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Ronnie Wood papa à nouveau à 68 ans

Le guitariste des Rolling Stones, Ronnie Wood, et sa femme Sally Humphreys seront les heureux parents de jumeaux en juin 2016.

Le couple marié depuis 2012 serait emballé par la nouvelle. Une source a ainsi commenté l’information au quotidien The Sun : « Ronnie est tellement content. Ils viennent d’avoir le résultat de leur échographie de 12 semaines et maintenant le disent à tout le monde. Il est très heureux de devenir père à nouveau, et ne croit pas que l’âge sera un problème. Il se sent encore très jeune. »

Ronnie Wood, 68 ans, est déjà le père de quatre enfants. Sa femme Sally Humphreys, une productrice de théâtre, est sa cadette de 31 ans.

Cette dernière avait déjà mentionné qu’elle rêvait de fonder une famille avec le légendaire rocker : « Il a plusieurs amis qui sont âgés et qui ont de jeunes enfants. Ils disent que cela est fantastique et que cela les garde jeunes, » confiait celle qui deviendra maman pour la première fois.

Photo : BANG/BIG

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Stevie Wonder sera à nouveau papa

Le chanteur de 64 ans Stevie Wonder et sa conjointe, Tomeeka Robyn Bracy, seront les heureux parents de triplets. 

Selon le New York Post, l’interprète de Superstition et sa fiancée verront encore leur famille s’agrandir en 2015. Une source a confié au quotidien : « Les enfants, c’est le mécanisme de Stevie pour être heureux. Je ne sais pas s’il souhaitait avoir des triplets à son âge, mais ce n’est pas comme s’il n’était pas heureux à propos de cela ou comme s’il ne pouvait pas se permettre d’avoir des enfants ».

Le National Enquirer affirme que les visites médicales de Tomeeka Robyn Bracy, 40 ans, ont commencé, et que la future maman a même eu droit à sa première échographie.

Le chanteur, qui a eu des enfants de cinq femmes différentes, a déjà indiqué qu’il n’était pas toujours présent pour sa progéniture, mais qu’en grandissant, il a développé une relation intime avec chacun d’eux. Ses enfants ont aujourd’hui entre 1 et 39 ans.

Une source confirme : « Aisha, la plus âgée, apprécie toujours plus son père. Ils vont souvent manger ensemble et rient beaucoup ».

« Il sait qu’être père est un travail à temps plein et qu’il vieillit, mais il dit être toujours apte à accomplir ce travail et ne veut décevoir personne. »

Les triplets et leurs parents habiteront selon toute vraisemblance dans la grande résidence du chanteur dans la région de Los Angeles.

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Antibiotiques et asthme en lien chez les jeunes enfants

Les résultats de l’étude menée à Harvard ont été publiés dans la revue spécialisée Annals of Allergy, Asthma, and Immunology, rapporte Top Santé.

On y fait état d’un échantillonnage de plus de 62 500 enfants, suivis de leur naissance jusqu’à 5 ans, avec une corrélation concluante entre la prise de médicament et le développement de 3 formes d’asthme : les difficultés respiratoires transitoires, l’asthme tardif et l’asthme persistant.

Même si des recherches approfondies sont nécessaires pour apporter des changements au niveau des spécialistes de la santé, les responsables de l’étude mettent les médecins et pédiatres en garde. Mieux vaut prescrire avec parcimonie et discernement des antibiotiques aux bébés de moins d’un an.

Pendant la recherche, chez les enfants atteints d’asthme, 43 % avaient eu au moins 1 traitement antibiotique avant 1 an. Chez eux, le risque de difficultés respiratoires transitoires était deux fois plus important, et l’asthme persistant augmentait de 60 %.

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Spectres rares de maladies auto-inflammatoires : nouveau traitement pour les bébés

Les deux médications nouvellement approuvées au Royaume-Uni par Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency (MHRA), sont l’Anakinra (Kineret®) et l’inhibiteur interleukine-1 (IL-1).

L’Anakinra constitue le premier traitement au pays à pouvoir être administré aux enfants, et ce, dès qu’ils ont 8 mois, rapporte Medical News Today.

Ces maladies rarissimes (CAPS) causent des éruptions cutanées importantes, des maux de tête, de la fièvre, des douleurs articulaires et d’autres symptômes inflammatoires inexpliqués.

