Rappelons que le couple de parents a récemment annoncé le début de leur podcast nommé Parenthèse, un moment où les amoureux prennent une pause de la vie parentale pour se rassembler et évoluer en tant qu’individus.
«Une journée remplie d’amour pour la première fête de bébé Blaise!!!!! OUI déjà….» était-il écrit sur la photo partagée en story Instagram.
En plus, son gâteau bleu poudre était complètement magnifique avec sa thématique de voiture de course.
Un dessert délicieux qu’il a mangé avec ses mains jusqu’à en avoir plein le visage!
Également, Blaise s’est bien amusé avec ses amis lors de sa fête.
Le petit garçon a pu compter sur la présence de Soleil-Anne et de Louan, les deux enfants de Joanie Grenier, la meilleure amie et partenaire de podcast de Lysandre.
Ce fut donc un premier anniversaire bien mémorable pour le jeune garçon qui s’est vu offrir une panoplie de cadeaux, ainsi qu’un décor magnifique agrémenté de voitures et de ballons!
HollywoodPQ a eu la chance de s’entretenir avec l’énergique Guillaume Lemay-Thiviergeen marge du lancement de la deuxième saison de l’émission qu’il anime en compagnie de sa conjointe, Émily Bégin, soit Avec pas de plan!, qui est disponible dès aujourd’hui (16 janvier) sur Vrai.
Lors de ce moment très agréable avec l’animateur, celui-ci s’est confié avec honnêteté sur plusieurs sujets, notamment sur son expérience en Gaspésie pour le tournage d’Avec pas de plan!, mais aussi sur la deuxième saison deSi on s’aimait encoreet sur quelques autres sujets fort intéressants.
HollywoodPQ: « À quoi les spectateurs peuvent s’attendre pour la deuxième saison d’Avec pas de plan!»
Guillaume Lemay-Thivierge: «Ils vont s’attendre à voir des beaux paysages, ils vont s’attendre à voir deux beaux fous expérimenter toutes sortes de projets insoupçonnés (…) parce que nous autres, on est partis vers la Gaspésie en se disant: Il y a plein de choses que l’on pourrait faire ici pour la saison deux!, On a commencé le tournage avant même d’avoir un go du diffuseur et même des producteurs, on a pris notre équipe (…) et on est parti à la découverte de la Gaspésie(…) On a eu une belle folie qui nous est passée par la tête, moi j’ai acheté un dépanneur en Gaspésie. C’est une station-service! (…) Émily va créer son propre gin. Elle va aller rencontrer le propriétaire de la distillerie O’Dwyer qui est à Gaspé (…) on arrive là, nous autres, comme un cheveu sur la soupe, on n’est pas prévu dans le décor, on n’est pas prévu dans sa vie (…) Émily lui dit qu’elle a toujours rêvé de créer son propre gin, il lui fait goûter ses produits (…) Le clou, si on veut, c’est qu’on va démarrer une activité de parasailing à Gaspé, dans la Baie de Gaspé (…) Ce que j’aime de cette émission-là, c’est que c’est de la vérité, de l’authenticité, du début à la fin. On montre ce qu’on a vécu réellement (…)»
HPQ: «As-tu un moment favori de toute cette aventure-là?»
GLT: «(…) Mes moments favoris, c’est les rencontres! C’est les rencontres, parce que tu te rend compte que quand tu te lies d’amitié avec des gens qui sont authentiques, mais surtout qui sont game (…) ils ont une certaine volonté que les choses se fassent, ça change toute la donne. Ça fait en sorte que plutôt que d’avoir des réunions à plus finir, réunions, réunions et à un moment donné tu fais: Là, on a juste fait des réunions, mais il n’y a aucun projet! Il n’y a rien de concret qui est sorti de ça! (…) Avec pas de plan, c’est quelques réunions dans le char vite de même à se dire: On va à peu près faire ça aujourd’hui et après ça on part les kodaks et on tourne (…) moi j’ai été à la rencontre des gens et c’est ce qui m’a fait du bien!»
HPQ: «Et qu’est-ce qui t’a donné l’idée de démarrer une compagnie de parasailing?»
