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Plus de bébés en insuffisance pondérale en Alberta

L’Alberta est peut-être la province canadienne la plus riche, mais elle est aussi celle où le plus grand nombre de bébés en insuffisance pondérale (moins de 5,5 livres) ont vu le jour entre 2008 et 2009.
 
Selon l’Institut canadien d’information sur la santé, le taux de bébés trop petits représente 6,7 % de toutes les naissances. La moyenne canadienne est de 6 %.
 
Les bébés qui naissent en insuffisance pondérale peuvent avoir des retards de développement et des problèmes physiques. Ils peuvent également développer d’importants problèmes de santé plus tard, sans doute parce qu’ils n’ont pas terminé leur développement dans l’utérus. D’ailleurs, ils passent souvent beaucoup plus de temps à l’hôpital.
 
Le taux des naissances de bébés de faible poids varie d’une province à l’autre. À l’Île-du-Prince-Édouard, cela représente 4,9 % des naissances, au Manitoba 5,1 % et en Ontario, le taux est de 6,4 %.
 
La nouvelle étude démontre également qu’il y a de plus en plus de naissances qui se font à l’hôpital, une hausse de 4,8 % depuis 2006-2007.
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Les bébés nourris au biberon consommeront plus de calories plus tard

Il semblerait que le biberon ait une incidence sur le nombre de calories que les enfants vont consommer en vieillissant.
 
1 250 enfants ont été suivis durant leur première année de vie pour une étude parue dans la revue Pediatrics.
 
Les chercheurs constatent que les bébés nourris au biberon dès le début de leur vie peuvent consommer plus de calories plus tard, comparativement à ceux nourris au sein.
 
Même avec du lait maternel donné au biberon, l’effet est le même, l’enfant a moins d’autorégulation par la suite.
 
Les études ont souvent rappelé que l’allaitement diminuait les risques d’obésité infantile. On mentionnait alors que le lait maternel contenait une hormone qui régule l’appétit et le métabolisme.
 
Pourtant, si le lait maternel est donné au biberon, l’enfant consommera aussi plus de calories plus tard, s’exposant donc à un surplus de poids. On ignore ce qui causerait exactement ce phénomène, mais on explique qu’avec le biberon, les parents ont parfois tendance à insister pour que le bébé finisse la bouteille, ce qui ne devrait pas être fait.
 
Des études plus poussées doivent être entreprises sur le sujet.
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Les bébés non désirés sont maintenant recueillis dans un hôpital de Vancouver

Au 12e siècle, des églises avaient une « trappe » pour les bébés non désirés où les mères abandonnaient leur petit. Une alarme se faisait alors entendre pour indiquer la présence d’un enfant.
 
L’hôpital St. Paul, au centre-ville de Vancouver, est le premier établissement en Amérique du Nord à offrir une version moderne de cette « trappe », alors que la coutume est très répandue en Asie et en Europe.
 
Sous le signe d’un ange près de l’entrée de l’hôpital à Vancouver, il existe un « dépôt » pour bébés non désirés. Quand la porte de garde s’ouvre, il y a un délai de 30 secondes avant qu’une alarme retentisse pour indiquer au personnel la présence d’un bébé.
 
Pour les spécialistes, certaines femmes ne connaissent pas les solutions qui s’offrent à elles et l’abandon est la seule qu’elles envisagent. On ne souhaite pas encourager les femmes à abandonner leur enfant, mais si elles ont à le faire, vaut mieux que ce soit dans un hôpital.
 
On espère ainsi trouver moins de bébés morts, tués par des mères désespérées, ou encore abandonnés. Depuis 15 ans, on a enregistré sept cas d’abandon. Il est criminel d’abandonner son bébé en mettant sa vie en péril, mais dans un hôpital, la loi ne s’applique pas, car on prendra soin du petit avant qu’il ne soit placé sous les soins du ministère.
 
On assure que personne ne tentera de retrouver les mères qui choisissent l’option de l’hôpital St. Paul, rapporte Parent Central.
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La natation aide au développement des bébés

Enseigner aux bébés en bas âge à nager les aide à développer des capacités physiques étonnantes, selon le journal Child: Care Health and Development.
 
Une équipe de l’Université des Sciences et Technologies de Norvège a étudié 19 bébés nageurs et 19 bébés qui n’avaient pas appris à nager. On a remarqué très clairement que ceux qui nageaient avaient plus d’équilibre et plus de facilité à saisir des objets. Cette différence pouvait même être encore notée lorsque les enfants avaient cinq ans.
 
