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Les bébés différencient le bien du mal

En fait, l’étude est une reprise d’une autre recherche effectuée en 2007 par les chercheurs de l’Université de Yale, qui prétendait que les enfants de six à dix mois avaient un sens moral assez développé pour différencier le bien du mal.

« Les bébés sont sensibles aux bonnes et aux mauvaises actions de différents types, comme aider quelqu’un à ouvrir une boite (bonne action) ou voler la balle d’un camarade (mauvaise action). […] les bébés ont réellement une sorte de boussole morale rudimentaire », explique le chercheur principal de l’étude de Yale, Paul Bloom.

Pour en arriver à cette conclusion, ses collègues et lui avaient, à l’époque, présenté deux situations aux enfants. Dans les deux cas, un jouet, le « grimpeur », tentait de gravir une colline. Le premier cas présentait l’« assistant », un jouet aidant le « grimpeur », tandis que dans le deuxième, un autre jouet, le « pousseur », tentait nuire au « grimpeur ». Le jouet favori des enfants était l’« assistant ».

Les chercheurs d’Otago ont fait la même conclusion lors d’une expérience semblable.

Rappelons que dès l’âge de deux ans, les enfants ressentiraient le besoin de venir en aide aux gens lorsqu’ils se font mal, cherchent quelque chose ou n’arrivent pas à atteindre leur objectif.

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Les bébés très petits pourraient bénéficier du lait maternisé à la naissance

En fait, une petite quantité de lait maternisé pourrait améliorer le taux de croissance du bébé sans sacrifier les bénéfices associés au lait maternel, prétend l’étude publiée dans le journal BMC Pediatrics.

Le lait maternel fournit au bébé les meilleurs nutriments pour sa croissance et l’aide à se protéger contre plusieurs infections, virus et autres problèmes de santé. Toutefois, le lait maternel rend la croissance plus longue durant les premiers mois de la vie du poupon.

C’est pourquoi les experts soutiennent qu’il ne devrait pas constituer la seule source d’alimentation des bébés au poids inférieur à la normale.

« Le lait humain offre plusieurs bénéfices pour les enfants avec un TFPN et devrait bien sûr être la diète de base pour ces enfants. Cependant, nos bébés sont devenus en moyenne plus petits pour l’âge gestationnel entre leur naissance et leur congé de l’hôpital. Nous recommandons qu’une attention spéciale soit portée pour assurer que la quantité de protéines et de calories consommée est suffisante pour fournir les bénéfices d’une diète au lait humain sans sacrifier la croissance », explique la chercheuse principale de l’étude, Tarah Colaizy.

Rappelons que si votre bébé a un poids normal dès la naissance, il n’est pas recommandé de lui donner du lait maternisé, qui comporte généralement moins de bénéfices que les fabricants le laissent entendre.

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Les bébés devraient aussi faire plus d’exercice

L’exercice physique est important pour les bébés aussi, puisqu’il contribue à les faire grandir avec plus de force et en meilleure santé, peut-on lire sur le site Healthday.com.

Il existe plusieurs façons de faire bouger bébé. Par exemple, prenez un moment chaque jour pour jouer à un jeu actif. Faire coucou, entre autres, peut le stimuler et être bon pour lui.

Puis, sur un plancher propre, vous pouvez le déposer par terre et le laisser explorer son environnement.

Si vous souhaitez sortir de la maison, il existe peut-être dans votre quartier un groupe de jeu où il pourra rencontrer d’autres enfants de son âge et jouer avec eux.

Finalement, choisissez des activités où votre enfant pourra bouger le plus possible. Des activités impliquant un mouvement de ses jambes, ses bras, ses mains et ses pieds le feront bouger davantage.

Rappelons que les parents devraient encourager leurs enfants à être actifs dès leur plus jeune âge. L’exercice physique permet d’améliorer les capacités cognitives des enfants.

Les enfants actifs sont ainsi plus intelligents et ont une meilleure mémoire que ceux qui demeurent inactifs.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Des bactéries de l’intestin aident les bébés à digérer le lait maternel

C’est du moins ce qu’ont découvert les chercheurs de l’Université de Californie, à Davis, dont les découvertes ont été publiées dans le journal Molecular & Cellular Proteomics.