GLT: «(…) Au départ, c’est que j’ai traversé le Canada avec ma blonde et mon plus jeune, on a fait ça en VR, on a fait ça il y a deux ans, et on est arrêté à un endroit qui s’appelle Kelowna. Magnifique endroit, un grand, grand lac et on a fait du parasailing (…) je l’ai fait avec ma blonde et mon petit qui avait trois ans à l’époque et j’ai trouvé ça fantastique. Moi qui est dans le domaine du parachutisme, je sais que c’est extraordinaire de vivre cette sensation-là, mais ce n’est pas accessible à tout le monde (…) je me disais: Mais pourquoi il n’y a pas ça au Québec? Ça serait extraordinaire de proposer ça aux gens! L’idée m’est venue simplement comme ça! Je me suis lié d’amitié avec le capitaine et je lui ai dit: Trouve-moi dont un bateau, voir! Il y en as-tu un qui existe pas trop loin de Montréal?, le plus proche qu’il a trouvé, c’est en Louisiane! (…) Finalement, j’ai fait: Va le voir! Il est allé le voir il m’a dit: Il est en bonne condition, il vaut la peine!, Et là je me disais: Ok, je pense que je me trompe, mais achetons-le! (rires) (…) c’est comme si mon impulsion, des fois, elle m’empêche de réfléchir! Des fois, c’est une bonne chose, des fois ce n’est pas une bonne chose. Mais, je te dirais que je préfère être comme ça dans la vie! Je préfère penser après, parce que je trouve que ça fait juste compenser le côté où tout le monde réfléchit tellement avant d’agir que l’action devient souvent improbable ou elle n’arrive plus! On parle de projet, mais on ne le fait plus et on a peur de beaucoup de choses, on s’inquiète énormément (…) J’aime mieux reculer et changer de chemin que de ne jamais en prendre!»
HPQ: «Toi et Jason (Roy Léveillée) aviez travaillé ensemble surRamdam. Comment c’était de retravailler ensemble?»
GLT: «Jason, c’est un grand chum! Jason, c’est quelqu’un qui comprend ma tête, je comprends la sienne et ça, c’est très précieux dans un genre de série comme ça! (…) dans cette série-là, vous n’aurez jamais l’impression que c’est stagé et que c’est arrangé avec le gars des vues. C’est ça, sa force!»
HPQ: «À quand est-ce qu’on peut s’attendre à une nouvelle mouture de Ramdam? Ça ne vous tente pas?»
GLT: «(rires) Ah! Les nostalgiques de Ramdam seraient sûrement très heureux! C’était tellement une belle période, on a eu beaucoup de plaisir à faire Ramdam! Écoute, je pense que ça va rester un souvenir mémorable pour tous ceux qui l’ont vu ou tous ceux qui l’ont créé ou qui l’ont joué comme moi et toute la gang! (…) Je ne sais pas s’il y aura une suite à Ramdam un jour, mais je sais que j’en garde un souvenir extraordinaire!»
HPQ: «Toi et ta conjointe (Émily Bégin) travaillez souvent ensemble. Comment est-ce que ça se passe?»
GLT: «Ah ben c’est que là, tu as vraiment la personnalité qui arrive à l’avant et ça fait des flammèches! Ça fait des flammèches positives par exemple, parce qu’on est tous les deux conscients qu’on fait de la télé et qu’on n’est pas en train de sauver des vies, alors on se laisse aller dans notre personnalité sachant ce qui est intéressant de voir à la télévision. Des fois, on est capable de voir vraiment la personnalité d’un ou de l’autre, les bouts où moi ça ne me tente pas du tout de faire quelque chose et qu’Émily elle, elle est bien emballée, et vice versa! Quand on arrive au dépanneur et qu’elle fait: Moi, ça ne me tente pas d’être ici, qu’est-ce qu’on va faire, ça ne me tente pas de faire une rénovation, ça ne me parle pas zéro! et finalement elle embarque dans le processus et elle se met à triper. Je pense qu’on reflète ce que tous les couples vivent, c’est-à-dire que l’on n’est jamais fait pareil, on est juste le complément de l’autre, il faut essayer de l’accepter et il faut essayer de bien s’entendre malgré tout ça. Mais, ça crée quelque chose de très ludique, très drôle et ça nous fait penser à quand vous nous voyez à Si on s’aimait. C’est un peu la même chose, sauf que c’est encore plus intime parce que là, c’est dans le day to day de notre réalité!»