Pour l’étude, les bébés qui ont appris à nager avaient environ deux ou trois mois. Ils avaient des cours de natation à raison de deux heures par semaine. Durant ces leçons, on plongeait les bébés sous l’eau, on les faisait sauter du bord de la piscine, se tenir en équilibre sur la main de leur parent ou encore ramasser des objets flottants.
 
À cinq mois, les deux groupes de bébés ont passé quelques tests et ceux qui avaient appris à nager avaient de meilleurs résultats que les autres.
 
On mentionne que les instructeurs arrivaient à faire tenir des bébés debout en équilibre sur la paume de leur main durant les leçons de natation, ce qui est impressionnant de la part des bébés. Ceux-ci sont donc en mesure de garder leur équilibre et de bloquer leurs articulations.
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Les femmes qui prennent des multivitamines ont de plus gros bébés

Une étude rapportée par le Daily Mail mentionne que les femmes enceintes qui prennent une pilule de multivitamines tous les jours ont de plus gros bébés.
 
Ces médicaments préviendraient donc les risques de bébés de faible poids à la naissance,  qui cause plusieurs problèmes de santé, même dans les années qui suivent l’accouchement.
 
C’est la première fois qu’une étude démontre que les multivitamines spécialement conçues pour les femmes enceintes pourraient faire la différence dans les pays en développement où la nourriture se fait plus rare et la qualité de l’alimentation laisse souvent à désirer.
 
400 femmes enceintes avec des carences, vivant dans l’est de Londres, ont participé à l’étude. Dans les douze premières semaines de grossesse, la moitié des participantes ont pris la mutilvitamine Pregnacare, l’autre moitié a reçu un placebo.
 
Les femmes ayant pris des suppléments vitaminés ont eu des bébés de quatre onces plus gros que les autres. Seulement 8 bébés sur 88 nés de femmes ayant pris les vitamines sont nés avec un faible poids, contre 13 sur 61 pour celles ayant reçu un placebo.
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Les bébés de mères dépressives dorment moins bien

Le Point rapporte qu’une étude australienne démontre que les troubles psychologiques des jeunes mères affectent la qualité du sommeil de leur enfant.
 
Il semblerait que les troubles du sommeil des bébés soient liés à la santé psychologique de leur maman.
 
Il a été noté que les mères qui souffrent de dépression postnatale, par exemple, se plaignent de se faire souvent réveiller par les pleurs de leur bébé la nuit.
 
90 mères, dont 39 dépressives, et leur bébé de 5 à 12 mois ont été suivis pour l’étude. Les chercheurs ont observé que lorsque les mères se sentaient soutenues et encouragées, le problème était nettement moins important.
 
Des infirmières ont montré aux jeunes mères des comportements à adopter avec leur bébé. Ces sessions d’informations se sont déroulées pendant cinq jours. Pendant ce temps, il y a eu une nette amélioration quant aux réveils et aux pleurs des petits pendant la nuit. De plus, ces derniers s’endormaient beaucoup plus rapidement et la qualité de leur sommeil en était donc améliorée.
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Plus de bébés naissent avec la syphilis

Un rapport du gouvernement américain affirme que de plus en plus de bébés naissent avec la syphilis. La hausse des cas est plus importante au sud du pays, où de nombreuses femmes consomment de la drogue et s’adonnent à la prostitution.
 
Pendant 14 ans, on a noté un recul, mais depuis, on note une hausse de 23 % des cas de bébés qui naissent avec la maladie. En 2008, on parlait de 10,1 cas pour 100 000 naissances.
 
Si la femme est infectée durant sa grossesse par cette maladie transmise sexuellement, elle s’expose à un risque de bébé mort-né ou un enfanta avec des lésions nerveuses, des malformations ou souffrant de surdité. Un traitement antibiotique un mois avant l’accouchement peut prévenir plusieurs problèmes.
 
Souvent, les personnes souffrant de syphilis ne ressentent aucun symptôme, voilà pourquoi la maladie peut être transmise par une personne qui ignore qu’elle est infectée.
 
Sinon, la syphilis se présente sous forme de plaie et si elle n’est pas traitée, elle peut causer des éruptions cutanées, de la fièvre et les ganglions lymphatiques qui enflent. À un stade avancé, la maladie peut affecter le cerveau, les nerfs, les yeux, le cœur et d’autres organes.
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Des bracelets électroniques dans les pouponnières

On ignore si la tendance se propagera à d’autres pays, mais en Europe, on a implanté un système de bracelets électroniques qui sont fixés à la cheville des bébés dans les pouponnières.
 
