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6 conseils que les parents n’en peuvent plus d’entendre!

1. Débarrassez-vous de la suce : On le sait qu’il va falloir la couper un jour ou l’autre. Mais pour l’instant, ça nous aide énormément, merci beaucoup.

2. Ne le laissez pas s’endormir au sein ou à la bouteille, sinon il n’apprendra jamais à s’endormir par lui-même : On est supposés faire quoi lorsqu’il s’endort, le réveiller?

3. Laissez tomber le biberon avant le dodo, sinon il se réveilla encore pour boire à 5 ans : Vraiment?

4. Ne tirez pas votre lait : Certaines personnes veulent vous décourager de donner du lait maternel à votre bébé parce que « c’est difficile ». On va décider par nous-mêmes.

5. Changez bébé de couche la nuit : Encore une fois, à moins qu’il n’y ait un numéro 2 chez un nouveau-né, pourquoi le réveiller?

6. Ne l’encouragez pas à ramper, c’est lorsqu’il commence à bouger que les problèmes commencent : Empêcher un des aspects les plus intéressants de son développement à ce jour?

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L’acétaminophène peut soulager la douleur des bébés qui subissent une chirurgie

Lorsque les nouveau-nés et bébés doivent subir une chirurgie, les médecins utilisent souvent des opiacés pour contrôler la douleur, mais ceux-ci peuvent avoir des effets secondaires très néfastes chez cette population de patients, par exemple la détresse respiratoire.

Des chercheurs néerlandais ont donc testé l’efficacité de l’acétaminophène comme analgésique de remplacement sur 71 bébés de moins d’un an qui ont subi une chirurgie thoracique ou abdominale majeure.

Tous ces petits patients ont reçu une dose de morphine à la fin de leur chirurgie, puis ils ont reçu soit plus de morphine, soit de l’acétaminophène par intraveineuse. Si les bébés semblaient trop souffrir, ils recevaient une dose de morphine « compassionnelle ».

Deux jours après la chirurgie, les bébés du groupe de l’acétaminophène avaient pris en moyenne 121 microgrammes de morphine par kilogramme de poids, comparativement à 357 microgrammes pour ceux dans le groupe de la morphine. Les marqueurs de douleur et les effets secondaires étaient similaires dans les deux groupes.

L’auteure de l’étude, la Dre Saskia De Wildt, a affirmé dans un article du Journal of the American Medical Association que « l’acétaminophène par intraveineuse est une solution intéressante en tant qu’analgésique de première ligne pour les nouveau-nés et les bébés », selon Med Page Today.

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Les bébés difficiles passent plus de temps devant la télé

Pour l’étude, les chercheurs se sont attardés à 217 mères de milieux défavorisés et leur bébé, les observant à leur domicile à 3, 6, 9, 12 et 18 mois. Les chercheurs ont analysé l’exposition à la télé, la démographie ainsi que le tempérament de l’enfant.

Les mères obèses qui regardaient beaucoup la télé et qui avaient un bébé plus difficile étaient beaucoup plus susceptibles de placer le petit devant l’appareil. À l’âge d’un an, 40 % des enfants étaient exposés à plus de 3 heures de télé par jour, c’est-à-dire un tiers de leurs heures d’éveil.

« Nourrir un bébé devant la télé peut limiter la perception de la mère aux signaux que lui envoie son enfant, par exemple lorsque le bébé signifie qu’il n’a plus faim », a expliqué l’auteure de l’étude, la nutritionniste Margaret Bentley, selon Science Daily.

« Cette étude nous a aidés à mettre sur pied des stratégies d’intervention qui permettraient aux mères de consoler et de calmer leur bébé, sans trop les nourrir et sans les placer devant le téléviseur. »

Les résultats ont été publiés dans Pediatrics.

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Notre vie moderne empêche les enfants de bien se développer

Darcia Narvaez, une professeure de psychologie américaine spécialisée dans le développement du cerveau, a récemment fait un plaidoyer contre plusieurs de nos pratiques modernes en ce qui a trait à la manière d’élever les enfants.

« La vie des jeunes Américains va constamment en s’empirant, en particulier lorsque l’on compare avec il y a à peine 50 ans. Des croyances et des pratiques peu avisées sont maintenant très répandues dans notre culture, comme l’utilisation de lait maternisé, l’isolation des enfants dans leur propre chambre ou l’idée que répondre rapidement à un bébé va le “gâter” », a-t-elle expliqué lors d’un symposium, selon Science Daily.