HPQ: «Quand on travaille avec sa partenaire, est-ce que c’est difficile de décrocher une fois rendu à la maison?»
GLT: «Oui, ta question est excellente, parce que ça t’occupe tout le temps! Ce qu’on voit à la caméra, c’est ce qu’on a tourné le jour où telle ou telle chose arrivait, mais la préparation en amont ou après ce que l’on a tourné, elle existe quand même (…) C’est ce qu’il y a de plus difficile, de décrocher et de passer à autre chose. On parle toujours de travail d’une certaine façon, parce qu’on est toujours habité de ça, on est toujours hanté par le travail, Émily et moi, parce que ça fait partie intégrante de nos vies! (…) l’équilibre est très difficile à atteindre et on ne fait pas de morale à personne dans l’émission on est juste: Regardez comment on n’a pas de bon sens par bouts, et on rit de ça! On est capable d’avoir beaucoup d’autodérision!»
HPQ: «Vous avez récemment annoncé être en tournage pour la prochaine saison de Si on s’aimait encore. Où en êtes-vous?»
GLT: «On est en plein milieu du tournage de Si on s’aimait encore, ça va se faire en deux phases. La première phase a déjà été faite et là, on commence la deuxième (…) c’est SA-VOU-REUX, c’est vraiment savoureux, les participants sont exceptionnels, ils sont plus que généreux, authentiques, on va rentrer dans des sujets hyper difficiles pour les couples (…) dans tous les couples, on se reconnaissait Émily et moi et je pense que la plupart des couples du Québec vont se reconnaitre aussi, c’est certain! C’est tellement nourrissant l’enseignement de Louise dans Si on s’aimait encore, c’est une encyclopédie! C’est une chance inouïe de pouvoir avoir cette émission-là!»
HPQ: «Est-ce que c’est confrontant d’être avec ta conjointe et de regarder des couples qui vivent des choses que vous avez peut-être vécues ensemble?»
GLT: «Ben oui, c’est sur! Parce que si tu ne l’as pas en exemple, c’est dur de pouvoir te sentir pas seul, mais dès que tu vois quelqu’un d’autre qui vit une situation, même si le sujet n’est pas le même, l’ensemble de la problématique, elle, souvent elle va se rejoindre. Donc, ça fait juste du bien! Parce que oui, c’est confrontant, mais il ne faut pas oublier que dans Si on s’aimait encore, Louise arrive toujours avec une proposition de solution. Elle arrive toujours avec un moyen de régler le problème. Est-ce que vous êtes ouvert à l’essayer et si oui, ben c’est pour ça qu’ils font l’émission. Alors, comme ils sont ouverts à vouloir améliorer leur situation, ça t’oblige comme couple à améliorer la tienne aussi parce que je suis sorti de là avec des réflexions extraordinaires!»
HPQ: «Tu es aussi l’animateur de Chanteurs masqués! Peux-tu me parler de ton expérience?»
GLT: «Quatrième saison qui approche, on est tellement heureux! C’est un bonbon cette émission-là, c’est savoureux à faire, c’est le fun, je me sens comme en récréation quand je fais cette émission-là! Je suis fier de présenter les numéros, de présenter l’équipe, de rire avec les enquêteurs, d’admirer les numéros grandioses qui nous sont proposés par la production, par la metteure en scène, Geneviève Dorion-Coupal. C’est un bonheur d’animer cette émission-là! Je suis tellement content que ça revienne, je pense que c’est un bon rendez-vous et c’est le fun de pouvoir proposer quelque chose qui s’adresse autant aux plus jeunes qu’au plus vieux, c’est vraiment un beau rassemblement familial! C’est une saison 4 qui promet énormément.»
HPQ: «Il y a eu beaucoup de rumeurs dans les dernières saisons comme quoi ta conjointe se cachait dans un costume! Finalement, ce n’est pas arrivé. Si elle participait pour de vrai, devrait-elle te le cacher?»
