Ce sont 14 000 femmes enceintes qui ont participé à l’enquête téléphonique nationale des Centers for Disease Control aux États-Unis.
À la question demandant si elles avaient bu au cours du mois dernier, parmi celles qui ont répondu positivement, une sur 5 a avoué avoir le coude léger et avoir consommé quatre verres ou plus dans les 30 derniers jours.
Bien que ces résultats soient basés sur une étude qui s’est déroulée entre 2006 et 2010, mais dont les conclusions ont été publiées hier (19 juillet), et soient plus encourageants et moins élevés qu’au début des années 2000, l’organisation des centres de prévention tient à rappeler que l’alcool, et en particulier la consommation excessive durant la grossesse, peut endommager le développement du cerveau du fœtus.
Également, parmi les femmes enceintes qui ont répondu au sondage, la consommation d’alcool serait davantage vécue par celles qui ont de 35 à 44 ans, contrairement à ce que pourrait penser la population en pointant des femmes enceintes au début dans la vingtaine.