Catégories
Uncategorized

La collation : véritable ennemi du maintien du poids

Une nouvelle étude abonde dans le même sens que certaines théories précédemment avancées par certains spécialistes voulant que la collation s’avère le véritable ennemi du maintien du poids, rapporte le Daily Mail (UK).

On entend par là qu’il vaut mieux manger trois « gros » repas par jour que de tenter d’en manger des petits, ponctués de collations à travers la journée.

L’étude rapportée provient des Pays-Bas et ajoute donc à l’idéologie qui soutient qu’il est plus facile de maintenir son poids, voire de maigrir, en mangeant à sa faim et à des heures régulières, mais seulement à trois reprises.

L’équipe de la Dre Mireille Serlie, basée à Amsterdam, affirme être la toute première à véritablement vérifier les impacts de ce style de vie. Les chercheurs concluent sans aucun doute que le fait de bonifier ses repas en bannissant les collations permettent de ne pas, ou peu, prendre de poids, en plus de protéger le foie.

« Notre étude propose la première preuve que de manger plus souvent, au contraire de manger trois gros repas, contribue à engraisser le foie, indépendamment du tour de taille », explique Dre Serlie.

En Amérique du Nord, on estime que les jeunes consomment le quart de leur apport calorique quotidien en collations.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Hepatology.

Catégories
Uncategorized

Les tomates au service de la fertilité masculine

Les hommes qui aimeraient voir leur capacité de reproduction augmenter en puissance pourraient n’avoir qu’à se tourner vers… les tomates.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude américaine, rapporte Top Santé, alors que des chercheurs auraient découvert un lien entre la consommation de tomates et la création de nouveaux spermatozoïdes.

Les chercheurs basés à Cleveland estiment même à 70 % l’augmentation de spermatozoïdes chez les hommes qui consomment des tomates, un nombre plutôt impressionnant.

L’étude abonde dans le même sens que certaines précédemment publiées, qui vantaient elles aussi les mérites du lycopène et des antioxydants, retrouvés dans les tomates, sur la fertilité. Une recherche de Harvard ajoutait également le bêta-carotène à la liste des aliments qui permettent une plus grande fertilité chez les hommes.

« Si ces résultats sont encourageants, nous devons réaliser d’autres études de plus grande ampleur pour analyser les effets du lycopène sur l’infertilité masculine. Nous devons établir quels groupes de patients tireraient le plus grand bénéfice de ce régime », résume Ashok Agarwal, qui dirige l’étude.

On rappelle en terminant que les hommes qui aimeraient tenter l’expérience et bénéficier des atouts de la tomate devraient se tourner vers celles biologiques, qui contiendraient jusqu’à 40 % plus de vitamines et plus de deux fois plus de phénols.

Catégories
Uncategorized

Le chocolat noir est aussi bénéfique pour la santé vasculaire

Une nouvelle étude vante les mérites du chocolat noir sur la santé, rapporte Santé Log, cette fois sur celle des vaisseaux sanguins et du système cardiovasculaire.

La recherche provient des Pays-Bas, plus précisément de l’Université de Wageningen, où des chercheurs ont pu observer l’effet d’une consommation de chocolat noir sur les vaisseaux sanguins.

Il appert que l’aliment fort prisé permet d’assouplir les artères et de réduire l’adhérence des globules blancs aux parois des vaisseaux. En clair, ces effets permettent une réduction des risques d’athérosclérose, selon les chercheurs néerlandais.

C’est après des essais menés sur 44 hommes que ces derniers ont pu confirmer l’étendue des bienfaits du chocolat noir sur la santé cardiovasculaire et celle des vaisseaux sanguins, estimant que le chocolat noir est un allié non négligeable.

Une bonne raison d’incorporer le chocolat noir, avec modération, dans son alimentation, ce qui n’est pas le pire des sacrifices, avouons-le.

Les conclusions de cette recherche ont été publiées dans le Faseb Journal.

Catégories
Uncategorized

Parler deux langues serait bénéfique pour le cerveau

Plusieurs sources, dont topsante.com, rapportent une étude qui trace un lien entre la maîtrise de plusieurs langues et les performances cérébrales.

On parle d’au moins une seconde langue, comme parler l’anglais pour un francophone, ou l’inverse. Selon les chercheurs de l’Université du Kentucky, qui parlent de « flexibilité cognitive », le fait d’être bilingue (ou trilingue, pourquoi pas) aurait un réel impact sur le lobe cérébral frontal.

Ces variations et optimisations cognitives seraient observables de façon croissante tout au fil de la vie d’un individu qui parle plus d’une langue, toujours selon l’étude publiée dans la plus récente édition du Journal of Neuroscience.

