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L’industrie du boeuf veut irradier votre viande

C’est toute une nouvelle qui nous parvient de CTV News, alors que le réseau de nouvelles rapporte une idée avancée par l’industrie canadienne du bœuf qui risque de ne pas faire l’unanimité.

Les industries alimentaires spécialisées dans le bœuf souhaitent utiliser une technique pour enrayer définitivement le problème de la bactérie E. Coli qui frappe sporadiquement à travers le pays.

Une technique… par irradiation. On veut en effet bombarder la viande de bœuf d’une énergie similaire à celle déployée par les rayons X et ainsi tuer dans l’œuf (ou dans le bœuf) tout risque de prolifération de l’E. coli.

« L’irradiation de la nourriture est probablement la plus efficace des interventions qu’on n’a pas encore utilisées. Lorsque vous ajoutez l’irradiation, en plus du système de sécurité existant, on pourrait essentiellement éliminer toutes les maladies liées à l’E. coli dans les produits du bœuf », lance avec désinvolture Mark Klassen, de l’association militante.

Si cela peut choquer, on apprend du même coup que l’on mange déjà de la nourriture irradiée, puisque la technique serait déjà appliquée sur les pommes de terre, les oignons ainsi que les épices, entre autres.

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Rapport alarmant concernant la salmonelle et les animaux d’élevage

Radio-Canada rapporte que des inspecteurs alimentaires canadiens s’inquiètent de la présence de la salmonelle dans les aliments servis aux animaux d’élevage au pays.

Malgré une politique qui ne tolère aucun pourcentage d’erreur en la matière, il est surprenant d’apprendre que 13 % de la nourriture d’animaux en élevage pourrait présenter des traces de salmonelle.

Évidemment, les spécialistes s’interrogent et s’inquiètent des risques de contamination chez l’humain.

L’histoire débute à Winnipeg, alors qu’une équipe de Radio-Canada est allée inspecter elle-même des sacs d’aliments pour animaux d’élevage. Ils ont ensuite laissé les sacs aux fins d’analyses au professeur Rick Holley, de l’Université du Manitoba.

Le professeur conclut que deux sacs (17 % du total) étaient bien contaminés par la salmonelle. Il rappelle que ce constat est alarmant, puisque la nourriture contaminée est d’abord ingérée par les animaux, puis éliminée dans ce qui deviendra plus tard de l’engrais pour les terres agricoles. Celles-ci produiront à leur tour des aliments consommés par la population.

L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) soutient ces conclusions et croit que des mesures doivent être mises en place immédiatement.

Il faut cependant rappeler que l’Agence a fait un excellent travail jusqu’à présent concernant la salmonelle et la sécurité civile.