GLT: «Il faudrait qu’elle me le cache et il faudrait qu’elle réussisse à me le cacher! Ça, ça ne serait pas facile pour elle, mais dans les trois dernières saisons j’ai pensé à quelques reprises qu’elle était dans un des chanteurs masqués et ça serait extraordinaire! Je souhaite juste qu’elle en fasse partie pour la prochaine saison, qu’elle me surprenne, ça serait juste extraordinaire!»
HPQ: «Pour conclure, as-tu quelque chose à dire aux gens pour les inciter à regarder Avec pas de plan?»
GLT: «Ah ben mon dieu, si vous avez besoin de vous divertir, de rire, d’être essoufflé et de suivre un couple qui n’a pas de bon sens dans leurs projets et d’aller voir une partie du Québec peut-être qui est méconnue pour certain! On parle souvent de la Gaspésie, tout le monde connaît la Gaspésie, mais très peu savent c’est quoi! Alors pour découvrir cette région-là, mais aussi pour découvrir (….) c’est quoi d’être instinctif, c’est quoi de foncer dans le tas sans trop réfléchir! (…)»
Merci à Guillaume pour ce moment rempli d’authenticité!
Ne manquez pas la deuxième saison d’Avec pas de plan!, disponible sur la plateforme Vrai.
La chanteuse et ex-candidate d’OD dans l’Ouest Clodelle Lemay était de passage au podcast Cheek to Cheek où elle a notamment abordé la fin de sa relation avec Alex Yelle.
«J’ai été en couple avec Alex pendant presque deux ans et c’est fini (…) quand on est sorti d’OD, on était vraiment proche! On a passé trois semaines ensemble 24h7 dans la maison des exclus donc en sortant on s’est vraiment tenus! Il est venu habiter chez nous pas mal tout de suite et on a eu une super de belle relation, mais on n’était vraiment pas à la même place! Je pense que si ce n’était pas d’OD, on ne se serait jamais rencontrés! On n’a pas du tout les mêmes lifestyles, zéro, zéro!», expliquait-elle en donnant la raison de cette séparation!
«C’est une relation qui a été belle pour moi, que j’ai beaucoup appréciée, mais vers la fin c’était un peu… ça ne marchait juste plus du tout! On n’était juste pas du tout à la même place, on n’avait pas les mêmes ambitions, les mêmes…», continuait Clodelle.
«Je pense que ce qui nous a un peu détruit avec le temps ça a été que (…) une relation saine souvent c’est que vous prenez le temps de vous connaître, vous ne vivez pas ensemble, vous allez sur des dates, lui il a sa vie, toi tu as ta vie (…) nous, on n’a pas eu ça! On était comme collés ensemble en sortant d’Occupation Double, donc on n’a jamais eu le temps de juste se redéposer après le show (…) on s’est unis trop rapidement (…)», continuait-elle, en gardant visiblement tout de même de très bons souvenirs de sa relation.
Puis, questionnée sur ce qui s’était passé avecClaudeBégin à sa sortie d’Occupation Double, Clodelle s’est faite tout aussi transparente.
«(…) Claude, c’est ma famille (…) on est vraiment en train d’apprendre à se redécouvrir comme des amis! (…) il était question qu’on revienne peut-être ensemble en sortant d’OD (…) Entre-temps, il y a eu un bébé qui est apparu (rires) je suis tellement contente pour eux, honnêtement, mais c’est sûr que ce n’était pas planifié… donc moi dans ma tête…»
C’est à ce moment que l’animateur en a profité pour lui demander comment elle avait vécu la situation.
«omgit was so hard (…) mais en même temps, je développais une nouvelle relation avec Alex, donc j’étais vraiment contente, mais moi dans ma tête je me disais: peut-être on va voir où les choses nous mènent, un jour à la fois, on verra si je retourne avec Claude éventuellement (…)», lançait Clodelle avec beaucoup de franchise.
Nous souhaitons à Clodelle le meilleur pour le futur!
C’est lors de sa présence qu’elle répondait à une question que plusieurs se posaient depuis un moment, quant à son avenir dans la musique.
Rappelons que désormais nous voyons surtout la chanteuse dans des projets télévisuels tels que Si on s’aimait!
«Émily, toi tu as fait trois albums avec l’équipe de Star Académie. Le dernier date de douze ans, tu as participé à plusieurs comédies musicales et on te voit maintenant à l’émission Si on s’aimait. As-tu l’impression d’être allée au bout de ta carrière de chanteuse?», lui demande l’animateur Guy A. Lepage.
