La célèbre Janette Bertrand aura un spectacle hommage à son nom, qui s’annonce fort prometteur et encore bien plus depuis que l’on connaît l’identité de l’artiste qui l’incarnera.
Le Théâtre Ducepperévèle en effet que la seule et unique Janette Bertrand sera jouée par une autre talentueuse personnalité québécoise, soit… Guylaine Tremblay!
«𝐉𝐀𝐍𝐄𝐓𝐓𝐄. On peut enfin vous l’annoncer: non seulement on vous prépare une création sur Janette Bertrand, mais c’est Guylaine Tremblay qui va l’incarner! Une grande fresque théâtrale signée Rébecca Déraspe en hommage à une pionnière qui a transformé… et déniaisé le Québec», apprenait-on à notre plus grand bonheur!
Un très bel hommage qui mettra en lumière l’inspirante guerrière qu’est Janette, qui a su conquérir le coeur des Québécois d’année en année avec ses divers et incroyables projets, ainsi que par sa vie et sa force.
D’ailleurs, celle dont on célébrera les oeuvres et les réussites fêtera son centième anniversaire le 25 mars 2025, juste avant les premières représentations!
En parlant de talents québécois, on apprend queJean-Philippe Perras fera lui aussi partie de ce beau projet, un beau coup de coeur.
Une pièce qui ne peut être qu’un franc succès…
Ne manquez pas Janette, présentée du 9 avril au 15 mai 2025, chez Duceppe!
Janette Bertrand,âgée de 98 ans, semble nous réserver encore de belles surprises!
La grande dame a fait une brève apparition dans le cadre du spécial Noël de La vraie nature, moment où elle dévoilait avoir fait une demande particulière à son médecin, tout en révélant avoir un nouveau projet dans ses cartons.
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Une anecdote qu’elle raconte en lien avec un sujet abordé lors de l’émission, soit celui de la mort et de l’importance de vivre pleinement.
«Je suis allée voir mon médecin. J’ai dit: J’ai un projet pour dans deux ans, je vais-tu être vivante?(…) Alors là, je l’ai vu se reculer… puis il m’a dit qu’il ne voyait pas comment je pourrais mourir d’ici deux ans! Alors c’est correct (…) J’ai mon OK pour deux ans!», confie avec son style iconique Janette Bertrand!
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Quel beau moment en compagnie de Janette… on souhaite garder cette grande dame auprès de nous encore très longtemps!
Dans cette nouvelle édition, Janette se livrera plus que jamais sur sa vision de la réalité actuelle!
«L’autrice présente dans cette réédition quelques réflexions et commentaires sur sa perception des réalités actuelles. Qu’est-ce qui l’a motivée à relever autant de défis? Quelles épreuves a-t-elle surmontées? Quel est le secret de sa passion pour la vie que rien n’altère, même pas l’âge? D’une plume vivante, avec générosité, elle se confie, émeut, fait rire et étonne», nous dévoile-t-on via communiqué de presse.
Il abordait premièrement en compagnie de son ami Hubert Proulx avoir été confronté à la maladie à un jeune âge.
«Moi, vite dans la vie, tu le sais, j’ai été confronté à la maladie. Mon père est mort jeune, mon frère a eu un cancer. L’autre jour, j’écrivais et j’ai fais: C’est tout le temps dans tout ce que j’écris. C’est dans Avant le crash, c’est dans Virage. Moi, en 35 ans, tous les gens de ma famille proche étaient tombés malades. J’ai été vite confronté à perdre des gens ou à dealer avec la maladie. On dirait que ça m’a fait prendre conscience du temps qui passe et de l’importance de la vie», explique Éric Bruneau.
Une réalité qu’il a encore mieux comprise lorsqu’il a eu sa fille Marguerite.
