On le sait, l’industrie de la musique en est une
impitoyable, et les « emprunts » de matériel ou « l’inspiration » d’un artiste à
un autre sont monnaie courante même dans les plus gros studios.
Cette
fois, c’est Beyoncé Knowles et Jay-Z qui se retrouvent au centre d’une poursuite
pour utilisation frauduleuse du talent d’autrui, en l’occurrence une artiste
jamaïcaine du nom de Dr.
L’Antoinette Stines.
Cette
dernière se retrouve en vedette de la pièce Black
Effect, après avoir été invitée à enregistrer quelques passages en
studio, et n’aurait non seulement jamais été prévenue que sa voix allait se
retrouver comme élément central de l’extrait, mais n’aurait également reçu aucun
crédit officiel ni cachet adéquat, selon sa version.
TMZ
rapporte que Stines se dit en colère et « violée artistiquement », et révèle
dans sa poursuite avoir été invitée à signer un document qui ne dépeignait pas
la réalité de sa collaboration, au final, et ne pas avoir été payée pour son
travail.
Dr.
L’Antoinette Stines demande donc maintenant réparation, crédit et
dommages-intérêts, selon cette même source.
Crédit photo : WENN/COVER