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Une étude se porte à la défense du fromage

Il semble qu’il existe des courants et des modes en nutrition, alors que certains aliments se voient subitement massivement mis en relief dans des campagnes de promotion agressives, et que d’autres se voient ostracisés, devenant soudainement des ennemis de la santé.

Ce fut le cas du café, à une certaine époque, avant que celui-ci retrouve ses lettres de noblesse au fil des deux dernières années. On peut également penser au vin et à la bière, aux suppléments de vitamine et aux œufs, qui sont passés d’une catégorie à l’autre en l’espace de quelques modes.

L’un des plus récents et probants exemples de ce mouvement d’opinion est sans aucun doute celui du fromage, qui fut depuis des décennies un allié puissant de la santé, avant que l’on décide qu’il était « trop gras » et « dangereux pour le cœur ».

Or, Top Santé rapporte une nouvelle étude sur le sujet, qui invalide partiellement ces théories. La recherche, effectuée par le cardiologue Aseem Malhotra et publiée dans le British Medical Journal, conclut que les dangers du fromage et du beurre qui sont véhiculés en ce moment ne sont qu’une infime partie du tableau global.

« Paradoxalement, en cessant de consommer du beurre et du fromage, nous avons pris des risques cardiovasculaires, car les produits laitiers riches en graisses saturées sont également riches en vitamine A, en vitamine D, en calcium et en phosphore, dont notre corps a besoin pour bien fonctionner. Mais les consommateurs doivent faire la différence entre les graisses saturées et les gras trans que l’on trouve souvent dans les produits tout préparés, les plats industriels et la malbouffe », écrit le Dr Malhotra dans une analyse qui se veut on ne peut plus claire.

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Le beurre d’arachides ferait baisser les risques de développer un cancer du sein

Stupéfiante étude que celle rapportée par MedicalNewsToday, qui fait état d’une baisse significative des risques de développement du cancer du sein grâce… au beurre d’arachides.

L’étude américaine constate en effet que les filles et adolescentes qui consomment du beurre d’arachides entre l’âge de 9 et 15 ans voient les risques de cancer du sein diminuer de près de 40 %! Une statistique éloquente, qui ne peut être expliquée que par le facteur chance ou diminuée par un pourcentage d’erreur.

« Ces résultats suggèrent que le beurre d’arachides peut contribuer à abaisser les risques de cancer du sein chez la femme », confirme le Dr Graham Colditz, de la Washington University School Medicine basée à St. Louis.

Dr Colditz et son équipe croient par ailleurs que les données ne s’arrêtent pas là et prétendent que la consommation de protéines végétales, de noix et de beurre d’arachides pourrait aussi aider les femmes de tous âges.

Ce n’est pas la première étude qui vante les mérites des noix en prévention du cancer et des maladies cardiovasculaires, mais c’est la première du genre à établir un lien direct de prévention du cancer du sein chez la femme, à tout le moins grâce au beurre d’arachides de façon spécifique.

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Le beurre d’arachides ne serait pas nécessairement un allié santé

Le bon vieux beurre d’arachides, qui survit aux décennies qui se suivent, demeure un choix de prédilection des consommateurs au petit déjeuner.

On le vante souvent pour ses qualités nutritives, l’aliment faisant même partie du groupe des viandes et substituts. Sauf que toutes ces louanges pourraient masquer les effets sournois du beurre d’arachides sur la santé, selon Authority Nutrition.

En effet, un journaliste s’est penché sur la question, lui qui admet adorer le produit.

Lorsqu’il regarde de plus près les effets et les apports du beurre d’arachides, il fait plusieurs constatations. À commencer par le fait que le produit ne semble pas lui procurer un réel sentiment de satiété, comparativement à d’autres aliments.

Il met ensuite en garde contre plusieurs compagnies qui produisent certains beurres d’arachides auxquels on aurait ajouté d’autres produits, comme du sucre.

Il admet cependant que plusieurs bons produits ne comprenant que des arachides sont proposés sur le marché, sauf que tous ces produits possèdent la même caractéristique : ils sont gras et caloriques.

