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Si tous les nouveau-nés étaient allaités, 830 000 vies pourraient être sauvées chaque année

Le système immunitaire des bébés obtient un bénéfice incroyable du colostrum, le « premier lait » que la mère transmet durant les premiers jours de vie du bébé.

Plus les mères commencent à allaiter tôt après la naissance, plus il y a de chances qu’elles allaitent encore après 6 mois, ce qui réduit de beaucoup le risque de malnutrition et de maladies mortelles pour les bébés, expliquent les auteurs du rapport.

Le taux d’allaitement à l’échelle mondiale est plutôt bas, autour de 40 %. Pourtant, il s’agit véritablement de l’outil le plus efficace pour réduire la mortalité infantile, a expliqué la présidente de Save the Children, Carolyn Miles, selon Medical News Today.

Selon les auteurs, il existe 4 barrières majeures à l’allaitement dans le monde : les pressions culturelles et de la communauté, une pénurie de travailleurs de la santé, des lois trop floues et les fabricants de lait maternisé et leur marketing extrêmement efficace.

Environ 20 % des décès chez les nouveau-nés pourraient être prévenus si chaque enfant était allaité durant sa première heure de vie, a rappelé l’organisme.

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Les 8 aspects les plus difficiles de devenir parent

1. Le manque de sommeil : Même si on s’y attend, c’est souvent l’aspect le plus brutal. Surtout si ce problème s’étire dans le temps.

2. L’anxiété de séparation : Même si c’est réconfortant de voir que son enfant tient tellement à nous, c’est tellement difficile de le voir inconsolable lorsqu’on s’en va.

3. La culpabilité : Retourner au travail, ne pas avoir allaité très longtemps… Presque toutes les mères se sentent coupables.

4. Les enfants malades : Le fameux premier hiver à la garderie, alors que les enfants attrapent tous les microbes qui passent! On a hâte qu’il soit fini.

5. Le temps pour soi : Prendre soin d’un bébé, c’est souvent dire adieu, pour un temps du moins, à toutes ces petites choses que nous faisions pour prendre soin de nous avant.

6. La peur : Tellement de choses horribles pourraient arriver à notre petit bébé inoffensif! C’est épouvantable!

7. Les coûts : Entre les couches, tous les accessoires, les vêtements et tout le reste, ça coûte cher, un bébé.

8. Le désordre : Même s’ils n’ont l’air de rien, les tout-petits sont des experts en création de chaos.

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Les lois anti-tabac peuvent prévenir les naissances prématurées

Des chercheurs ont analysé l’ensemble des naissances d’un seul enfant entre 2002 et 2011, c’est-à-dire 606 877 bébés. En Belgique, une loi anti-tabac a été progressivement adoptée entre 2006 et 2010.

Parmi l’ensemble des naissances étudiées, 6 % étaient des naissances prématurées. Entre 2002 et 2006, avant l’adoption de la loi anti-tabac, ce taux de naissance avant terme a légèrement augmenté, d’environ 1 % par an.

Ce taux a commencé à baisser en 2006, alors que fumer est devenu interdit dans les endroits publics et dans les lieux de travail. Les chercheurs ont toutefois constaté que le taux de naissances prématurées a chuté lors des deux autres phases d’implémentation de la loi, lorsque le tabagisme a également été interdit dans les restaurants et les bars.

Après la deuxième phase de la loi, le taux de naissances prématurées a baissé de 3,13 %, et après la troisième phase, il y a eu une réduction supplémentaire de 2,65 % par année.

Ce taux correspond à 6 accouchements avant terme de moins par 1000 naissances entre 2007 et 2011, ont expliqué les chercheurs, et ce, même après que les données aient été ajustées pour tenir compte de nombreux facteurs externes, selon Med Page Today.

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Le retard de croissance intra-utérine devrait être redéfini

En médecine, le retard de croissance intra-utérine (RCIU) inclut généralement les bébés à naître qui se trouvent dans le 10e percentile pour le poids, tel qu’estimé lors d’une échographie. Cependant, une controverse à ce sujet a été soulevée lors du récent congrès de la Society for Maternal-Fetal Medicine.

