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Parler aux bébés les stimule

Bien avant que les petits commencent à parler, les mots jouent un rôle important dans leur développement cérébral. Même à trois mois, les mots ont plus d’impact sur leur esprit que tous les autres sons qu’ils peuvent entendre, y compris la musique.
 
Selon une étude publiée dans le journal Child Development, 50 bébés de trois mois ont été séparés en deux groupes. Certains visionnaient des photos de poissons avec des mots, alors que d’autres voyaient les photos avec seulement un signal sonore.
 
Par la suite, on leur a montré les photos des poissons avec des images de dinosaures afin de voir combien de temps ils regarderaient les photographies. Les bébés qui avaient eu les photos avec les mots ont regardé plus longtemps les images de poissons, démontrant ainsi qu’ils les avaient classées dans leur esprit.
 
Les capacités du cerveau des bébés ne s’arrêtent toutefois pas là et continuent de fasciner. Des études précédentes ont démontré que même à 12 mois, les bébés arrivent à comprendre des pensées complexes des adultes.
 
Il semblerait que même dans l’utérus de la mère, les bébés écoutent les conversations et arrivent à reconnaître les accents de leurs parents.
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Les bébés de milieux défavorisés sont plus difficiles

Les bébés issus de milieux défavorisés auraient les tempéraments les plus difficiles, selon ce que révèle une étude néerlandaise menée par la psychologue pour enfants Pauline Jansen.
 
Les parents peu instruits et à faible revenu auraient des enfants plus difficiles que les autres.
Selon Mme Jansen, les bébés de milieux défavorisés sont ceux qui pleurent le plus et qui réagissent le plus aux changements, comparativement à ceux dont les parents ont une instruction supérieure.
 
On a également remarqué que l’injustice sociale touchait aussi la grossesse. Les mères moins instruites seraient plus à risques de donner naissance à leur bébé prématurément, mais elles auraient aussi plus de chances d’avoir un enfant de faible poids.
 
Souvent, cela est dû au fait que les mères vivant dans un environnement défavorisé fument plus et sont souvent plus stressées, ce qui favorise des problèmes durant la grossesse et des bébés de petit poids.
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Les jeunes bébés plus exposés au bisphénol A

La controverse entourant le bisphénol A continue de faire couler beaucoup d’encre.
 
Le journal Risk Analysis rapporte que les jeunes bébés sont les plus exposés au bisphénol A, surtout ceux nourris au biberon.
 
Le bisphénol A est dangereux pour le développement de votre bébé.
 
Des chercheurs suisses ont étudié 17 sources potentielles de ce produit nocif sur neuf groupes de personnes d’âges et de sexes différents.
 
Ils notent que ce sont les enfants de zéro à six mois qui sont le plus exposés au bisphénol A, soit à 0,8 microgramme par kilogramme par jour. Par contre, le seuil européen demandé est de 50 microgrammes.
 
Il a été prouvé que le bisphénol A affecte le fonctionnement des intestins et est très nocif pour les femmes enceintes. De plus, des études récentes établissent un lien entre ce produit et les maladies cardiovasculaires.
 
Au Canada, la situation du bisphénol A est suivie de près. Au pays, il figure maintenant sur la liste des produits dangereux et il est interdit dans la fabrication des biberons et des sucettes pour bébés.
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Trop de polluants dans les chambres de bébés

Selon une étude européenne publiée dans le magazine 60 millions de consommateurs, les chambres de bébés comportent beaucoup trop de polluants.
 
Une étude a été menée auprès de 70 familles en France, en Allemagne, en Grèce et aux Pays-Bas.
 
Chez ces familles, 26 dépassaient le seuil permis de composés organiques volatils que l’on peut retrouver dans les chambres des enfants. On a noté également une grande présence de formaldéhyde, une substance cancérigène qui favorise l’apparition des allergies.
 
Les principaux polluants se trouvent dans les jouets, surtout ceux en plastiques. Ces derniers comportent le plus haut taux de phtalates, un composé chimique qui peut parfois s’avérer néfaste et qui affecte le système reproducteur de votre enfant.
 