Pour prouver ces dires, les chercheurs américains ont étudié les cas de 110 personnes (de 60 à 88 ans) à qui l’on faisait passer une série de tests afin d’évaluer cette fameuse « flexibilité cognitive ».

Les chercheurs ont pu constater que les sujets bilingues passaient les tests avec plus de facilité, en plus de dépenser moins d’énergie en le faisant (évalué sur le cortex préfrontal).

Plus étonnant encore, cette étude s’ajoute à une récente publication qui prétendait que le bilinguisme serait excellent dans la prévention de certaines maladies comme l’Alzheimer et la démence.

Catégories
Uncategorized

Les fruits et légumes bénéfiques contre les maladies rénales

Des patients aux prises avec des problèmes ou des maladies aux reins pourraient obtenir un soulagement grâce aux bons vieux fruits et légumes. Cela permettrait également d’améliorer leur santé en général. C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude, rapportée par www.nlm.nih.gov.

Celle-ci fait le constat que l’ajout de fruits et légumes au régime alimentaire quotidien peut grandement améliorer l’état des gens qui souffrent de maladies rénales.

De plus, une deuxième étude en complément trace un lien direct entre les maladies du rein et une mauvaise alimentation.

Comme on utilise souvent la thérapie alcaline comme traitement contre les problèmes rénaux, les chercheurs ont voulu savoir si le fait de hausser la consommation de fruits et légumes chez un patient pouvait avoir un effet similaire.

Des 108 patients observés aux fins de l’étude, le tiers a reçu des fruits et légumes, un tiers a pris un médicament alcalin et les autres n’ont rien changé du tout. On a ainsi pu vérifier les changements sur les trois groupes.

La conclusion est que les théories des chercheurs s’avèrent exactes. Les gens qui ont reçu les fruits et légumes ont grandement amélioré leurs conditions (ainsi que ceux qui ont reçu le traitement).

Catégories
Uncategorized

Les médicaments sont un « bon premier pas » pour traiter l’alcoolisme

Deux médicaments qui sont souvent utilisés dans le traitement de l’alcoolisme seraient également appropriés à différentes étapes de la thérapie, affirme une étude publiée sur www.nlm.nih.gov.

Campral et ReVia sont deux traitements qui ne déclenchent pas de dépendance, et qui ne rendent pas le patient malade s’il les mélange avec de l’alcool. Voilà qui peut s’avérer pratique pour ceux qui souhaitent arrêter progressivement de consommer, mais sans avoir recours à une cure en centre de désintoxication.

64 tests cliniques d’évaluation ont permis aux chercheurs californiens, à l’origine de l’étude, de découvrir que le Campral permettait d’aider efficacement les patients déjà sobres à ne pas rechuter. Le ReVia, quant à lui, permet de baisser la consommation d’alcool chez les cas plus lourds, en enlevant une partie de « l’appel » de la bouteille.

Au total, c’est 11 000 dossiers de patients qui ont été suivis, et les conclusions sont claires aux yeux des spécialistes : ces médicaments fonctionnent.

Et tout cela a du sens pour les experts en dépendances, vu la façon dont ces médicaments agissent sur le cerveau. Tout cela est logique et bénéfique, selon le Dr. Raymond Anton, du Center for Drug & Alcohol Programs de l’Université de Caroline du Sud.

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Nos amis prolongent notre espérance de vie

Le New York Times mentionne que l’amitié est très bénéfique dans notre vie.

Des chercheurs de l’Université d’Harvard se sont penchés sur les effets de l’amitié en examinant 12 067 personnes pendant 32 ans. Chaque nouvel ami heureux augmente notre bonheur de 9 %, tandis que les amis malheureux influencent notre moral de 7 %.

Il semblerait que ce soit parce que notre cerveau est inconsciemment poussé à imiter les gens par les effets des neurones miroirs.

Toutes nos habitudes de vie sont influencées par nos amis, proclament les chercheurs. Ainsi, plus nos amis ont des habitudes saines, plus nous serons portés à adopter ces habitudes. On maigrit plus efficacement en groupe. Le contraire est aussi vrai; si une personne est obèse, ses amis ont 57 % plus de risques de le devenir.

L’amitié nous influence même plus que l’amour. Les amis peuvent diminuer le risque de maladie cardiaque mortelle chez l’homme d’âge moyen, mais les conjoints n’ont pas cet effet.

Si nos proches cessent de fumer, on a 34 % de chances de le faire aussi. De plus, après une opération, les personnes entourées d’amis récupèrent mieux. L’amitié nous permet aussi de mieux tolérer la douleur.

Bref, les amis sont bons pour la santé et prolongent notre espérance de vie, et ce, même s’ils sont éloignés, nous disent les experts.