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La recherche avance sur le virus responsable de nombreuses anomalies congénitales

Le cytomégalovirus est peu connu de la population générale et pourtant, il est très répandu parmi celle-ci. De 30 à 70 % des gens vivant dans les pays industrialisés en seraient porteurs.

Il s’agit d’un virus de la même famille que l’herpès, celui de la varicelle et du zona. Une fois qu’une personne est infectée, elle le demeure toute sa vie.

La plupart des personnes atteintes n’auront jamais de signes de leur infection, mais celle-ci est particulièrement problématique chez les femmes enceintes.

Les scientifiques estiment que jusqu’à 2,4 % des femmes enceintes vont contracter la maladie durant leur grossesse. Ceci affectera la moitié des foetus, en causant des lésions qui provoqueront une série de problèmes comme des atteintes neurologiques, de la surdité, des problèmes hépatiques ou digestifs, ou une microcéphalie.

« Plus d’enfants ont des anomalies à cause de cette maladie qu’à cause de n’importe quel autre problème congénital, par exemple la trisomie ou le syndrome d’alcoolisme foetal », a expliqué Gavin Wilkinson, selon EurekAlert!.

« Mais nous venons de trouver une nouvelle manière dont ce virus se cache de la détection immunitaire. En découvrant ce mécanisme, nous nous rapprochons de mettre sur pied un vaccin qui permettrait d’éliminer les cellules infectées », a-t-il ajouté.

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Une femme sur 7 souffrirait de dépression post-partum

Une nouvelle étude portant sur 10 000 nouvelles mères a révélé que 14 % d’entre elles souffraient de dépression post-partum. De ce nombre, 826 ont subi une évaluation psychiatrique complète.

Près de 20 % d’entre elles avaient déjà pensé à se faire du mal. Ce nombre est très préoccupant quand on sait qu’un décès post-partum sur 5 est lié au suicide, et que cette cause de mort est la 2e plus importante chez les nouvelles mères, après les complications liées à l’accouchement.

De plus, 30 % des femmes qui souffraient de dépression ont affirmé qu’elles étaient déjà dépressives avant leur grossesse, et le même nombre souffrait de dépression durant celle-ci. Près de deux tiers de ces femmes souffraient également d’anxiété. 22 % avaient un trouble bipolaire, qui n’avait jamais été diagnostiqué par leur médecin.

« La majorité des nouvelles mères qui souffrent de dépression post-partum ne sont jamais identifiées ni traitées, même si elles sont à haut risque de développer des problèmes psychiatriques. Il s’agit d’un problème de santé publique énorme. La santé mentale d’une mère a un impact énorme sur le développement du foetus, ainsi que sur le développement physique et mental du bébé », a expliqué la Dre Katherine Wisner, selon PscyhCentral.

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Une nouvelle manière d’évaluer le développement cérébrovasculaire des bébés

Quatre millions de bébés naissent chaque année aux États-Unis. Parmi ceux-ci, il y a 12 % de prématurés, 8 % qui ont un petit poids, et 1 à 2 % qui souffrent de détresse respiratoire.

Ceci mène à un taux de décès de 6 nouveau-nés par 1000 naissances. Même si ce nombre est beaucoup moins élevé qu’auparavant, il reste catastrophique.

Des médecins ont donc mis au point une manière efficace d’évaluer s’il y a présence de lésions cérébrales, et s’il y a une progression de celles-ci. Il s’agit d’un test effectué avec un outil de mesure optique qui est appliqué directement sur la tête du nouveau-né, mais qui ne cause aucun danger pour lui.

Jusqu’à présent, il n’était pas possible de bien surveiller le développement du cerveau chez ces bébés à risque.

« Nous voulons mesure le développement cérébrovasculaire et l’état du cerveau chez les nouveau-nés », a expliqué la Dre Maria Franceschini, citée par Science Daily.

« Cette technologie va nous permettre de mieux suivre les bébés qui pourraient avoir des convulsions, des hémorragies cérébrales et d’autres problèmes du cerveau qui demandent une attention immédiate », a ajouté la chercheuse.

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Quand peut-on sortir un nouveau-né en public?

Essayez d’éviter les périodes de pointe : Si vous devez aller à la pharmacie ou à l’épicerie avec bébé, profitez des moments calmes de la journée, par exemple le matin ou après le souper, les jours de semaine.