Rappelons que les jouets en bois comportent parfois certains métaux lourds dangereux et du formaldéhyde également.
 
Soyez vigilants dans l’achat des jouets, renseignez-vous et nettoyez convenablement la chambre de votre bébé. Une bonne hygiène évitera bien des soucis.
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Les bébés plus lents à ramper auront plus de difficulté à l’école

Selon une nouvelle étude britannique dévoilée par le Daily Mail, les bébés qui sont incapables de ramper à neuf mois feront face à plus de difficultés à l’école et auront des problèmes à s’entendre avec leurs camarades de classe.  
 
C’est la première fois qu’une étude britannique met à jour un lien direct entre les problèmes de développement et la réussite scolaire. De plus, cela peut être identifié avant même que l’enfant atteigne son premier anniversaire.
 
Les chercheurs ont suivi 15 000 enfants pendant les cinq premières années de leur vie. Ils concluent que ceux qui sont incapables de ramper ou de s’asseoir sont plus susceptibles d’avoir des retards scolaires et de développer des comportements antisociaux, comme le refus de partager par exemple.
 
Après avoir effectué quelques tests, 96 % des enfants de neuf mois qui participaient à l’étude étaient capables de s’asseoir, 92 % étaient en mesure d’explorer leur environnement en rampant et 69 % pouvaient même se lever s’ils se tenaient à quelque chose.
 
Les enfants ayant été incapables de réussir les tests ont présenté des difficultés à l’école et avec leurs camarades alors qu’ils avaient cinq ans.
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Plusieurs causes à l’érythème fessier

L’érythème fessier est une affection très répandue chez les bébés et survient en général durant la première année de vie des tout-petits.
 
TopSante rappelle que le problème n’est en aucun cas lié à une mauvaise hygiène et se caractérise par des rougeurs aux fesses.
 
L’érythème fessier est parfois causé par des troubles digestifs mineurs et transitoires, par une diarrhée acide, une poussée dentaire ou par un banal virus comme un rhume. Certains produits de toilette, comme le talc, peuvent aussi engendrer ces rougeurs indésirables. Comme les orifices naturels sont à proximité, cela peut causer des irritations et des infections.
 
S’il n’est pas traité, l’érythème peut se propager jusqu’à la taille, à la limite de la couche. Il peut aussi être accompagné de petites lésions dues à une inflammation de l’anus provoquée alors par une mycose (un champignon parasite).
 
Les médecins rappellent donc qu’il est très important que le bébé ait les fesses au sec et qu’il faut changer sa couche le plus souvent possible, sans attendre qu’il pleure pour le faire. Aussi, il faut s’assurer de bien nettoyer et assécher avec précaution. L’application d’une crème spécialement conçue pour l’érythème fessier peut aider à prévenir les rougeurs.
 
Si votre bébé est affecté et que le temps le permet, vous pouvez toujours laisser bébé les fesses à l’air à la maison.
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L’alcool durant la grossesse atténue la réponse à la douleur des bébés

Selon l’université de la Colombie-Britannique, l’exposition prénatale à l’alcool affecte la réponse à la douleur des bébés.
 
L’étude, publiée dans le Alcoholism: Clinical and Experimental Research, rappelle que nous savions déjà que la consommation d’alcool durant la grossesse affectait la santé des bébés, mais la récente étude démontre que cela touche aussi leur réponse à la douleur, mettant ainsi leur vie en danger.
 
Les essais cliniques ont été réalisés en Afrique du Sud, où 11 % des enfants sont atteints du syndrome de l’alcoolisme fœtal. Au Canada, ce taux se situe à 0,9 %.
 
Les chercheurs se sont aperçus de ce phénomène en piquant le talon des bébés afin de recueillir du sang pour les tests de dépistage habituels des maladies métaboliques comme l’hypothyroïdie.
 
Les enfants dont les mères avaient consommé au moins 14 verres d’alcool par semaine durant leur grossesse n’ont pas réagi à la douleur de la piqûre par l’aiguille. Les médecins peuvent vérifier que les bébés ont ressenti la douleur par des cris, des grimaces ou encore par leur rythme cardiaque qui s’accélère. Or, les bébés ayant été exposés à l’alcool avant de naître n’ont eu aucun de ces signes.
 