Chaque 100 grammes de beurre d’arachides contiendrait environ 50 grammes de gras et un taux élevé de calories, ce qui suggère que la tartinade devrait être utilisée de façon modérée, spécialement pour ceux qui désirent perdre du poids.

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Nouvelle tendance : mettre du beurre dans son café

Le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle tendance chez certains amateurs de café qui a de quoi rendre tout à fait perplexe.

En effet, une nouvelle vague de folie passagère semble avoir frappé une partie des buveurs de café, à tout le moins en Angleterre, alors qu’ils ajoutent du beurre dans leur boisson matinale.

Oui, du beurre. Jusqu’à 80 grammes de beurre, pour être précis, ce qui équivaudrait aux deux tiers d’une cuillère conventionnelle.

Pourquoi? On vante d’abord le rituel comme étant une bonne source d’énergie, mais ce qui étonne le plus, c’est que l’on croit que le stratagème permettrait de perdre du poids!

Vous aurez bien sûr compris qu’il s’agit, jusqu’à preuve du contraire, d’un mythe qui pourrait causer bien du tort aux personnes qui décident de tenter l’expérience quotidiennement. À moins que cela ne fonctionne vraiment?

Madelyn Fernstrom, du Today, s’insurge contre le concept. La nutritionniste, comme plusieurs de ses collègues, croit plutôt qu’il s’agit d’une recette parfaite pour la prise de poids (et non la perte), et que la sensation de gain d’énergie présumée ne serait en fait qu’un effet placebo.

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Une hormone ajoutée à l’insu des consommateurs est retrouvée dans le lait

Radio-Canada rapporte des informations concernant le lait et ses produits dérivés qui pourraient inquiéter la population, à la suite du dépôt d’une étude de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA).

Selon l’Agence, on retrouve maintenant de la progestérone dans le lait, le beurre et les autres produits laitiers.

Il s’agit d’une hormone qui permet aux éleveurs de mieux contrôler la reproduction des vaches, en synchronisant le cycle de reproduction de ces bovidés.

En administrant de la progestérone aux bêtes, les agriculteurs peuvent ainsi choisir les moments de procréation, au lieu de laisser le hasard et la nature décider pour eux.

Un comportement qui risque fort d’en inquiéter plusieurs, malgré les conclusions de l’Agence canadienne d’inspection des aliments qui affirment que l’ajout de progestérone n’aura aucune incidence sur la santé des Québécois.

C’est après avoir consulté Santé Canada sur le dossier que les experts de l’ACIA concluent à l’absence de risques pour la population.

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Les mythes concernant certains produits « légers » sont tenaces

La minceur et la santé sont tellement omniprésentes dans les valeurs modernes de nos sociétés que les compagnies alimentaires font des affaires d’or en ajoutant simplement la mention « léger » à leurs produits.

Or, plusieurs mythes concernant ces produits sont tenaces, et e-sante.fr rapporte qu’il ne faut pas se fier uniquement aux emballages alléchants pour nous convaincre que nous faisons des choix santé.

C’est particulièrement le cas, toujours selon le site, en ce qui a trait aux crèmes, sauces et beurre, qui sont proposés en moult versions, marques et appellations.

Ainsi, une margarine « bonne pour le cholestérol » n’est pas nécessairement une margarine allégée, et cette dernière contient pratiquement autant de calories que le beurre. Donc, il est clair que pour la cuisson, l’idéal est d’utiliser des méthodes alternatives qui ne nécessitent pas de corps gras.

On suggère fortement d’éviter aussi le beurre pour la confection des sauces, et de prôner l’utilisation d’autres ingrédients moins « lourds » pour l’organisme.

Pour les crèmes, on suggère la 15 %, qui s’avère un bon compromis entre santé et goût.

Même son de cloche du côté des vinaigrettes à salade, dont les versions allégées ne semblent pas être véritablement moins caloriques que les autres.

Au final, le meilleur conseil est de toujours lire les fiches nutritives retrouvées sur les produits, afin de faire des choix qui vont de pair avec vos besoins et vos objectifs (calories – poids, gras – cholestérol, sodium – sel, etc.).