Une nouvelle étude irlandaise portant sur 1200 fœtus appartenant au 10e percentile entre la 24e et la 36e semaine de grossesse a en effet noté que la grande majorité, c’est-à-dire 72 % de ces bébés, n’a eu aucun problème à la naissance ou peu après.

Seuls 5 % des bébés ont eu un problème sérieux, incluant 8 décès. Ceux-ci se trouvaient tous dans le 3e percentile, donc étaient parmi les bébés les plus petits.

L’auteure, la Dre Julia Unterscheider, a affirmé que les résultats poussaient les médecins à « repenser les chiffres traditionnellement utilisés pour définir le RCIU ainsi qu’à modifier la surveillance prénatale » afin de se concentrer uniquement sur ces bébés les plus fragiles, selon Med Page Today.

Le RCIU est le problème le plus commun en obstétrique, et plusieurs médecins présents au congrès ont par ailleurs défendu la pratique actuelle, en conseillant aux généralistes de conserver la limite du 10e percentile, par mesure de précaution.

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Les bébés bilingues connaissent les rudiments de la grammaire dès 7 mois

À partir de 7 mois, les bébés commencent déjà à faire la différence entre deux langues qui possèdent une structure grammaticale différente. Les chercheurs ont démontré qu’ils sont sensibles à des signes subtils, comme l’ordre des mots ou le ton utilisé.

Les chercheurs ont observé des bébés exposés à deux langues pour lesquelles l’ordre de mots est inversé : l’anglais où, comme pour le français, l’article ou le mot de « fonction » vient avant le nom — par exemple, the dog (le chien), with friends (avec des amis), his hat (son chapeau) —, et le japonais, où c’est le contraire et où, de plus, le nom est prononcé avec un son plus aigu que le reste des mots.

« En anglais, les mots the et with sont beaucoup plus fréquents que tous les autres, alors les bébés les apprennent par répétition. Mais les bébés exposés à un environnement bilingue ont besoin de stratégies plus sophistiquées que cela, alors ils les développent », a affirmé l’auteure de l’étude, la psychologue Janet Werker, selon Science Daily.

« Les bébés bilingues sont très bien équipés pour garder leurs deux langues séparées, et ils le feront d’une manière remarquable. »

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Prévenir la transmission de l’obésité entre la mère et l’enfant

Les enfants nés de ces femmes ont souvent un poids et un taux d’adiposité plus élevés à la naissance. Ils sont beaucoup plus à risque que les autres de souffrir eux-mêmes d’obésité et de diabète plus tard.

Des chercheurs ont donc tenté d’identifier les facteurs-clés qui influencent l’obésité des enfants, incluant l’alimentation de la mère durant la grossesse et sa prise de poids, mais aussi la manière de nourrir le bébé après sa naissance ainsi que la dynamique familiale en regard du style de vie et du niveau d’activité.

L’auteur de la présente étude, Michaels Symonds, professeur à l’Université de Nottingham au Royaume-Uni, a expliqué que dans le cas des femmes obèses, la notion du poids gestationnel doit être vue différemment de celle des autres femmes.

Ce poids « doit être regardé dans un contexte plus large. L’ampleur de la prise de poids durant la grossesse devrait être établie en observant la composition du corps ainsi que la réponse métabolique et endocrinienne, à la fois chez la mère et chez le bébé » selon ce que rapporte EurekAlert!.

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L’alimentation des mères qui allaitent n’a pas beaucoup d’effet sur le bébé

« Une des raisons qui poussent les nouvelles mamans à cesser l’allaitement est la croyance qu’elles doivent avoir une alimentation très restrictive. Mais ce n’est pas vraiment le cas », affirme Gina Neill, une nutritionniste. Voici ses conseils, rapportés par Science Daily.

Limiter l’alcool : Si vous choisissez de prendre un verre, faites-le tout de suite après avoir nourri votre bébé, afin de vous assurer que l’alcool aura évacué votre organisme et donc votre lait, avant le prochain boire.

Manger du poisson, mais avec modération : Les espèces de gros poissons, qui contiennent beaucoup de mercure, sont à proscrire (ceci inclut le requin, l’espadon et certaines espèces de thon). Mais les autres sont conseillés, particulièrement le saumon sauvage qui contient des oméga-3.