Les personnes qui en souffrent naissent avec cette maladie, et celle-ci dégrade progressivement leur qualité de vie. Dans sa forme la plus sévère, la condition provoque une méningite aseptique chronique. Les complications éventuelles comprennent l’hydrocéphalie, un retard de développement et/ou un retard mental et la perte d’audition.

Il demeure cependant une problématique, dénonce le professeur en pédiatrie et rhumatologie de l’Université de Birmingham, Taunton Southwood. La maladie est si rare que les enfants passent souvent des années avant de recevoir leur diagnostic de CAPS.

Selon lui, dès que les symptômes de base associés à la maladie ne sont reliés à aucune autre affection, le corps médical devrait immédiatement transférer le patient en rhumatologie.

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Une suce qui fredonne des chansons pour les bébés prématurés

Il est prouvé que la voix de la mère fait des miracles au niveau du développement du bébé. Ainsi, les chercheurs ont donné des suces avec la voix de leur mère préenregistrée sur un dispositif. Elles y chantaient une berceuse. Les bébés qui ont profité de ce test ont été débranchés plus rapidement de l’intraveineuse.

Les chercheurs du centre médical de l’Université de Vanderbilt ont ainsi conclu que le réflexe de la tétée se développait plus aisément grâce à cette suce. Ils ont procédé à une sélection aléatoire de 94 nouveau-nés prématurés, nés entre la 34e et la 36e semaine de grossesse, dont les conditions respiratoires étaient totalement autonomes.

Les nouveau-nés ont reçu la suce musicale 15 minutes par jour, pendant 5 jours consécutifs. Les bébés étaient récompensés de la berceuse de leur mère uniquement s’ils tétaient la suce.

Dre Nathalie Maitre, professeure assistante de l’unité de pédiatrie, a expliqué : « Les bébés aiment et connaissent la voix de leur mère. Nous avons démontré qu’il s’agit du meilleur incitatif pour ces bébés ».

Science World Report mentionne que les nourrissons ayant participé à l’étude se sont fait retirer leur intraveineuse une semaine plus tôt que les autres bébés.

La recherche a été publiée dans la revue Pediatrics.

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Voici pour quelle raison il est essentiel de communiquer avec nos enfants

Ce sont surtout dans les familles à faible revenu et dans lesquelles les parents sont moins éduqués que les enfants souffrent des retards les plus importants. Lors de leur entrée à l’école, ils ont en moyenne 2 ans de retard en ce qui a trait au langage.

Anne Fernald, psychologue et enseignante à l’Université Stanford, a mené les plus récentes recherches, révélant un écart majeur chez les enfants issus de la pauvreté.

Les différences se situent tant au niveau du langage parlé qu’écrit, et l’écart se mesure à partir de 18 mois. À 24 mois, les enfants de familles à faible revenu démontraient déjà un retard de 6 mois sur ceux à revenu élevé.

Fernald croit avoir décelé la cause principale de ce retard. À l’aide de dispositifs d’enregistrement vocal, elle a pu établir une lacune au niveau du discours entre les parents et l’enfant de familles à faible revenu. Les bébés entendaient bel et bien des paroles, mais elles ne s’adressaient pas nécessairement à eux.

Le discours direct a prouvé un meilleur apprentissage du vocabulaire, et c’est pourquoi la chercheuse et son équipe mettent désormais sur pied des programmes pour aider les mères à faible revenu à mieux communiquer avec leurs bébés.

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Nous perdons nos enfants au profit du monde virtuel

Une étude menée par AVG Technologies, auprès de plus de 6000 parents en novembre et décembre 2013, a fourni des résultats étonnants. Le questionnaire en ligne a permis à des parents de partout dans le monde de répondre.

Pour résumer, les enfants ont plus d’habiletés virtuelles que réelles dès qu’ils sont âgés de 2 à 5 ans. Ils sont en mesure de jouer sur un ordinateur ou un téléphone intelligent, pourtant, ils sont souvent incapables de monter à vélo ou d’attacher leurs souliers.

Parmi les données du sondage, que l’on peut retrouver en détail sur le site AVG Technologies, voici des résultats choquants :

De 0-2 ans

62 % des parents mettent en ligne des photos de leur enfant avant l’âge de 2 ans, sans compter que 8 % des parents ont créé un courriel pour leur bébé, et 6 % un profil sur un média social.

De 3 à 5 ans

66 % des enfants savent comment jouer sur des jeux simples en ligne, mais seulement 14 % savent comment lacer leurs souliers, et seulement 13 % connaissent le numéro de téléphone de leur mère.