Le lait maternel aide les enfants à grandir et à devenir plus forts durant les premiers mois de sa vie, en plus de fournir une protection contre les infections, les allergies et bien d’autres maladies.

De plus, le lait favorise le développement d’une bactérie protectrice dans les intestins de l’enfant. En fait, le lait contient des glycans, des sucres complexes qui forcent le corps à produire des bifidobactéries pour les digérer.

Les bifidobactéries saisissent eux-mêmes les glycans libres dans le lait maternel, mais contiennent aussi des enzymes qui peuvent retirer les glycans des glycoprotéines, en représentant une source de nourriture de plus.

Les scientifiques espèrent maintenant pouvoir transmettre ces bienfaits à des enfants en moins bonne santé.

« L’objectif évident de cette recherche est de trouver des façons de transmettre les bénéfices fournis par le lait et les bifidobactéries aux populations à risque comme les enfants prématurés, les enfants mal nourris, parmi tant d’autres », explique le chercheur principal de la recherche, David A. Mills.

Rappelons que l’allaitement est préférable jusqu’à l’âge de six mois.

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Les zoos où voir des bébés animaux cet été

D’abord, le Smithsonian National Zoo de Washington a accueilli, il y a trois mois, deux petits guépards. Nommés d’après l’Américain et l’Américaine les plus rapides, ils sont Justin Gatlin et Carmelita Jeter.

Ensuite, le Burger’s Zoo des Pays-Bas a un bébé paresseux nommé Sjakie en son sein.

Puis, le nouveau venu du Taronga Western Plains Zoo d’Australie est un singe siamang.

En Irlande, un girafeau a vu le jour au zoo de Dublin. Le bébé n’a pas encore de nom.

Le plus lourd des bébés vit quant à lui dans l’Indiana, aux États-Unis. Nyah, le petit éléphanteau né au zoo d’Indianapolis, pesait 244 livres à sa naissance.

Également, le Zoo de Yalta, en Ukraine, a accueilli deux lionceaux blancs, une race très rare qui exige beaucoup de soins.

Finalement, un petit zèbre est né au zoo de Bâton Rouge, en Louisiane, tandis que quatre petits tigres sont nés au Peoria Zoo, en Illinois. En plus, trois ouistitis sont nés au Eberswalde Zoo, en Allemagne, et un ours polaire au Ranua Wildlife Park, en Finlande.

Rappelons qu’une sortie au zoo peut être l’occasion de passer un bon moment en famille. Plusieurs hôtels canadiens, dont le Delta Calgary Airport et le Sheraton Center Toronto, offrent cet été des forfaits incluant des accès à un zoo.

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Les bébés nés naturellement ont un QI plus élevé

En fait, chez les femmes qui accouchent naturellement, on observe dans le cerveau du bébé une plus grande quantité d’une protéine spéciale, appelée UCP2, qui aide à stimuler l’intelligence lors de son développement.

L’UCP2 contribuerait à favoriser la mémoire à court et à long terme, qui sont des composantes clés du QI durant la croissance.

« Ces résultats révèlent un rôle potentiellement critique de l’UCP2 dans le développement normal des circuits du cerveau et aux comportements qui y sont liés. […] Nous avons découvert que la naissance naturelle favorisait l’expression de l’UCP2 dans les neurones situés dans la région hippocampique du cerveau », explique l’auteure de la recherche, publiée dans PLoS ONE, Tamas Horvath.

De plus, l’UCP2 contribue à une chance accrue de la réponse favorable à l’allaitement pour le nouveau-né. La césarienne, elle, entraînerait plus de risques de saignements internes pouvant mener à des problèmes de fertilité, selon les experts.

Plus de 25 % des bébés nés dans les hôpitaux NHS naissent par césarienne, et ce chiffre atteint les 60 % en cliniques privées.

Rappelons que les enfants dont la mère a eu une césarienne sont plus susceptibles de souffrir d’obésité. Ils seraient deux fois plus à risque d’avoir un surplus de poids en vieillissant.

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L’alcool durant la grossesse responsable des changements cognitifs

C’est ce que prétendent les experts des National Institutes of Health et des chercheurs chiliens.

Ces anormalités impliquent des délais au niveau du langage et des capacités cognitives, de l’hyperactivité ainsi que des déficits d’attention.