Pensez aux visites médicales : Si c’est possible (ce n’est pas toujours le cas), tentez d’avoir un rendez-vous chez le médecin, l’infirmière ou alors pour les vaccins en dehors des heures les plus occupées. Il va de soi que beaucoup de gens se rendent à la clinique parce qu’ils sont malades, alors c’est peut-être l’endroit le plus à risque!

Soyez particulièrement vigilant avec un bébé de moins de deux mois : Les nouveau-nés ont un système immunitaire moins développé et sont plus vulnérables aux infections sérieuses.

Les pires et les meilleurs endroits pour amener bébé : Les endroits extérieurs comme les parcs sont habituellement sécuritaires, tandis que les endroits fermés, où il y a beaucoup de gens, le sont moins. L’endroit où bébé est le plus susceptible d’attraper des microbes serait un avion, un train ou un autobus, parce que l’air y est recyclé.

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Tout sur le lait maternisé

Contrairement au lait maternel, un biberon de lait maternisé ne peut pas se préparer trop longtemps d’avance. Pour éviter la prolifération de bactéries, le biberon doit être terminé au plus une heure après qu’il ait été préparé.

Si vous n’êtes pas à la maison et devez prévoir un ou quelques biberons, vous pouvez déjà mesurer l’eau dans le biberon, mais vous devrez apporter la poudre ou le lait à diluer à part, et le mélanger juste avant de le donner à bébé.

Le lait déjà prêt à l’emploi peut quant à lui être versé dans le biberon et gardé au frais pendant quelques heures.

Si bébé ne finit pas son biberon, on jette le reste. Pas question de le garder pour la prochaine fois!

Ce n’est pas nécessaire de faire bouillir l’eau, mais vous pouvez le faire si vous le souhaitez, surtout pour les nouveau-nés. L’eau du robinet est parfaitement acceptable, de même que l’eau en bouteille.

N’oubliez pas que lorsque bébé commence à manger des aliments solides, vous pouvez également utiliser le lait maternisé pour préparer ses céréales ou encore d’autres purées.

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L’allaitement ne prévient pas l’obésité

Des chercheurs de la Biélorussie ont enrôlé 17 046 bébés nés en 1996 et 1997, à travers 31 centres familiaux. La moitié de ceux-ci ont implanté une série de mesures dictées par l’Organisation mondiale de la santé pour encourager l’allaitement (le « groupe d’intervention »), et les autres non (le « groupe de contrôle »).

Selon les chercheurs, ceci a eu une très grande influence sur la durée et l’exclusivité de l’allaitement, ce qui a permis de bien établir une causalité entre l’allaitement et la croissance, incluant le poids.

À trois mois, 43 % des bébés du groupe d’intervention étaient allaités exclusivement, comparativement à seulement 6 % des bébés du groupe de contrôle.

Des années plus tard, alors que les enfants avaient un âge moyen de 11,5 ans, un suivi a été effectué, et une série de mesures anthropomorphiques ont été prises. Il n’y avait qu’une différence de 0,19 kilogramme entre les enfants provenant des deux différents groupes.

« Les résultats de cette étude à large portée indiquent que l’intervention pour promouvoir l’allaitement n’a pas réduit les mesures d’adiposité ni la prévalence de surpoids ou d’obésité chez les préadolescents », ont observé les auteurs, selon Med Page Today.

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Les bébés sont capables de montrer une préférence envers les gens comme eux

Des psychologues ont demandé à des bébés de 9 et de 14 mois de choisir leur aliment préféré entre des biscuits Graham et des haricots verts. Ensuite, les bébés ont regardé un spectacle de marionnettes où un des personnages aimait mieux les biscuits Graham, et l’autre aimait plutôt les fèves vertes.

Une des marionnettes échappait ensuite sa balle, et les bébés assistaient à deux scénarios différents : dans le premier, l’autre personnage aidait toujours la marionnette à retrouver sa balle, tandis que dans le second, l’autre volait toujours la balle.

Lorsque les chercheurs ont demandé aux bébés de choisir leur personnage préféré, les tout-petits ont presque toujours sélectionné la marionnette qui aidait celle qui était comme eux – c’est-à-dire qui préférait le même aliment qu’eux, rapporte Science Daily.