De 6 à 9 ans

Près de la moitié des enfants jouent à des jeux de « monde virtuel », 16 % sont déjà sur Facebook, et 18 % ont un courriel personnel.

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Les prématurés développent de gros risques de subir un détachement rétinien

Une nouvelle étude, publiée dans la revue Ophthalmology, révèle que ce sont les bébés nés avant 32 semaines de grossesse qui sont surtout visés.

Selon les résultats, le détachement rétinien, dans ces cas précis, surviendrait parfois aussi tôt que durant l’enfance et l’adolescence.

C’est plus de 3 millions de naissances, entre 1973 et 2008, qui ont eu lieu à moins de 32 semaines de grossesse, et ce, aux États-Unis uniquement.

Les cas ont visiblement inquiété les spécialistes, puisqu’en 1986, selon Science World Report, un programme de vérification de la rétine a été mis sur pied aux États-Unis.

« Il se peut que nous n’ayons gratté que la pointe de l’iceberg des complications ophtalmologiques engendrées par la prématurité », a expliqué la pédiatre de Stockholm et chercheuse principale, Anna-Karin Edstedt Bonamy.

La condition développée par les bébés nés entre 28 et 32 semaines de grossesse, nommée rétinopathie du prématuré (ROP en anglais), consiste en la croissance de vaisseaux sanguins anormaux dans la rétine. C’est ce qui cause le détachement éventuel et qui peut mener à la perte totale de la vue.

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Discipline chez les 24 mois et moins, mission impossible?

Malheureusement, la discipline et ce sentiment de découvrir le monde ne vont pas toujours de pair, comme le mentionne More4kids.

Tant que les jeunes enfants ne se blessent pas ou ne blessent pas autrui, la curiosité dont ils font preuve devrait être encouragée. Les deux principales raisons qui font qu’il est si difficile de les maintenir en place, c’est qu’ils découvrent leurs capacités motrices (toucher, tenir, manipuler des objets) et, éventuellement, qu’ils sont en mesure de se déplacer seuls. Qu’ils rampent, marchent à 4 pattes ou courent, pour eux, le monde leur appartient.

Ils expérimentent également le son de leur voix. Lorsqu’un bambin découvre sa voix, la force de celle-ci, les différents sons et les intonations, il est en mode découverte. Il mesure l’impact des différents sons auprès de ses parents et des autres. Bien qu’ils puissent être irritants, ces essais font partie du développement.

Finalement, de 12 à 24 mois, les enfants développent aussi leur indépendance. Ils comprennent qu’ils ont leurs propres vision et pensée, bien que celles-ci soient limitées. Ils voudront essayer plusieurs choses, même s’ils n’ont pas encore la capacité ou la motricité pour réussir.

Afin d’éviter les frustrations inutiles, la meilleure solution consiste à les laisser faire des erreurs et à leur faire comprendre par la suite qu’il vaut mieux éviter ceci ou cela. Évidemment, il faut tout de même éviter les situations dangereuses, mais vous ne pourrez pas toujours l’empêcher de se faire mal.

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Les bébés nés de traitement de fertilité sont plus à risque d’avoir un cancer

Selon une nouvelle analyse portant sur 25 différentes études menées dans 12 pays, les couples qui subissent des traitements de fertilité ont des bébés qui ont un risque 33 % plus élevé de contracter un cancer pédiatrique.

Cette association était particulièrement significative pour la leucémie, le neuroblastome (un cancer du système nerveux), ainsi que le rétinoblastome (un cancer des yeux).

Les procédures médicales, comme la fécondation in vitro ou l’insémination, présentaient un risque similaire aux traitements hormonaux, comme la stimulation ovarienne.

Par contre, les chercheurs ont voulu rappeler que le risque absolu demeurait bas. Par exemple, au Danemark, l’un des pays étudiés, 9 % des bébés proviennent de traitements de fertilité. D’un point de vue statistique, cela voudrait dire qu’un cancer serait attendu pour chaque 4236e femme traitée.

« Il existe peut-être des mécanismes associés aux traitements de fertilité qui causent le cancer, par exemple des changements épigénétiques reliés à l’exposition aux hormones… Par contre, les couples infertiles pourraient également avoir d’emblée des anomalies génétiques dans leurs cellules reproductives, qui deviendraient exposées lors des traitements », a expliqué l’auteure de l’étude, Susanne Krüger Kjaer, selon MedPageToday.

Les résultats ont été publiés dans le journal médical Fertility and Sterility.