » et en rire. C’est trouver une nouvelle complicité, faire naître de nouveaux désirs. Et, pour être honnête, en ce moment, quand j’arrive déjà épuisée au bureau et que mon chum m’envoie un message disant : « j’ai réussi à faire le ménage avant de partir » ça me fait plus d’effet que la meilleure partie de jambes en l’air!

Alors oui, c’est une période difficile. Notre couple en sortira, j’espère, plus fort. Je me dis que ça passera, comme le reste. Qu’il faut que ça passe… que ça doit passer… parce que la quasi-chasteté, ça a du bon deux minutes, mais en fait… s’il te plaît, bébé… FAIS DODO !

Crédit: Unsplash

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Jonas et sa conjointe révèlent le sexe de leur premier enfant

Jonas et sa conjointe, Carmen, avaient surpris tout le monde en annonçant que cette dernière attendait leur premier enfant après avoir connu une année difficile en 2018. Le couple s’était séparé après quatre ans de fréquentation, mais heureusement, quelques mois plus tard, ils étaient de nouveau ensemble. Leur temps à part a semblé leur confirmer leur amour et leur envie de fonder une famille.

On est donc bien heureux d’apprendre ce jeudi matin par l’entremise du 7 Jours que les futurs parents ont dévoilé le sexe de l’enfant. Jonas a dû être plus que ravi d’apprendre qu’il allait être le fier papa d’un petit garçon! « J’étais content, car c’est le premier petit gars dans ma famille ? mon frère a eu des filles. Mon père était tellement heureux de cette nouvelle. C’est aussi incroyable, ce moment: on voit notre bébé qui danse presque pendant l’échographie, et j’ai pu voir ses longs doigts, son petit menton. Il a bâillé, et j’étais ému! », a dit avec émotions le chanteur rock.

La nouvelle n’est toutefois pas venue surprendre le couple. Carmen a confié au magazine qu’il s’en doutait depuis longtemps, tout comme leur entourage.

C’est donc en février que les parents devraient accueillir le mini-Jonas.

Félicitations à Jonas et Carmen!

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4 ans et 4 bébés plus tard

Je vais faire une petite mise en contexte pour ceux qui n’ont pas trop suivi mes derniers textes. J’ai 30 ans et je suis en couple avec un homme de 31 ans depuis 4 ans. Nous nous sommes « rencontrés » lors de nos années d’université il y a environ 9 ans. Lui était en maîtrise de biologie et moi en chimie. Il venait parfois voir son frère qui étudiait en enseignement des sciences avec qui j’avais des cours en commun et qui me tapait bien gros sur les nerfs. Frère qui est maintenant parrain d’un de nos garçons… t’sais, la vie. Jamais je n’y aurais cru à ce moment-là. Tout ça pour dire qu’en fait, c’est Tinder qui nous a réunis plusieurs années après notre graduation. On a fait un sapin de Noël le 26 octobre 2015 et depuis on ne s’est pas lâchés.

Très rapidement, on a parlé d’avoir des enfants. On approchait tous deux la trentaine et on se sentait prêts. Ça nous a pris un an et demi avant qu’enfin, un être décide d’élire domicile dans mon utérus. L’échographie de datation nous a finalement montré qu’il y avait deux petits êtres qui s’y étaient logés. On a été sous le choc, mais on s’y attendait un peu vu les taux de HCG très élevés de mes prises de sang.

Nos jumelles non identiques sont venues au monde le 23 novembre 2017. Un accouchement naturel sans complications. S’en est suivi une année où j’ai eu la tête dans le brouillard de la dépression sans être officiellement diagnostiquée et traitée. J’avais l’angoisse profonde de devoir prendre des antidépresseurs et d’avoir toute la difficulté du monde à me sevrer de ça. (Aujourd’hui, je me trouve poche et si vous avez des symptômes de dépression, parlez-en à votre médecin sans honte ni peur du jugement, il est là pour vous et c’est important. Vous pouvez aussi contacter l’organisme Revivre au 1 866 REVIVRE (738-4873)).

Quand nos filles ont atteint l’âge vénérable de 14 mois, je suis retombée enceinte au premier essai. On était super contents. J’ai pris mes rendez-vous pour un premier suivi de grossesse et l’échographie de datation. Ma gynécologue me dira plus tard que sa première pensée quand elle a vu mon nom dans sa planification fut « hihihi, voire si elle n’a pas encore des jumeaux ». Quelque part en mars, on se dirige à l’hôpital pour l’échographie et sure enough… encore des jumeaux, mais cette fois, ils sont identiques. J’ai braillé, mon chum a ri et la gynécologue qui faisait mon échographie était sur le cul.

Ma bedaine a poussé, mes filles ont grandi. On a su qu’on attendait des garçons. On a acheté une maison. On a rénové la maison, on a acheté une minivan. On a fini de préparer la valise et la chambre des garçons le 25 septembre à minuit et le 26 septembre j’ai accouché naturellement de nos garçons.

Nos garçons ont eu un mois hier. C’est aussi notre 4e anniversaire de couple. Pour la première fois en 4 ans, on n’a pas fait notre sapin de Noël hier. Pas eu le temps. Mais watch out qu’on va se reprendre aujourd’hui ou demain.

Si vous m’aviez dit que j’allais être où je suis aujourd’hui il y a 4 ans et demi, je vous aurais ri au visage et j’aurais probablement pris une coupe de vin pour passer ma peine d’être toute seule encore à 27 ans et si loin de ce que je projetais pour ma vie.

Aujourd’hui, notre vie est bien remplie, notre maison est pleine de rires, de pleurs, de couches sales, de couchettes de bébés. Notre sortie de la semaine consiste maintenant à aller chez Costco au lieu d’aller prendre un gelato sur le bord de l’eau. On se lève plusieurs fois par nuit et on se réveille tôt au lieu de dormir jusqu’à pas d’heure.

Mais savez-vous quoi?

Je n’échangerais cette vie à 7 (Ne jamais oublier le félin. Le félin est important.) pour rien au monde. On se dépasse chaque jour. On reçoit et on donne de l’amour comme jamais on aurait cru cela possible. On est l’anecdote de tout le monde qu’on connait. Notre histoire, elle est unique et on l’aime.

Le plus beau dans tout ça, c’est qu’on s’aime un peu plus chaque jour. Même après quatre enfants, on a la capacité de dialoguer et de résoudre nos petits pépins rapidement et de se coucher le soir aussi amoureux que lorsqu’on s’est levés le matin. Pis ça ben, c’est important.

Bien que je vive le moment présent, je ne peux pas m’empêcher d’imaginer mes quatre enfants partir à l’école ensemble. Une seule année scolaire les séparera. Un jour, ces quatre poulets joueront ensemble et la différence d’âge ne sera même pas détectable.

C’est complètement fou, la vie.

Vous, c’est quoi votre histoire?