Catégories
Uncategorized

Quoi faire si votre enfant fait de la fièvre

Même si la fièvre de votre enfant devient très haute, 40 degrés, vous ne devez pas nécessairement courir à l’urgence. Ce qui compte, c’est vraiment l’état général du petit. Évidemment, à partir de 39 degrés, il ne sera probablement pas des plus joyeux, mais donnez-lui un médicament qui fait baisser la fièvre, comme Tylenol ou Advil, et voyez si ça le rend un peu moins amorphe.

La fièvre en tant que telle, même lorsqu’elle est élevée, n’est pas une raison pour s’inquiéter. Ça peut paraître étrange, mais la fièvre est un bon signe : ça veut dire que l’organisme de votre enfant est en train de combattre une infection.

C’est normal pour la fièvre de passer et de revenir pendant quelques jours : le but de donner un médicament à l’enfant est de le rendre plus confortable, pas de réduire la fièvre, qui se résorbera d’elle-même lorsque l’infection sera maîtrisée.

Le corps humain a en quelque sorte un thermomètre interne qui régule la température, donc même lorsque nous sommes très malades, la fièvre ne peut pas dépasser 41 degrés.

Une exception toutefois : pour un bébé de moins de quatre mois, toute fièvre, c’est-à-dire une température dépassant les 38,5 degrés, est considérée comme potentiellement sérieuse et demande une consultation rapide.

Catégories
Uncategorized

10 bonnes résolutions pour les femmes enceintes

Ne pas fumer : Avec tout ce que l’on sait maintenant, il n’y a pas vraiment besoin d’explication…

Manger du poisson : Ceux-ci contiennent des oméga-3 très bénéfiques pour le bébé, mais attention aux espèces qui contiennent du mercure, comme le thon et l’espadon, elles sont à éviter.

Aller chez le dentiste : Une visite est recommandée durant le 1er trimestre, pour détecter rapidement une possible infection dentaire ou buccale — celles-ci sont fréquentes et peuvent causer une inflammation du sang.

Ne pas prendre de médicaments sans autorisation : Certains produits banals, comme l’aspirine et le décongestionnant nasal, sont déconseillés durant la grossesse. On consulte donc avant de prendre quoi que ce soit.

Prendre de l’acide folique : Ce supplément, de la vitamine B9, apporte de nombreux bénéfices à la mère et à l’enfant.

Éliminer l’alcool : Encore une recommandation assez bien connue…

Faire du sport, mais pas n’importe quel : Plusieurs sports risqués ou d’équipe sont déconseillés, mais il reste la marche, la bicyclette, le conditionnement physique modéré, le yoga, la natation…

Surveiller son poids : Une trop grande prise de poids peut favoriser le diabète de grossesse et causer des problèmes à l’accouchement.

Consulter en cas de fièvre : La fièvre signifie souvent une infection, et celle-ci ne doit pas être prise à la légère durant la grossesse.

Ne pas paniquer pour des contractions : Celles-ci sont habituellement normales et ne demandent que du repos. En cas de doute, consultez.

Catégories
Uncategorized

La ventilation continue ne semble pas nuire aux grands prématurés

L’étude a été menée auprès de 1316 nouveau-nés « grands prématurés », c’est-à-dire nés entre 24 et 28 semaines de gestation. Ceux-ci ont reçu soit une VPPC, qui permet de toujours garder leurs voies respiratoires ouvertes, dès leur naissance, soit des surfactants.

Le taux de décès avant 18 à 22 mois ainsi que les déficiences neurologiques et reliées au développement à ce stade étaient similaires entre les deux groupes, c’est-à-dire 27,9 % pour le VPPC et 29,9 % pour les surfactants.

Parmi les bébés du groupe de VPPC, certains ont reçu un taux de saturation d’oxygène élevé, tandis que le taux de saturation d’oxygène était plus bas pour les autres. Il n’y avait pas de différence significative entre ces deux sous-groupes, à l’exception de la mortalité, qui était légèrement plus fréquente pour les nouveau-nés du deuxième sous-groupe (22,1 % pour ceux dont la saturation de l’oxygène était basse, contre 18,2 % pour les autres).

« La VPPC peut constituer une alternative aux surfactants, même chez les prématurés aussi jeunes que 24 semaines. Une saturation de l’oxygène plus basse ne peut toutefois pas être recommandée pour les grands prématurés », ont conclu les auteurs de l’étude, selon MedPageToday.

Les résultats ont été publiés dans le New England Journal of Medicine.

Catégories
Uncategorized

La FDA approuve l’utilisation du Tamiflu chez les bébés de moins d’un an

La Food and Drug Administration américaine a indiqué qu’elle approuvait l’utilisation du Tamiflu, dont l’ingrédient principal est l’oseltamivir, chez des bébés de 14 jours ou plus qui présentent des symptômes grippaux.