Cette chercheuse prône plutôt des pratiques dites « naturelles » qui avaient libre cours depuis les sociétés de cueilleurs chasseurs, c’est-à-dire l’allaitement, la proximité physique constante avec l’enfant, la réponse aux pleurs et la participation de plusieurs adultes dans l’éducation des enfants au sens large.

Narvaez fait remarquer qu’à cause de cela et d’auteurs facteurs, les enfants d’aujourd’hui souffrent plus que jamais de dépression et d’anxiété, sont plus agressifs et délinquants, et montrent de moins en moins d’empathie, qui reste l’élément-clé d’un comportement moral.

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Lorsqu’ils commencent à ramper, les enfants se réveillent plus souvent

Une nouvelle étude a observé 28 bébés en santé toutes les deux à trois semaines. Leurs habitudes de sommeil et leur développement moteur ont ainsi été analysés de l’âge de 4 mois à 11 mois.

En moyenne, les bébés commençaient à ramper vers 7 mois, et ce stade était accompagné d’une hausse du nombre de fois où ils se réveillaient durant la nuit, passant en moyenne de 1,55 fois à 1,98 fois. La durée de leurs réveils nocturnes était aussi plus longue, soit en moyenne 10 minutes.

Plus les bébés commençaient à ramper tôt, plus ces changements étaient prononcés, étant aussi accompagnés d’une augmentation du mouvement durant le sommeil.

La chercheuse, Anat Schet, a expliqué « qu’il était possible que ramper, qui correspond à une période de grand changement dans le développement physique et psychologique des bébés, augmente leur niveau d’éveil et influence leur capacité à se calmer par eux-mêmes, entrainant ainsi une période d’instabilité qui s’exprime par des réveils plus fréquents », selon Medical News Today.

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La mère principale source d’infection au streptocoque chez le nouveau-né

La revue médicale Pediatrics publie les résultats d’une étude s’attardant sur les infections à la bactérie streptocoque B. Les chercheurs italiens ont analysé la prévalence de l’infection chez les bébés entre 2003 et 2010. Leur cohorte comportait un pourcentage important de nouveau-nés prématurés.

Les chercheurs ont découvert que l’infection était beaucoup plus fréquente chez les prématurés, avec 1,4 naissance sur 1000, comparativement à 0,24 naissance sur 1000 pour les bébés nés à terme.

Environ 50 % des bébés avaient reçu leur diagnostic durant leur séjour à l’hôpital. Ils souffraient habituellement de septicité, de méningite ou d’infection focale. Les chercheurs ont découvert que plus l’infection se présentait tôt chez le bébé, plus le risque de méningite et de mort était élevé.

Au moment du diagnostic de leur bébé, 65 % des mères étaient porteuses de la bactérie. Lorsque les mères sont diagnostiquées à temps, celles-ci peuvent recevoir des antibiotiques intraveineux durant le travail et l’accouchement, ce qui réduit les risques de transmission de la bactérie et permet également de retarder l’apparition de l’infection.

L’infection peut toutefois se transmettre même avec des antibiotiques ainsi que par le lait maternel, ont noté les chercheurs, selon Medscape.

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Gènes reliés à l’Alzheimer et la schizophrénie présents dès la naissance

Pour l’étude menée aux États-Unis, le cerveau de 272 nouveau-nés âgés d’à peine quelques heures a été numérisé en utilisant la résonnance magnétique.

Leur ADN a également été analysé, les chercheurs ciblant particulièrement 10 variations communes dans 7 gènes qui sont liés à la structure cérébrale chez les adultes. Ces gènes sont également associés à l’autisme, la maladie d’Alzheimer, la schizophrénie, le trouble bipolaire, l’anxiété et la dépression.

Certaines variations génétiques, en particulier une qui est directement reliée à l’Alzheimer, étaient très similaires dans le cerveau des nouveau-nés et celui des adultes. Certaines autres variantes différaient chez le nouveau-né et l’adulte, ce qui veut dire qu’elles se développent plus tard dans la vie, par exemple à la puberté.

« Nos résultats suggèrent que le développement prénatal du cerveau pourrait avoir une très grande influence sur le risque de troubles psychiatriques plus tard dans la vie d’une personne », a affirmé l’auteure de l’étude, Rebecca Knickmeyer, citée par ScienceDaily.