«À 35 ans, j’ai eu ma fille et j’ai fait comme: OK, là, il faut… c’est le temps d’être volontaire. Tu n’as pas à t’excuser de vouloir aller chercher quelque chose. On dirait que c’est tombé en accord. Quand j’étais jeune, j’étais juste volontaire pour être volontaire. Puis, un moment donné, avec la paternité et avec la façon que la vie puis la maladie ont embarqué dans ma vie, ça a orienté tout ça. Ça m’a poussé à aller chercher les choses que je voulais faire», ajoute-t-il.
«Le fait d’être père, en quoi ça t’a changé? La paternité, dans ton rapport au métier… ton père a été très présent (…) a légué ce côté très travaillant, très vaillant. Toi, qu’est-ce que tu voudrais léguer à Margot?», veut alors savoir Hubert Proulx.
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«Je veux lui donner le courage d’aller au bout de ses ambitions, de ne pas avoir peur de la vie, de foncer dedans, de ne pas avoir peur de se tromper. C’est comment tu te relèves et continues. C’est cliché, mais c’est vrai. J’espère qu’elle va avoir ce guts-là de se lancer», continue avec amour l’acteur.
Par la suite, Éric Bruneau a eu l’immense chance, à son grand bonheur, de s’entretenir avec la grande Janette Bertrand, où il abordait une fois de plus sa fille et l’idée d’un mariage.
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Janette Bertrand voulait notamment savoir si, comme la plupart des acteurs, il avait un grand besoin d’amour du public ou si l’amour de ses proches était suffisant.
«Il n’y a rien comme être sur scène et d’être ébloui par la lumière. Puis, qu’il y ait 900 personnes devant toi et que tu ne les vois pas (…) Je me rappelle quand j’ai eu ma fille, je me suis mis à jouer différemment, par exemple, parce qu’il y avait un amour à la maison que je n’avais plus besoin d’être…», lance Bruneau.
«Comblé?», complète Bertrand.
«Oui. Tantôt, on en parlait avec Hubert. Quelque chose d’être volontaire (…) ma fille a comblé quelque chose», ajoute Éric.
Un peu plus tard à l’émission, Janette voulait obtenir une réponse à une question très importante.
«Es-tu marié?», demande du tac au tac Janette, qui veut savoir.
«Non», répond le comédien.
«Et pourquoi tu ne t’es pas marié?», demande Janette, faisant ainsi rire le public!
«Je ne sais pas, ce n’est pas définitif, je…», lance un Éric Bruneau visiblement un brin déstabilisé.
«Là, ta blonde écoute et elle va dire: Qu’est-ce qu’il va dire (…)», renchérit avec humour Janette Bertrand.
«Moi, mes parents se sont divorcés jeunes. Il y a quelque chose qui a accroché là. Il y a un restant de ça», avoue-t-il.
Janette abordait alors le fait que plusieurs mariages étaient statistiquement voués à l’échec (plus de 70%) et qu’avec l’union officielle, certains couples finissaient par se prendre pour acquis.
«Tandis que quand tu n’es pas marié, il y a toujours un danger de le perdre», souligne la femme de 98 ans qui est avec le même homme depuis 40 ans.
«J’espère que ma blonde écoute», ajoute Éric avec un brin d’humour, mais aussi de soulagement.
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«Je te demandais: Veux-tu te marier? Ta blonde, elle, veut-elle se marier?», ajoute la seule et unique grande dame de la télé.
«Oui. Je pense que ma blonde, elle aimerait ça. Ça va devenir un clickbait, ça! Non, mais oui, oui, ma blonde vient… mes beaux-parents sont un exemple d’un couple qui s’aiment, qui sont passés à travers le temps, qui ont eu trois enfants. Ils ont eu ma blonde à 16 ans, ils sont toujours ensemble. Ils sont toujours amoureux. Ma blonde vient de cette place-là. J’avoue que je trouve ça beau, puis je le vois», termine avec ouverture Éric.
