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Les lingettes pour bébé : oui ou non?

Une dermatologue pédiatrique, la Dre Audrey Lasek-Duriez, tient à rassurer les parents : « Il ne faut pas avoir peur des lingettes pour bébés. Cependant, comme tout produit cosmétique, il peut y avoir un risque toxique, un risque faible d’allergie de contact à cause des conservateurs ou des parfums, ainsi qu’un risque d’irritation ».

Celle-ci conseille tout de même aux parents de réserver les lingettes pour les changements de couche à l’extérieur de la maison. Chez soi, elle recommande simplement un lavage à l’eau et au savon.

Pour les parents qui tiennent à utiliser les lingettes, il faut les choisir hypoallergéniques, sans parfum et sans phénoxyéthanol, le conservateur toxique qui est maintenant remis en cause et qui peut aussi être appelé phénoxytol ou EGPhE).

D’autres ingrédients bizarres auxquels il faudrait faire attention : le méthylchloroisothiazolinone, le méthylisothiazolinone, le méthyldibromoglutaronitrile, le quaternium-15 et le DMDM hydantoine. Si l’ingrédient est si difficile à prononcer, c’est qu’il ne devrait pas avoir sa place sur les douces fesses de votre tout petit bébé!

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Les bébés de mères en surpoids sont plus à risque de faire de l’athérosclérose

Des chercheurs australiens ont étudié le cas de 23 femmes enceintes, âgées de 35 ans en moyenne, qui en étaient à plus ou moins 16 semaines de grossesse. Leur indice de masse corporelle a été calculé. Celui-ci était de 26 en moyenne, ce qui correspond à un embonpoint léger.

Tous les bébés sont nés à terme, et leur poids moyen à la naissance était de 3,3 kilos (7,3 livres). Les bébés ont subi une échographie durant la première semaine de leur vie, ce qui a permis aux chercheurs de mesurer l’épaisseur de leur aorte, l’artère la plus importante du corps humain.

Dans les pays industrialisés, environ 60 % des femmes en âge d’enfanter ont un surplus de poids ou sont obèses, et les chercheurs avaient émis l’hypothèse que ceci pouvait avoir un impact sur le développement éventuel de maladies cardiaques chez leurs enfants.

Les bébés nés de mères avec un surplus de poids avaient une aorte plus épaisse de 7 mm par rapport aux bébés nés de mères de poids normal. Ce chiffre semble minuscule, mais a été considéré comme très significatif pour les chercheurs.

Ceux-ci ont expliqué que l’épaisseur de cette artère était le signe avant-coureur le plus important d’athérosclérose, rapporte Med Page Today.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans le journal médical Archives of Disease in Childhood Fetal & Neonatal Edition.

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Les bébés qui ne grossissent pas assez n’ont pas besoin de calories supplémentaires

Des chercheurs ont étudié 11 499 bébés nés à terme dans les années 90 en Grande-Bretagne.

Parmi ceux-ci, et lorsque comparés aux chartes de croissance, 507 n’ont pas pris assez de poids durant les 8 premières semaines de leur vie (groupe précoce). 480 ont suivi la courbe durant les deux premiers mois, mais leur prise de poids a été beaucoup plus lente par la suite, jusqu’à neuf mois (groupe tardif). 30 bébés appartenaient simultanément aux deux groupes.

Les tout-petits du groupe précoce se sont rattrapés rapidement et avaient presque repris le poids auquel on s’attendait à l’âge de 2 ans. Ceux du groupe tardif ont plutôt poursuivi leur prise de poids lente jusqu’à l’âge de 7 ans, puis ont eu une « poussée » entre 7 et 10 ans.

Dans les deux groupes, leur poids était la plupart du temps considéré comme « normal » à 13 ans, même si ces enfants tendaient toujours à être plus petits et plus légers que la moyenne.

« De façon générale, les parents peuvent être rassurés à propos de leur enfant qui grossit lentement, si celui-ci est en bonne santé », a noté l’auteur, Alan Edmond, qui est professeur à l’Université de Bristol, selon Medical News Today.

Il a ajouté qu’il n’y avait pas lieu de comptabiliser les calories pour ces enfants, de leur procurer de la nourriture supplémentaire ou de les forcer à manger.