L’agence fédérale a toutefois indiqué que le Tamiflu ne devrait pas être pris par mesure préventive ni donné à des nouveau-nés plus jeunes que deux semaines, parce que son profil d’efficacité et de sécurité n’a pas été établi pour des bébés aussi jeunes.

Le Tamiflu, du fabricant suisse Roche, a été approuvé en 1999 pour les adultes souffrant de la grippe, puis son utilisation a été élargie aux enfants. Dans tous les cas, le médicament doit être pris dans les 48 premières heures suivant le déclenchement de la maladie.

Pour les bébés, le dosage doit être calculé individuellement, selon le poids exact de l’enfant, contrairement aux patients plus vieux, qui reçoivent une dose basée sur une catégorie de poids. La FDA a rappelé aux pharmaciens de fournir une dosette appropriée aux parents, afin que ceux-ci puissent mesurer facilement la quantité nécessaire à donner à leur bébé.

Cette approbation est basée sur près de 135 patients pédiatriques qui avaient reçu un diagnostic d’influenza. Les effets secondaires les plus importants chez les bébés ont été la diarrhée et les vomissements, selon Medical News Today.

Catégories
Uncategorized

L’anomalie du chromosome X beaucoup plus fréquente

Dans le cadre d’une nouvelle étude publiée dans Genome Medicine, les échantillons de sang provenant de plus de 14 200 nouveau-nés ont été analysés.

Les chercheurs étaient à l’affut d’une anomalie appelée « X fragile », où l’apparence du chromosome X est altérée chez les individus.

Cette anomalie est la cause la plus répandue de déficience intellectuelle, l’une des causes présumées de l’autisme, et est également responsable d’une maladie s’apparentant au Parkinson.

L’anomalie a été détectée chez environ 1 fille sur 200, ce qui est plus élevé que les estimés précédents. Par contre, la découverte la plus inattendue était reliée au fait que le « X fragile » était également présent chez environ 1 garçon sur 400, ce qui correspond au double du chiffre établi précédemment.

« Cette étude montre que la fréquence des mutations est beaucoup plus élevée que nous le croyions précédemment, et ce, peu importe le groupe ethnique de l’individu », a noté l’auteur principal, le Dr Randi Hagerman, selon Science Daily.

Catégories
Uncategorized

Les suppléments d’acides gras peuvent améliorer la vision des bébés

L’analyse a porté sur 19 études se penchant sur un total de 1949 nouveau-nés qui ont reçu des acides gras polyinsaturés à longue chaîne à partir d’un mois. Ceux-ci avaient une acuité visuelle améliorée de manière significative à l’âge de 2 mois, 4 mois et 12 mois.

Ces données contredisent deux récentes revues de littérature qui n’ont pas réussi à trouver d’avantages à ces suppléments. Les auteurs de l’étude ont toutefois noté que ces revues ne s’attardaient pas exactement aux bonnes mesures qui permettent réellement d’évaluer l’acuité visuelle chez les bébés.

Différents experts qui n’avaient pas participé à l’étude ont également signifié leur accord avec les conclusions de la présente analyse.

Ces suppléments d’acides gras ont surtout été donnés à des bébés qui étaient allaités exclusivement, puisque ces acides gras sont parfois inclus dans les laits maternisés.

« Le fait que plusieurs laits maternisés qui contiennent ces acides gras sont en vente sur le marché, leur profil de sécurité et, jusqu’à un certain point, leurs bénéfices pour la santé en font de bons suppléments à ajouter à l’ensemble des laits maternisés pour le bien-être de nos enfants », a expliqué l’auteur, Ahmad Qawasmi, à Medscape Medical News.

Les résultats de l’analyse ont été publiés dans la revue médicale Pediatrics.

Catégories
Uncategorized

Faut-il stimuler la marche chez bébé?

Bébé doit passer par plusieurs étapes pour en arriver à l’apothéose qu’est la marche. Se retourner, s’asseoir, marcher à quatre pattes, se lever tout seul… Tous ces petits apprentissages doivent se faire à son rythme, pour lui permettre de devenir plus à l’aise avec son corps, de se sentir en sécurité et de se lâcher pour finalement faire ses premiers petits pas!

S’introduire au sein de cet apprentissage pour vouloir « aider son enfant à marcher », c’est l’empêcher d’être autonome et lui apprendre dans de mauvaises conditions.

Il faut ainsi éviter de le tenir par la main tout le temps, pour qu’il travaille son équilibre et qu’il expérimente. On peut par contre évidemment le faire un peu pour lui donner confiance, et le stimuler à se déplacer en se plaçant à quelques pas de lui et en ouvrant les bras…

Il ne faut pas non plus placer le bébé debout avant qu’il ne soit prêt à le faire. Il faut être patient! Ça viendra tôt ou tard. Les marchettes et autres appareils sont aussi à proscrire.