Un beau moment de télévision en compagnie d’Éric, Janette et Hubert…
Le retour de la désormais célèbre famille Bougon a été confirmé au cours des dernières heures, alors que le projet Votez Bougon serait bien en selle.
Ce n’est toutefois pas à la télévision traditionnelle, mais plutôt au grand écran, que s’effectuera ce retour qui s’annonce des plus spectaculaires.
C’est à la suite de la confirmation du financement accordé par Téléfilm Canada que le producteur Michel Trudeau a pu annoncer que le projet de film sur Les Bougon se rapproche dangereusement des salles québécoises.
«On a la moitié de fait. On se croise maintenant les doigts pour la SODEC!», explique M. Trudeau.
Si la réponse de la SODEC est positive, le tournage serait prévu pour l’automne 2015, rapporte le Journal de Montréal.
S’il est quand même étonnant de constater qu’un film basé sur une prémisse si populaire et commerciale a tout de même besoin des services de financement des deux organisations, on peut tout de même se réjouir de cette nouvelle.
Jean-François Mercier, Louis Morissette et François Avard s’occuperont du scénario original (que l’on promet décapant), qui sera par la suite réalisé par Jean-François Pouliot.
Ce dernier, réalisateur de La Grande Séduction, pourra par ailleurs compter sur les services de Rémy Girard, Antoine Bertrand, Louison Danis et Hélène Bourgeois-Leclerc.
La sortie du film est pour le moment prévue en 2017-2018.
Les Rendez-vous du cinéma québécois, ou RVCQ, frappent un grand coup avec l’annonce de l’embauche de Marc Labrèche à titre de porte-parole de l’événement.
Succédant à Antoine Bertrand dans ces fonctions et publiant illico une hilarante vidéo sur le web pour célébrer sa nomination et faire la promotion de l’événement, Marc Labrèche se fait également défenseur du septième art québécois.
« J’ai toujours beaucoup aimé les RVCQ. C’est un festival pertinent, sympathique, bien organisé, pas prétentieux et populaire dans le bon sens du terme. C’est un rendez-vous intime et chaleureux qui permet aux créateurs d’aller à la rencontre du public. »
« Les RVCQ offrent aussi souvent une nouvelle vie à des films qui n’ont pas eu une longue carrière en salle. Le cinéma québécois est en grande santé sur le plan créatif, et c’est très inspirant et emballant, mais c’est vrai que ça ne se traduit pas toujours par des résultats au box-office. »
« C’est sûr qu’on peut se questionner sur la façon dont les projets sont choisis. On a un système de financement qui n’est pas parfait, mais qui a tout de même ses avantages. Cela dit, je me demande parfois si on n’aurait pas avantage à mettre à contribution des réalisateurs et des scénaristes pour évaluer les projets de films soumis plutôt que de laisser cela à des théoriciens du cinéma. Cela laisserait peut-être plus de place à l’audace », lance notamment Labrèche, des propos rapportés par le Journal de Québec.
Marc Labrèche est lui même en tournage de L’autre côté de novembre ces temps-ci, mais s’avère plus occupé par la tournée de Les Aiguilles et l’opium, de Robert Lepage.
François Avard signe le scénario d’un nouveau film qui doit mettre en vedette Guy Jodoin, et le scénariste voit maintenant deux des plus grosses vedettes locales se joindre à l’effort.
Il s’agit de deux piliers du box-office québécois, soit Patrick Huard et Antoine Bertrand, rapporte le Journal de Québec, qui auraient tous les deux accepté de se joindre au projet qui n’a pas encore de titre officiel.
Marie-Ève Milot et Gardy Fury sont aussi de la distribution du film, qui sera réalisé par Benoît Pelletier et qui raconte l’histoire d’un animateur de talk-show sur le déclin qui tentera une opération de relations publiques désespérée.
Le premier rôle devrait aller à Huard, alors que Bertand devrait incarner l’agent de l’animateur, celui-là même derrière le plan de carrière à la morale un peu douteuse.