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Une échographie pourrait révéler le risque d’autisme à la naissance

Les chercheurs savent déjà que les bébés de petit poids sont particulièrement vulnérables à recevoir plus tard un diagnostic de trouble dans le spectre de l’autisme (TSA).

En analysant les données provenant de 1105 bébés de petit poids qui avaient subi une échographie intracrânienne peu après leur naissance, les chercheurs ont constaté des parallèles intéressants.

En effet, les bébés qui avaient des ventricules plus gonflés, c’est-à-dire des cavités du cerveau qui contiennent du liquide rachidien, couraient 7 fois plus de chance que les autres de développer plus tard un TSA.

« Pendant plusieurs années, il y a eu une controverse à propos de la vaccination ou des facteurs environnementaux et de leur lien potentiel avec l’autisme, et nous nous sommes demandé à quel âge les enfants commençaient à développer le trouble », a expliqué l’auteure de l’étude, Tammy Movsas, selon ce que rapporte Science Daily.

« Mais ce que notre étude montre, c’est que ce risque est probablement déjà présent à la naissance, et pourrait être lié à des anomalies du cerveau. »

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Les probiotiques durant la grossesse diminuent les allergies chez les tout-petits

Des chercheurs norvégiens ont analysé les données provenant de 41 000 mères et leur enfant, qui ont rempli des questionnaires sur leurs habitudes alimentaires lors de leur 22e semaine de grossesse. Ces mères ont également fourni des renseignements sur les allergies de leur enfant à 6, 18 et 36 mois.

Environ 37 % des mères consommaient des produits laitiers contenant des probiotiques, tandis que 0,4 % en prenaient sous forme de suppléments. De plus, 18 % de ces mères donnaient également des probiotiques à leur enfant à partir de l’âge de 6 mois.

À l’âge de 6 mois, les enfants dont les mères avaient pris des antibiotiques avaient 7 % moins de risques d’eczéma et 12 % moins de risques de problèmes d’allergies.

Une autre constatation surprenante : le risque était encore beaucoup moins élevé chez les enfants dont la mère prenait des probiotiques, mais qui étaient nés par voie naturelle, comparativement aux petits nés par césarienne, rapporte MedPageToday.

Les résultats de cette étude ont été présentés au récent congrès de l’American Academy of Allergy, Asthma and Immunology.

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Les femmes enceintes devraient recevoir de nouveaux vaccins

Le CDC vient de publier ses nouvelles recommandations officielles dans le journal médical Morbidity and Mortality Weekly Report.

Les experts de l’organisme suggèrent ainsi fortement que les femmes enceintes reçoivent un vaccin contre le tétanos, la diphtérie, et la coqueluche.

Ces recommandations visent à mieux protéger les bébés contre la coqueluche, qui connaît une recrudescence sans précédent depuis les dernières années. Ainsi, plus de 41 000 cas de coqueluche ont été répertoriés aux États-Unis en 2012, un nombre record.

L’infection a malheureusement causé la mort de 14 bébés de moins d’un an; ceux-ci sont particulièrement vulnérables à la maladie.

Le vaccin peut être administré à n’importe quel moment de la grossesse, mais de préférence entre la 27e et la 36e semaine de gestation. Les experts ont basé leur décision sur le fait que des études montrent que les anticorps contre la coqueluche se transmettent de la mère au bébé à travers le placenta.

Ce vaccin devrait être répété à chaque grossesse, et ce, même si les mères ont déjà été immunisées auparavant, tel que rapporté par Med Page Today.

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Le stress vécu par les nouveau-nés affecte leur coeur

Le cœur de ces bébés souris a en effet souffert lorsqu’ils ont été séparés de leurs mères, et qu’ils ont reçu un agent qui fait monter la pression artérielle.

Leur muscle cardiaque perdait de sa capacité à se détendre puis à se remplir à nouveau de sang bien oxygéné. Cette diminution de capacité s’est toutefois stabilisée lorsque les souris ont atteint environ 6 mois, ce qui correspond à leur âge mûr.