« Comme les adultes, les bébés assimilent de l’information non seulement sur ce que les autres font (agir de manière gentille ou méchante), mais également à qui ils le font (quelqu’un qu’ils aiment ou n’aiment pas) lorsqu’ils font des évaluations sociales », a suggéré l’auteure de l’étude, Kiley Hamlin, professeure à l’Université de Colombie-Britannique.

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Le baby blues

Environ 40 à 80 % des nouvelles mamans vont vivre un baby blues, c’est-à-dire une courte période de dépression causée par tous les bouleversements physiques, hormonaux et psychologiques liés à l’arrivée d’un nouveau bébé.

Le premier symptôme est souvent un sommeil perturbé. Il y a aussi une attitude hypervigilante et hyperactive, des problèmes d’alimentation (de la mère et du bébé), le sentiment d’être complètement dépassée par la situation (l’allaitement, les pleurs et les cris du bébé), une tristesse prononcée, le sentiment de doute constant…

Le baby blues peut durer de quelques heures à quelques jours, et peut être plus ou moins sévère. Certaines femmes s’en tireront avec une seule bonne crise de larmes, alors que d’autres se sentiront presque paralysées. Au-delà de 10 jours par contre, il est possible que la mère souffre plutôt de dépression post-partum, qui demande un suivi médical et possiblement psychologique.

Pour passer à travers le baby blues, il faut en parler, parce que mettre des mots sur ces émotions difficiles peut réellement aider. N’hésitez pas à avoir recours à un professionnel, qui vous procurera de l’écoute, des soins et une orientation.

Si possible, demandez également l’aide d’un proche qui pourra prendre soin de bébé, ne serait-ce que pour quelques heures, ce qui vous permettra de vous reposer et de vous retrouver au moins un peu.

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Comment couper les cheveux des tout-petits

Quand doit-on commencer à couper les cheveux des bébés? Dès que ceux-ci commencent à lui tomber dans le visage et le dérangent.

Ceci peut survenir aussi tôt que 5 mois, mais les petits de cet âge ont souvent une chevelure inégale. Il n’est donc pas nécessaire d’essayer de vraiment les coiffer, juste de couper les mèches qui les empêchent de bien voir.

Si c’est possible, utilisez des ciseaux de coiffeur, car ceux-ci devraient être affutés le plus possible. Pour couper les cheveux d’un bébé, c’est préférable que quelqu’un le tienne dans ses bras, pour le garder dans la bonne position et l’empêcher de trop bouger, et qu’une autre personne effectue la coupe.

Ne mouillez pas les petits cheveux avant de les couper, sous peine de faire une couper trop courte! Vous pouvez couper les mèches de la nuque et du devant, en tenant les cheveux entre deux doigts et en y allant un peu à la fois, la mèche en l’air.

Finalement, il vaut mieux éviter de couper le tour d’oreille d’un tout-petit, afin d’éviter les blessures.

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Les bébés victimes de violence présentent souvent des signes avant-coureurs

Des chercheurs ont évalué les cas de 401 bébés de moins d’un an qui avaient été vus par un travailleur social dans un hôpital à cause d’une crainte que l’enfant ait été violenté.

Ces bébés ont été séparés en quatre catégories : ceux qui avaient un traumatisme crânien manifestement causé par des sévices, ceux qui avaient une autre blessure aussi causée par des sévices, ceux qui avaient un risque jugé « intermédiaire » d’avoir subi de la violence, et ceux pour lesquels les sévices avaient été écartés après l’évaluation.

Un total de 27,5 % des enfants qui avaient assurément subi de la violence présentaient une blessure précédente appelée « sentinelle », c’est-à-dire qu’elle aurait dû sonner l’alarme. En comparaison, aucun des bébés qui n’avaient pas subi de sévices ne présentait une telle blessure.

Les chercheurs ont indiqué que chez des enfants de cet âge (l’âge moyen était de 4 mois), qui ne sont pas encore très mobiles, certaines blessures sont extrêmement rares, par exemple des ecchymoses ou des déchirures du filet de la langue.

Les chercheurs avancent que ces blessures devraient toujours être considérées comme suspectes, et que les médecins devraient les rapporter aux autorités, selon ce que rapporte Med Page Today.