Une trentaine de maternités françaises sont maintenant équipées de ce système de sécurité.
 
Ce moyen est surtout utilisé pour prévenir les enlèvements de bébés. Si le nouveau-né franchit un périmètre donné, une alarme sonne, les portes et les ascenseurs se bloquent.
 
Toutefois, selon le directeur de la maternité de Bordeaux Nord, Yves Noël, certaines jeunes mamans n’apprécient guère ce système, car elles ont l’impression que l’on remet en cause leur capacité à protéger leur enfant.
 
Ce bracelet ne sert pas seulement contre les enlèvements, il prévient aussi les mélanges de bébés. Cela permet donc de mieux les identifier et de ne pas les échanger lors d’une opération. Un mode de sécurité qui devrait être en place dans de nombreux autres établissements d’ici la fin de l’année en Europe.
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De plus en plus de bébés au Québec

Le Québec compte de plus en plus de naissances, malgré le fait que l’indice de fécondité demeure stable.
 
Ce phénomène est dû au fait qu’il y avait, en 2009, plus de femmes en âge d’avoir des enfants, selon l’Institut de la statistique du Québec (ISQ).
 
L’année dernière, il y a eu 88 600 naissances, une hausse de 1 % comparativement aux 87 600 enregistrées en 2008. Le taux de fécondité est toutefois demeuré stable à 1,73 enfant par femme, ce qui est en dessous du seuil de remplacement, selon la démographe de l’ISQ, Chantal Girard. « Le seuil de remplacement, c’est 2 ou 2,1 enfants par femme. Autrement dit, chaque couple se remplace par deux nouvelles personnes. Par contre, lorsqu’on tient compte à la fois de la fécondité, de la mortalité et des mouvements migratoires, pour la première fois depuis très longtemps, nos projections ne font plus état d’un déclin éventuel de la population du Québec, mais bien d’une augmentation. »
 
Donc, contrairement à ce qui avait été prédit, la population du Québec sera sans cesse croissante au cours des prochaines années. « Contrairement à ce que bien des gens pensent, la population du Québec ne diminue pas, elle augmente. Elle augmente moins vite que celle de nos voisins, mais elle augmente quand même. Elle va augmenter de plus en plus lentement, pour éventuellement se stabiliser, si la tendance se maintient, autour de 9 millions ou un peu plus de 9 millions de personnes. Actuellement, nous sommes à 7,8 millions environ et nous pourrions nous stabiliser autour de 9 millions dans une trentaine ou une quarantaine d’années », ajoute Mme Girard.
 
C’est dans les régions rurales qu’il y a le plus d’enfants et le taux de fécondité est à son plus fort dans la région du Nord-du-Québec, où il y a une forte concentration d’autochtones chez qui ce taux est déjà plus élevé, soit 2,9 enfants par femme.
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Les précautions à prendre avec les animaux

Grandir auprès d’un animal peut être très bénéfique pour le développement de votre enfant, mais sachez que ces petits amis peuvent aussi transmettre certaines maladies. N’ayez crainte, elles sont souvent faciles à traiter.
 
Si votre bébé a les ganglions enflés et paraît plus fatigué, il a peut-être attrapé la maladie des griffes de chat. La majorité des chats sont porteurs. Elle se soigne facilement avec des antibiotiques et l’enfant sera ensuite immunisé. Les chiens peuvent transmettre des parasites intestinaux dus aux vers et larves qui vivent en eux. Pensez à vermifuger votre chien régulièrement, éloignez bébé du bol de nourriture et gare aux parcs publics où votre enfant pourrait être en contact avec ces parasites, s’il joue dans le sable par exemple.
 
Aussi, les puces peuvent poser problème si votre animal est infecté. Plusieurs moyens aident à prévenir une infestation de ces bestioles, mais si votre animal en a et qu’elles piquent votre enfant, il aura besoin d’un antihistaminique comme soulagement. Un traitement antifongique pourrait être prescrit si jamais votre animal a transmis une mycose à votre enfant et un antiparasitaire s’il transmet la gale.
 
Ne vous découragez pas, avec une bonne hygiène et des moyens simples et préventifs, votre cohabitation sera parfaite et votre enfant ne sera que trop heureux d’avoir un compagnon à quatre pattes.