« Nous croyons que ces bébés malades sont probablement à risque de développer plus tard des maladies cardiovasculaires, et nous souhaitons travailler pour mieux comprendre ce qui les expose à ce risque, » a expliqué l’auteure de cette étude préliminaire, la néonatalogiste américaine Dre Catalina Bazacliu.

Selon Science Daily, des études précédentes ont déjà prouvé que le stress en début de vie pouvait mener à des problèmes de santé plus tard.

Par exemple, des bébés nés durant une famine coïncidant à la 2e Guerre mondiale aux Pays-Bas se sont révélés beaucoup plus susceptibles de souffrir de maladies cardiaques, de diabète et d’obésité.

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L’obésité de la mère pourrait altérer le développement du cerveau du bébé

Des chercheurs ont analysé le liquide amniotique provenant de 8 femmes enceintes obèses ayant subi une amniocentèse, ainsi que celui provenant de 8 femmes formant un groupe de contrôle.

Bien sûr, chacune ayant un bébé du même sexe et du même âge gestationnel que les femmes du premier groupe.

Chez les femmes obèses, l’expression des gènes impliqués dans le processus normal d’apoptose du système nerveux central était beaucoup moins élevée.

De plus, le liquide amniotique des femmes obèses avait un taux neuf fois plus élevé provenant d’un gène appelé APOD. En temps normal, celui-ci protège les neurones, mais il devient probablement néfaste lorsqu’il est présent en trop grande quantité.

Une experte, la Dre Mary D’Alton, a expliqué que les données ne signifient pas que tous ces enfants auront un cerveau anormal, rappelant qu’il s’agit uniquement d’une étude préliminaire.

Mais elle a fortement suggéré aux femmes obèses d’aller chercher conseil avant d’essayer de tomber enceinte. « Nul besoin d’attendre pour cela… Il y a une multitude de raisons pour lesquelles ces femmes devraient perdre du poids, » selon Med Page Today.

Les résultats de l’étude ont été présentés lors du récent congrès de la Society for Maternal-Fetal Medicine.

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Nettoyer le délicat visage de bébé

La première règle à suivre : commencer par le propre, et terminer par le sale!

Concrètement, ça veut dire débuter par le front, puis nettoyer les joues, le menton, et finalement, la bouche. On utilise une débarbouillette et l’eau du robinet suffit.

Si les parents veulent ajouter du savon, il faut choisir un savon surgras, sans colorant, parfum ou produits chimiques. On évite les lingettes le plus possible, parce « qu’il y en a qui contiennent beaucoup de substances irritantes, » affirme le pédiatre.

Les yeux : Il est préférable d’utiliser des cotons, un pour chaque œil. On ne doit pas frotter les yeux.

Le nez : Celui-ci doit être nettoyé deux fois par jour, particulièrement l’hiver et lorsque bébé fréquente une garderie. La solution saline est parfaite pour cela.

Les oreilles : Il faut seulement nettoyer l’extérieur, si le cérumen a coulé un peu. On évite les cotons-tiges, qui peuvent blesser l’oreille fragile.

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Les adultes ne savent pas très bien décoder les pleurs des bébés

Des chercheurs espagnols ont analysé les pleurs de 20 bébés âgés de 3 à 18 mois, et ont publié l’étude dans la revue Spanish Journal of Psychology.

La plus grande différence entre les divers types de pleurs se trouvait surtout dans les yeux, ont affirmé les chercheurs. Les bébés gardent les yeux ouverts lorsqu’ils pleurent parce qu’ils ont peur ou qu’ils sont fâchés, mais les ferment lorsqu’ils ont mal.

La dynamique des pleurs est aussi importante : dans le cas de la colère, les gestes et l’intensité augmentent avec le temps, mais si le bébé a peur ou est fâché, l’intensité est présente dès le début et demeure.

Les adultes n’arrivent pas très bien à distinguer la cause des pleurs des bébés, ont ajouté les auteurs de l’étude, particulièrement dans le cas de la colère et de la peur.

Une chose est sûre cependant, « lorsque les bébés pleurent parce qu’ils éprouvent de la douleur, les adultes ont une réaction affective plus intense », a fait remarquer Mariano Choliz, selon Science Daily.