«De chanteuse solo, oui. J’adore faire de la scène, de la comédie musicale, mais de faire des albums… je l’ai fait, je n’ai pas cette envie-là présentement de refaire un autre album. Je suis bien comme je dis sur scène en faisant de belles productions (…) je pense que oui, j’ai fait le tour… oui, au niveau musical», confirme Émily.
Auriez-vous aimé la voir à nouveau dans un projet musical solo?
Pour vous procurer des billets pour les spectacles uniques des 20 ans de Star Académie rendez-vous sur le site officiel!
Les deux amoureux ont donc publié sur leurs comptes Instagram de jolies photos afin de souligner leur première année de mariage!
«1 an déjà mon amour @guillaumelemaythivierge … J’ai juste hâte à la suite et à nos nouvelles aventures , ça sera merveilleux!! Je t’aime ❤️❤️❤️», a écrit Émily Bégin sous une photo de mariage tout à fait magnifique.
«Il y a un an, je disais oui à une femme MAGNIFIQUE!!! Aujourd’hui je savoure la vie avec une femme EXCEPTIONNELLE ❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️ Bon 1 an de Mariage mon amour❤️❤️❤️», a écrit Guillaume Lemay-Thivierge avec amour.
Les deux amoureux s’étaient mariés dans une jolie église, entourés de leurs proches.
Ils avaient aussi eu beaucoup de plaisir lors de cette journée toute spéciale et leurs photos en rendent bien compte!
Joyeuses noces de coton aux deux amoureux!
Nous leur souhaitons d’aussi belles années à venir…
Christian Bégin était présent sur le plateau de Je viens vers toi la semaine dernière et c’est lors de son passage à l’émission que ses problèmes de santé ont été abordés.
L’animateur, acteur et épicurien dévoilait d’ailleurs ne pas avoir voulu en parler au grand public au départ, mais a finalement été dans l’obligation de le faire. Rappelons que la star a dû subir une intervention d’urgence au cerveau, récemment.
«D’abord, est-ce que ça t’a écœuré d’en parler?», veut savoir l’animateur Marc Labrèche.
«Non. C’est-à-dire qu’au départ, je ne voulais pas en parler. Puis, un moment donné, on sait c’est quoi dans ce métier-là, la machine à rumeurs s’est emballée. Puis, là, il y avait des rumeurs comme quoi j’avais un cancer en phase terminale, que je ne reviendrais plus travailler, que j’étais handicapé (…) Si bien que là, on s’est dit: On va faire une annonce publique dans laquelle on va clore ça», explique Christian.
«Même, au début, mon agent disait: Pourquoi tu ne veux pas en parler? Je faisais: Parce que je peux-tu vivre ça juste tout seul avec moi? (…) C’était déjà éprouvant pour vrai. Puis, ce n’est pas un cancer en phase terminale que j’ai eu. C’était un épisode ponctuel, mais qui a été éprouvant, qui m’a shaké. J’ai eu peur, j’aurais pu mourir (…) Quand on a décidé d’en parler, j’ai dit: Ça va être clos, je vais en parler une fois. Mais, à chaque fois qu’on se dit: Je vais en parler une fois, c’est un mensonge parce que tout le monde veut en parler!», lance ensuite Christian Bégin.
Heureusement, aujourd’hui, tout est rentré dans l’ordre pour Christian.
HollywoodPQ: «Tu entames ta 16e saison à Curieux Bégin, est-ce que tu es toujours aussi excité année après année de retrouver ton équipe?»