Le tournage de ce nouveau projet pourrait s’entamer dès l’an prochain, du côté de Montréal et de la République dominicaine.
Après Mommy de Xavier Dolan pour le Canada, c’est maintenant au tour du Saint Laurent de Bertrand Bonello d’être envoyé en présélection des Oscars pour représenter la France, rapporte notamment Gala.
Le film que l’on qualifie d’assez sombre et vrai obtient donc une belle publicité à la suite de cette annonce. On chuchote que le film pourrait se retrouver en sélection officielle, tout comme Mommy de Dolan.
Saint Laurent met en vedette Gaspard Ulliel et Léa Seydoux, et retrace le parcours du célèbre créateur de mode. Il avait reçu de belles réactions lors du plus récent Festival de Cannes.
Le film de Bertrand Bonello débarque dans les salles européennes le 24 septembre.
Le gala des Oscars 2014, qui en sera à sa 87e édition, sera présenté le 22 février 2015 au Dolby Theatre d’Hollywood.
Après Mommy de Xavier Dolan pour le Canada, c’est maintenant au tour du Saint Laurent de Bertrand Bonello d’être envoyé en présélection des Oscars pour représenter la France, rapporte notamment Gala.
Le film que l’on qualifie d’assez sombre et vrai obtient donc une belle publicité à la suite de cette annonce. On chuchote que le film pourrait se retrouver en sélection officielle, tout comme Mommy de Dolan.
Saint Laurent met en vedette Gaspard Ulliel et Léa Seydoux, et retrace le parcours du célèbre créateur de mode. Il avait reçu de belles réactions lors du plus récent Festival de Cannes.
Le film de Bertrand Bonello débarque dans les salles européennes le 24 septembre.
Le gala des Oscars 2014, qui en sera à sa 87e édition, sera présenté le 22 février 2015 au Dolby Theatre d’Hollywood.
Les Jutra 2014 n’auront pas laissé nécessairement un bon souvenir aux téléspectateurs hier soir (23 mars), alors que plusieurs éléments sont venus jeter une petite douche froide à l’événement.
On pense d’abord aux performances inégales et aux textes peu relevés proposés par les deux animateurs de la soirée, Pénélope McQuade et Laurent Paquin, cependant toujours aussi flamboyants et charismatiques. Le sketch de préouverture indiquait ironiquement le ton du gala, et celui-ci n’aura jamais vraiment levé.
Plusieurs diront qu’il s’agissait d’une amélioration notable comparativement à l’an dernier, mais il aura tout de même fallu attendre Antoine Bertrand pour vivre quelques moments de véritables émotions. Lui etLouis Cyr, le film de Daniel Roby, étaient en nomination dans pas moins de 11 catégories, ce qui en dit long sur la qualité de l’année 2013 au cinéma québécois. Bertrand a finalement été sacré meilleur acteur, en plus de voir Louis Cyrremporter le prix du meilleur film devant Gabrielle.
Cette dernière était d’ailleurs la grande « absente » de la soirée, alors qu’elle n’a pas obtenu de nomination dans la catégorie de la meilleure actrice. Les mentions, compliments et hommages n’ont cependant pas cessé de fuser de toutes parts tout au long du gala, rendant cette absence de nomination totalement ridicule.
Gabrielle, de Louise Archambault, a finalement remporté le prix du meilleur scénario et de la meilleure réalisation.
Le Démantèlementa dû se contenter de la meilleure direction photo.
Deux des moments forts de la soirée ont été l’hommage à Micheline Lanctôt et l’apparition de vedettes américaines comme Vince Vaughn et Jake Gyllenhaal, venus saluer le travail des réalisateurs québécois (Ken Scott, Denis Villeneuve, etc.) dans un excellent montage vidéo. Il est permis de croire que ce moment a certainement dû rendre mal à l’aise quelques puristes.