Boire un peu de café au besoin : Une consommation de caféine modérée devrait être bien tolérée par votre bébé. Ceci correspond à pas plus de 2 à 3 tasses de café ou de thé par jour.

Manger une bonne variété : Vous avez peut-être entendu que les bébés peuvent avoir des gaz si vous mangez certains aliments comme des agrumes, de l’ail, du chocolat ou des épices, mais en fait, les gaz et l’irritabilité sont normaux chez les nouveau-nés, et non pas reliés à votre alimentation. Au contraire, manger ces aliments habituera votre bébé à plusieurs goûts différents, ce qui pourra le rendre moins difficile plus tard.

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Quoi savoir sur le vaccin contre la varicelle

Le vaccin contre la varicelle est effectivement nouveau : il est apparu en 1998, et les provinces canadiennes ont seulement commencé à l’inclure dans leur programme d’immunisation dans les années 2000.

Ce vaccin peut être donné en une dose ou en deux. Il protégera 90 % des enfants exposés à cette infection, qui est extrêmement contagieuse, et atténuera habituellement beaucoup la maladie chez les enfants qui la développent quand même.

Pourquoi avoir créé un vaccin pour ce problème qui n’en était pas un dans le passé? Les experts affirment qu’avant le vaccin, 1700 à 2200 enfants canadiens se retrouvaient à l’hôpital chaque année pour des complications reliées à cette maladie. Aujourd’hui, ce nombre a diminué de 88 %.

La réalité des familles a également changé : maintenant, la plupart des mères travaillent, ce qui peut rendre beaucoup plus compliqué et coûteux pour un des deux parents de devoir prendre une semaine de congé pour s’occuper d’un enfant qui a la varicelle – particulièrement lorsqu’on sait que cette maladie est évitable.

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Ces choses que tous les futurs papas devraient savoir

Au revoir, sommeil : À partir de très bientôt, vous ne serez plus en contrôle de vos heures de sommeil. C’est bébé qui le sera.

Votre conjointe va s’inquiéter : Et votre rôle, c’est de la rassurer. Pas nécessairement de trouver toutes les solutions, mais surtout d’écouter et d’être là.

Personne ne vous juge : Les premières fois où vous changerez une couche, consolerez bébé ou l’amènerez quelque part, ce sera peut-être un peu bizarre et pas encore naturel. Mais tous les parents sont passés par là.

Vous serez frustré : Les bébés peuvent devenir très irritables et pleurer pendant des heures. Ajouté à votre épuisement, ça peut devenir difficile. Souvenez-vous de bien respirer.

Vos priorités vont changer : Faire des heures supplémentaires ne sera plus aussi tentant qu’avant. Et les journées passées à regarder du sport à la télé deviendront beaucoup plus rares.

Maman a parfois besoin d’une pause : Prenez bébé avec vous de temps à autre. Votre relation avec votre enfant n’en sera que meilleure.

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La césarienne et l’allaitement influencent la flore intestinale des bébés

Une nouvelle étude canadienne a analysé l’ADN de 24 bébés en santé nés à terme, à partir d’échantillons fécaux prélevés à l’âge de 4 mois. Six d’entre eux étaient nés par césarienne, et 10 étaient nourris exclusivement de lait maternel.

Les bébés qui étaient nourris de lait maternisé avaient un taux beaucoup plus élevé de « mauvaises » bactéries, incluant la bactérie C. difficile. Cependant, les chercheurs ont noté que la flore intestinale est extrêmement complexe et pas encore bien comprise, puisque dans certains cas, la corrélation était positive, et dans d’autres, négative.

Les enfants nés par césarienne avaient aussi un taux de bactéries intestinales différent de celui des enfants nés par voie naturelle. Les césariennes « par choix » étaient ainsi associées à « la richesse et la diversité les moins élevées », tandis que les césariennes d’urgence étaient associées à la richesse et la diversité les « plus élevées ».

Le passage par le « canal de naissance » donne une inoculation naturelle par des bactéries présentes chez la mère. C’est pourquoi certaines bactéries n’étaient tout simplement pas présentes chez les bébés issus d’une césarienne, peu importe si la mère allaitait ou non, selon Med Page Today.