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Alzheimer : les saveurs artificielles de beurre sur la sellette

(Relaxnews) – Avis aux grignoteurs cinéphiles : une nouvelle étude américaine montre que les saveurs artificielles de beurre (diacétyle), présentes entre autres dans le maïs soufflé et la margarine, seraient un facteur aggravant de la maladie d’Alzheimer.

Une équipe de chercheurs de l’Université du Minnesota, chapeautée par Robert Vince, a montré que le diacétyle intensifiait les effets toxiques de la protéine bêta-amyloïde liée à la maladie d’Alzheimer.

Les chercheurs ont aussi démontré que le diacétyle disposait d’une structure comparable à la substance qui entraîne l’agrégation de protéines bêta-amyloïde dans le cerveau. Il passerait la barrière hémato-encéphalique pour atteindre le cerveau et inhiberait une protéine protectrice des neurones.

Des études précédentes ont déjà montré que le diacétyle pouvait entraîner des troubles pulmonaires chez les personnes travaillant dans l’industrie alimentaire. Plus précisément, il s’agit des produits comme le maïs soufflé, les margarines, la nourriture pour animaux et divers en-cas industriels contenant ces saveurs.

Reste à prouver si ces saveurs de synthèse ont un effet direct sur les consommateurs.

Cette étude a été publiée dans la revue Chemical Research in Toxicology.

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Le beurre cuit n’affecte pas négativement la santé

Il est faux de croire que le beurre cuit est nocif pour la santé.
 
Plusieurs personnes croient que le beurre de cuisson peut affecter la santé. Pour la première fois, une étude s’est penchée sur le sujet.
 
Le beurre non cuit contient peu de CML et HMF, deux composés que l’on croit nocifs pour la santé une fois cuits.
 
En effet, lors de la cuisson, les niveaux de ces deux composés augmentent, mais modestement. Il n’y aurait rien qui peut affecter la santé, rapporte Cerin.
 
On croit à tort que les aliments brûlés ne sont pas bons pour la santé, surtout le beurre. Pourtant, avec celui-ci, vous savez exactement comment l’utiliser, il suffit d’avoir un bon œil. La bonne cuisson vous donnera une couleur légèrement dorée.
 
Donc, pas de soucis, le beurre cuit ne vous causera pas de problèmes de santé, du moins, pas comme la croyance populaire le laisse croire depuis très longtemps.
 
Le beurre demeure tout un même une matière grasse à consommer avec beaucoup de modération.

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Le fromage meilleur que le beurre pour le coeur

Selon une étude danoise parue dans le Journal of Clinical Nutrition, le fromage serait meilleur que le beurre pour la santé cardiaque, même s’il contient plus d’acides gras saturés.
 
Consommer du fromage ne fait pas augmenter le mauvais cholestérol, comparativement à la même quantité de beurre.
 
49 personnes ont pris part à la recherche. Un groupe devait consommer du fromage, et l’autre du beurre. Après six semaines, les personnes qui avaient mangé du fromage avaient moins de cholestérol que les autres.
 
On croit que le calcium contenu dans le fromage permettrait une meilleure excrétion des graisses.
 
Sachez toutefois qu’il est préférable de consommer les fromages à pâte molle qui sont moins gras et même de privilégier les fromages allégés. Ces derniers permettent de réduire le cholestérol et le taux de graisses saturées tout en fournissant un apport considérable en calcium.
 
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Les produits laitiers ne sont pas nocifs pour le coeur

Bonne nouvelle pour les amateurs, les produits laitiers comme le beurre et le fromage n’augmentent pas les risques de crise cardiaque, selon les scientifiques.
 
Les résultats de leur étude, publiés dans le journal Nutrition, Metabolism and Cardiovascular Diseases, démontrent qu’il n’existe aucun lien entre la consommation quotidienne de ces produits et un risque accru de troubles cardiaques, même pour ceux qui mangent plus d’un demi-kilogramme de fromage quotidiennement.
 
On croyait que les graisses saturées des produits laitiers étaient nocives pour la santé cardiaque, mais les chercheurs constatent plutôt que les nutriments des produits compensent et viennent contrecarrer les effets néfastes.
 
Attention, on ne dit pas que les graisses saturées sont inoffensives, au contraire, mais les autres nutriments comme le calcium, la vitamine D et le potassium peuvent protéger des maladies cardiaques.