L’alcoolisme fœtal est aussi reconnu pour faire augmenter l’anxiété, les dépressions et l’agressivité. Les enfants ayant ce syndrome ont aussi plus de difficulté à gérer le stress.
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Les bébés n’ont pas une bonne alimentation

Une étude de l’Institut d’études In Vivo BVA, pour le Syndicat français des aliments de l’enfance, dévoile que les bébés âgés de 1 à 3 ans ont une alimentation inadéquate qui est plutôt faite d’excès et d’aliments non adaptés habituellement réservés aux adultes.

On estime que 34 % des enfants de 13 à 18 mois consomment déjà des charcuteries. Il existe donc un réel écart entre la réalité et les recommandations nutritionnelles des tout-petits.

Trois facteurs sont attribuables à cet écart, soit l’ajout d’aliments non essentiels comme le beurre ou le fromage, les repas non adaptés pour les besoins des enfants et l’utilisation des aliments destinés aux adultes comme les frites et les poissons panés. L’étude indique que 53 % des 13 à 18 mois et 98 % des 31 à 36 moins ont déjà adopté une alimentation semblable à celle de leurs parents.

Pourtant, la période de 1 à 3 ans est cruciale pour le développement des enfants et leur alimentation doit répondre à leurs besoins spécifiques. Cela jouera un rôle plus tard sur leur santé et leur préférence au niveau des aliments.

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Papa est plus souvent le premier mot des bébés

Un sondage relaté dans le Daily Telegraph de Londres révèle que dans 15 % des cas, c’est le mot « papa » que les bébés prononcent en premier.

« Maman » est le premier mot dans 10 % des cas, mais on retrouve certains mots plutôt insolites parfois pour les premières paroles de bébés. Certains parents disent que leur enfant a dit soit « chat » ou « bière ».

95 % des parents disent se souvenir du premier mot que leur enfant a dit et en moyenne, c’est entre l’âge de 10 et 11 mois que cela se produit. Apparemment, les petites filles sont souvent plus rapides et ont moins de difficulté à apprendre à parler. De plus, ce sont les premières à arriver à assembler deux mots. 22 % des filles y parviennent pour leur premier anniversaire comparativement à 16 % des garçons.

Selon le sondage, 6 parents sur 10 croient que parler, comprendre et écouter sont les compétences les plus importantes que les jeunes enfants devraient développer, bien avant de savoir interagir avec les autres (26 %), lire (11 %), compter (2 %) ou écrire (1 %). Cela s’explique par le fait que de savoir s’exprimer est fondamental dans notre société et que tout le reste en découle.

Afin d’aider leur enfant à développer ses capacités de communication, les parents regardent des livres d’images avec lui, jouent à des jeux de mots, lui racontent des histoires ou encore récitent des comptines.

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Les bébés pleurent dans différentes langues

Selon le Current Biology, des chercheurs de l’Université de Würzburg en Allemagne, affirment que les bébés pleurent dans leur langue maternelle.

On savait déjà que les nouveau-nés pouvaient percevoir certains sons dès la naissance, comme la voix de leurs parents, mais on ne pensait pas qu’ils pouvaient imiter les sons avant d’avoir environ douze semaines.

On a donc enregistré et analysé 60 cris de bébés âgés de 3 à 5 jours. 30 étaient nés dans une famille française et l’autre moitié provenait de familles allemandes. Après l’analyse, on a noté une différence très nette dans les « mélodies » des cris qui concordaient avec les intonations de leur langue maternelle.

Ainsi, les bébés français avaient tendance à commencer leurs pleurs calmement pour finir avec une note élevée, alors que les petits Allemands faisaient le contraire.

Toutefois, d’autres universitaires ne sont pas convaincus de ces résultats, car peu importe la langue, il y a des notes élevées et basses dans les pleurs. Le langage des nourrissons est encore trop complexe pour arriver à des conclusions précises comme celles-ci, selon eux.

Par contre, si l’étude est véridique, cela indiquerait que dès la naissance, les bébés assimilent déjà des éléments du langage.