La plupart des bébés marchent entre 10 et 18 mois. C’est seulement s’il ne progresse pas du tout ou qu’il dépasse cet âge qu’il faut s’inquiéter, selon famili.fr.

Catégories
Uncategorized

Des chercheurs développent une prothèse cardiaque « vivante » pour les nouveau-nés

Des chercheurs du Texas ont publié les résultats de leur recherche, provenant de nombreuses années d’effort pour en arriver à créer une prothèse cardiaque biocompatible, qui bat comme un cœur humain.

Aux États-Unis, environ un enfant sur 250 naît avec une malformation cardiaque congénitale, mais seulement 3 à 6 sur 10 000 souffrent d’un problème appelé tétralogie de Fallot, qui requiert l’ajout d’une prothèse sur le ventricule droit du cœur.

En ce moment, ces prothèses sont faites de tissus synthétiques ou prélevés sur des vaches ou sur le corps du petit patient. Elles servent à protéger les tissus cardiaques et à permettre à ceux-ci de bien se développer. Le problème est qu’elles ne grandissent pas avec le patient et ne s’incorporent pas vraiment aux tissus cardiaques.

Puisque les prothèses actuelles sont considérées par le corps comme un « tissu mort », le cœur fonctionne moins bien avec celles-ci, ce qui expose ces enfants à un risque plus élevé de développer de l’insuffisance cardiaque, de l’arythmie et de la fibrillation.

La prothèse « vivante » développée par les chercheurs pourrait remplacer avantageusement les prothèses artificielles, tout en se dégradant naturellement dans le corps une fois que le cœur n’en a plus besoin.

Toutefois, il reste encore plusieurs années de recherche avant que cette nouvelle prothèse puisse être utilisée, selon ce que rapporte Medical News Today.

Catégories
Uncategorized

Des chercheurs développent une prothèse cardiaque « vivante » pour les nouveau-nés

Des chercheurs du Texas ont publié les résultats de leur recherche, provenant de nombreuses années d’effort pour en arriver à créer une prothèse cardiaque biocompatible, qui bat comme un cœur humain.

Aux États-Unis, environ un enfant sur 250 naît avec une malformation cardiaque congénitale, mais seulement 3 à 6 sur 10 000 souffrent d’un problème appelé tétralogie de Fallot, qui requiert l’ajout d’une prothèse sur le ventricule droit du cœur.

En ce moment, ces prothèses sont faites de tissus synthétiques ou prélevés sur des vaches ou sur le corps du petit patient. Elles servent à protéger les tissus cardiaques et à permettre à ceux-ci de bien se développer. Le problème est qu’elles ne grandissent pas avec le patient et ne s’incorporent pas vraiment aux tissus cardiaques.

Puisque les prothèses actuelles sont considérées par le corps comme un « tissu mort », le cœur fonctionne moins bien avec celles-ci, ce qui expose ces enfants à un risque plus élevé de développer de l’insuffisance cardiaque, de l’arythmie et de la fibrillation.

La prothèse « vivante » développée par les chercheurs pourrait remplacer avantageusement les prothèses artificielles, tout en se dégradant naturellement dans le corps une fois que le cœur n’en a plus besoin.

Toutefois, il reste encore plusieurs années de recherche avant que cette nouvelle prothèse puisse être utilisée, selon ce que rapporte Medical News Today.

Catégories
Uncategorized

Le lait maternisé peut être toxique pour les cellules

Chez les nouveau-nés prématurés, une maladie rare et sévère appelée entérocolite nécrosante est la principale cause de décès reliée à des causes intestinales.

Cette maladie se produit lorsque la digestion cause la mort de cellules de l’intestin, et les chercheurs ont déjà remarqué qu’elle se produit beaucoup plus souvent chez des enfants nourris au lait maternisé.

Dans une étude effectuée en laboratoire, les chercheurs ont reproduit la digestion humaine de lait maternel ainsi que de neuf marques de lait maternisé, incluant certaines spécifiquement destinées aux bébés prématurés.

Les résultats ont été assez frappants : la digestion du lait maternisé causait la mort de cellules, un phénomène appelé cytotoxicité, alors que le lait maternel n’avait pas cet effet.

Dans certains cas, la mort de cellules était observée en moins de 5 minutes. À titre d’exemple, le lait maternisé a causé la mort d’entre 47 % et 99 % des cellules neutrophiles, le type de globules blancs le plus abondant dans le corps humain, qui jouent un rôle vital dans le système immunitaire.

Les acides gras libres libérés durant la digestion du lait maternisé pourraient être la cause de cet effet nocif. Les chercheurs croient ainsi que le lait maternel possède un mécanisme de protection contre la cytotoxicité.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue médicale Pediatric Research.