Celle-ci a remarqué que tout un nouveau champ d’études pourrait être développé afin d’éventuellement arriver à prévenir le déclenchement de ces conditions par une intervention très tôt dans la vie des enfants à risque.

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Les bébés apprendraient les rudiments du langage avant leur naissance

Les scientifiques savent maintenant que les mécanismes pour l’audition et les sens sont en place à 30 semaines de gestation, ce qui permettrait aux bébés d’entendre la voix de leur mère durant les dernières semaines de grossesse.

Dans le cadre de l’étude menée en parallèle aux États-Unis et en Suède, 40 bébés âgés en moyenne de 30 heures ont été exposés à des voyelles dans leur langue maternelle, puis dans une autre langue. Leur intérêt était mesuré à l’aide de suces données aux enfants, reliées à un ordinateur.

Si un bébé tétait plus longtemps, cela signifiait qu’il avait plus d’intérêt pour un son en particulier, qu’il désirait « apprendre ». Dans les deux pays, les bébés ont tous tété plus longtemps en entendant les sons dans la langue étrangère.

Les chercheurs ont conclu que les bébés reconnaissaient ainsi les sons de leur langue maternelle, déjà « maîtrisée », et qu’ils étaient ouverts à en assimiler une autre.

« Il s’agit de la première étude qui montre que le fœtus apprend les sons particuliers associés à sa langue maternelle. Les données permettent de dire que contrairement à ce que nous pensions précédemment, les bébés n’acquièrent pas cette compétence à 6 mois, mais plutôt avant de naître », selon EurekAlert.

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Le sommeil des tout-petits à l’étude

La revue scientifique Developmental Psychology a publié les résultats d’une étude portant sur 1200 bébés et jeunes enfants, en demandant à leur mère de rapporter leurs réveils nocturnes à 6 mois, 15 mois, 24 mois et 36 mois.

Tout comme pour les adultes, le sommeil des tout-petits passe par des cycles de 90 minutes à 2 heures, après lesquels ils se réveillent brièvement, puis se rendorment. Ceux qui ne se rendorment pas par eux-mêmes et appellent leurs parents sont ceux dont on dit qu’ils « ne font pas leurs nuits ».

À l’âge de 6 mois, 66 % des bébés « faisaient leurs nuits », se réveillant une fois par semaine ou moins. Les autres 34 % se réveillaient 7 nuits sur 7, un chiffre qui passait à 2 nuits par semaine à 15 mois, puis à une nuit par semaine à 24 mois.

La majorité de ces « dormeurs transitionnels » étaient des garçons, et ils tendaient souvent à être des bébés qu’on disait « difficiles ». Beaucoup d’entre eux étaient également allaités.

L’auteure de l’étude, Marsha Weinraub, a indiqué le besoin d’effectuer des études plus poussées pour explorer le lien entre un tempérament plus difficile et des problèmes de sommeil, et pour analyser la relation avec l’allaitement, selon Science Daily.

Ainsi, si un bébé est habitué de s’endormir au sein, il n’apprendra pas la manière dont il peut s’auto-apaiser. La chercheuse a suggéré aux parents de ne pas se précipiter pour prendre l’enfant lorsqu’il se réveille la nuit, afin de lui donner la chance de se rendormir seul.

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Les parents de Kate Middleton exploitent la grossesse de leur fille

Sur le site Party Pieces, on voit entre autres des assiettes, décorations de plafond et serviettes de table à l’effigie du nouveau thème petits princes et petites princesses.

Petite couronne accompagnant un design fort simple à petits pois, cette nouvelle gamme arrive un peu trop rapidement à la suite de l’annonce de la grossesse de la duchesse de Cambridge.

Comme l’indique voici.fr, de nombreux produits dérivés, depuis le mariage royal, ont été déployés sur le Net. Mais personne ne s’attendait à ce que même les parents de Kate Middleton s’en mêlent, sans compter qu’ils donneront sans doute le ton à d’autres sites d’articles pour bébés.

Entretemps, Carole et Mickael Middleton risquent fort bien d’agacer Sa Majesté à force de tirer profit des avantages royaux à leur guise.

Sans compter, rappelons-le, qu’ils ont même refusé l’invitation de la Reine à fêter Noël en sa compagnie. Ils ont plutôt choisi de recevoir leur fille et le prince William à leur domicile, laissant Sa Majesté peut-être un peu irritée.