Les chercheurs ont décelé ces problèmes chez 44 % des enfants dont les mères buvaient quatre verres ou plus de boissons alcoolisées durant la grossesse.

Le syndrome d’alcoolisation foetale peut aussi se traduire par des anormalités faciales. Toutefois, ces malformations faciales ne sont pas toujours présentes.

« Notre inquiétude est qu’en l’absence de traits faciaux distinctifs, les prestataires des soins de santé qui évaluent les enfants avec ce type de troubles neurologiques pourraient ne pas voir leurs antécédents d’exposition à l’alcool dans le ventre de leur mère. […] Ce faisant, les enfants pourraient ne pas recevoir les bons traitements et services », explique le Dr Devon Kuehn de l’Eunice Kennedy Shriver National Institute of Child Health and Human Development.

Rappelons qu’une femme sur 13 dit consommer de l’alcool durant la grossesse. C’est ce qu’a permis de conclure un sondage des Centers for Disease Control effectué auprès de 14 000 femmes enceintes des États-Unis plus tôt ce mois-ci.

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Les bébés d’automne ont tendance à vivre plus vieux

Selon des chercheurs de l’Université de Chicago, les bébés qui naissent dans un climat automnal risquent de vivre très vieux, comparativement aux bébés qui naissent au printemps ou même en juillet.
 
Il semblerait que l’environnement et la température automnale soient un excellent remède contre la mortalité précoce.
 
C’est en comparant la durée de vie de frères et de sœurs d’une même famille nés entre 1880 et 1895 que les chercheurs se sont aperçus que le mois de naissance faisait toute la différence, et que le milieu socio-économique ne changeait rien à la donne, car tous provenaient de la même famille.
 
La pauvreté ou encore les antécédents familiaux n’avaient pas d’impact et ont été exclus de l’étude, car seules les personnes d’une famille étant nées à l’automne, ou presque, avaient tendance à vivre plus tardivement.
 
L’étude parue sur le site Metropolitaine.fr précise toutefois que même si la plupart des centenaires d’aujourd’hui sont nés en septembre ou novembre, il n’y a rien de significatif dans ces données, il s’agit plutôt d’une tendance qui se répète…
 
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Hépatite B : 47 % des bébés vaccinés

Selon le Bulletin Épidémiologique Hebdomadaire du 10 juillet dernier, les bébés ne sont pas assez vaccinés contre l’hépatite B, avec un taux à 47 % en 2008, rapporte le site Famili.fr.

Pourtant, ce vaccin est primordial pour réduire la circulation du virus, qui fait encore un grand nombre de victimes à travers le monde.

Le bulletin précise que ce faible taux représente la vaccination chez les bébés âgés de 24 mois. Cette hépatite, qui peut être transmise notamment par les sécrétions biologiques, n’est donc pas une priorité pour les parents. Pourtant, la vaccination contre cette maladie est recommandée pour tous les nourrissons.

Les parents ne devraient pas s’inquiéter : les soupçons d’un risque de sclérose en plaques dû au vaccin ne sont plus d’actualité. Les médecins sont d’ailleurs de plus en plus nombreux à vacciner contre ce virus.

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FIV : cinq millions de bébés sont nés depuis 1978

Depuis le premier bébé éprouvette en 1978, Louise Brown, la procréation par fécondation in vitro n’a cessé de séduire les couples infertiles au fil des années.

Les chiffres le prouvent : près de 350 000 bébés sont conçus chaque année grâce à cette méthode dans le monde, selon les données de la Société européenne de reproduction humaine et d’embryologie (ESHRE) divulguées lors d’une conférence à Istanbul, en début de semaine.

Cinq millions de bébés sont donc nés depuis 1978. Ce chiffre se base sur les données des fécondations in vitro enregistrées dans le monde jusqu’en 2008, et ensuite sur des estimations jusqu’en 2012.

« Les techniques se sont grandement améliorées au fil des années avec une hausse des taux de grossesses. Les bébés qui sont nés sont en aussi bonne santé que ceux de parents infertiles qui ont conçu spontanément », a notamment indiqué le Dr David Adamson, président du Comité international pour la surveillance de la PMA (procréation médicalement assistée).

Une autre bonne nouvelle pour les futurs parents : le taux de succès d’un traitement s’est stabilisé à 32 % de taux de grossesse par embryon transféré.