Christian Bégin: «Ça ne s’étiole pas. Ce serait presque malaisant de me voir perdre mon plaisir à faire quelque chose qui remplit plein de coches dans ma vie, qui nourrit des valeurs que je nourris moi. La restauration, c’est ma deuxième famille. Les agriculteurs, c’est ma deuxième famille. Je suis dans une émission où je rencontre de nouveaux gens passionnés, où je mange, je bois. Ce serait bien malaisant de dire: Je suis tanné, es*i. Ce serait gênant! (…) Cette année, on revient pour une saison complète (…) Avec beaucoup de nouveautés, c’est-à-dire un nouveau décor, on a une nouvelle cuisine, on voyage beaucoup plus, on s’en va en Italie, on s’en va en Ontario, on s’en va dans différents quartiers de Montréal. Beaucoup de nouveaux invités (…) des nouveaux chefs, de nouvelles cheffes. Je crois que (c’est) la saison la plus éclectique qu’on a depuis 16 ans, la plus diversifiée. La plus enthousiasmante pour moi aussi, puisque la production a eu cette élégance, cette gentillesse (…) de pouvoir déplacer tout l’horaire de tournage pour faire en sorte que je ne manque aucune émission cette année suite à ma convalescence (…)»
HPQ: «Justement, on sait que tu as eu des problèmes de santé.»
CB: «Oui.»
HPQ: «Tu as dû subir une opération d’urgence. Comment ça va?»
CB: «Très bien. Comme vous pouvez le constater, je n’ai aucune séquelle. Alors, pour moi, c’est un épisode ponctuel dans ma vie, mais c’est un épisode clos. Dans le sens que si tout va bien, puis on se croise les doigts, je n’aurais pas à revivre une autre opération et je ne porte pas de séquelles. Il y a un mois, on n’aurait pas pu gager là-dessus. Puis, là, je n’ai plus de problèmes d’équilibre, je n’ai plus de problèmes de visions, ce que j’avais… il y a un mois, je ne pouvais pas marcher seul presque (…)»
CB: «Oui, mais complètement. En fait, si je n’avais pas passé ce scan-là, la réalité aurait été tout autre et peut-être qu’on ne serait même pas ici pour s’en parler.»
HPQ: «Maintenant guéri, est-ce que vous profitez encore plus de la vie et des beaux moments?»
CB: «Comme je dis souvent, moi je n’ai pas eu d’épiphanie. Je ne suis pas passé à travers une maladie dégénérative ou un cancer. C’est un épisode ponctuel qui nous a ébranlés, qui nous a fait peur, qui a été dur physiquement, mais c’est fini. Il n’y a pas un nouveau Christian Bégin, il n’y a pas un avant, il n’y a pas un après. Il y a quand même eu la nécessité de réfléchir comment je vais vivre mon année professionnelle (…) Il y a des choses qu’on a laissées tomber pour ne pas repartir niaiseusement la pédale dans le tapis et embrasser le même rythme que j’embrasse tout le temps, mais en même temps je vais toujours rester qui je suis.»
Par la suite l’acteur, animateur et épicurien abordait ses multiples projets à venir et ils sont nombreux dans lesquels il nous fera l’honneur de sa présence. On pourra entre autres le voir avec le retour de Y’a du monde à messe, ainsi que le projet connexe La grande Messe, Indéfendable et la nouvelle série La candidate.
CB: «Il y a le retour de mon rôle de Charbonneau dans Indéfendable que je suis en train de tourner présentement et Dieu sait qu’on n’est pas au bout de nos surprises avec ce personnage-là! Tout ce que je peux vous dire c’est qu’on va assister à ses procès, parce qu’il va y avoir deux procès. Le procès au civil pour la cause de Pierre Poirier et le procès au criminel avec sa fille, parce qu’il est accusé d’avoir agressé sexuellement sa fille et ça c’est beaucoup au cœur du retour du personnage.»
HPQ: «Qu’est ce qu’on peut vous souhaiter pour l’année qui s’en vient?»
CB: «Que ça continue comme ça (…) Puis, que je demeure aussi étonné de ce que la vie nous propose encore à 60 ans. Je suis étonné de voir à quel point je travaille encore.»
Une soixantaine qui lui va à ravir et qui lui permet encore de grands projets!
«Quelle magnifique journée🤍», s’exclamait une Lysandre définitivement très heureuse!
«Je voulais leur montrer l’endroit où j’ai rencontré Gerard Butler en 2012, puis là je le dis en story pour avoir une autre occasion d’en parler.😌😌😌😌», lançait Lysandre en se remémorant ce souvenir visiblement marquant.
«Complètement groupie», lançait-elle en effet en marge d’une photo datant de 2012 en compagnie de Gerard Butler!
De plus, pendant leur voyage, la famille en a profité pour manger au restaurant Jams, qui semble proposer un délicieux menu!