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Nancy Buck de Peaceful Parenting Inc, psychologue du développement et infirmière, explique que les principales causes des disputes et séparations dans la première année de vie de l’enfant proviennent de besoins ou attentes non verbalisés avant, pendant et après la grossesse.

Si l’idée du « contrat de grossesse » vous semble farfelue, dites-vous que vous sauverez peut-être votre couple en procédant ainsi.

Les « clauses » de cette entente sont simples en apparence, mais vous éviterez tout malentendu. SheKnows vous propose quelques sujets à aborder.

– Qui s’occupera de bébé le jour ou la nuit, quelles tâches seront attribuables à qui (biberon, changer le lit, la couche, laver les vêtements, etc.).

– Les tâches ménagères et les courses à faire, ainsi que les repas, pendant et après la grossesse.

– Le budget alloué pendant la grossesse à des articles ou meubles pour le futur bébé. Vous éviterez ainsi les disputes financières.

– Ajoutez les valeurs qui sont importantes pour chacun en ce qui a trait à l’éducation de l’enfant pendant la première année.

– Prévoyez du temps pour votre couple, choisissez des journées spécifiques dans la semaine et du temps pour vous, personnellement.

Si l’on se fie à la pyramide des besoins de Maslow, afin de bien se développer, il nous faut combler nos besoins physiologiques, de sécurité, d’appartenance et d’amour, d’estime et d’accomplissement de soi. Ce n’est malheureusement pas le cas de chacun.

Le site Medical News Today publie une recherche mettant de la lumière sur l’importance d’un traitement hâtif pour les jeunes victimes de sévices émotionnels et de négligence.

Les résultats d’un total de 42 recherches ont été compilés auprès d’enfants respectant ces critères. Entre autres, les sujets observés, d’âge préscolaire avec des cas de négligence et de sévices confirmés, ont démontré certaines formes d’agression, de réserve, de passivité, de retard du développement, de troubles de communication, de sensibilité et de critique.

De plus, il est dit que sans intervention, ces enfants, tous âgés de 0 à 6 ans, subissaient une détérioration de la connaissance émotionnelle, des fonctions cognitives et du langage.

L’étude a conclu que « les conséquences à long terme comprennent des problèmes physiques et de santé mentale, des déficiences en matière linguistique, sociale et de communication, ainsi que des effets graves sur le développement du cerveau et le fonctionnement hormonal. Une intervention hâtive a le potentiel de changer la vie de ces enfants ».