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Les repas en famille n’ont pas d’effets sur le bien-être des adolescents

Bien qu’ils soient vantés pour favoriser un meilleur équilibre et réduire les risques de surpoids, les repas en famille n’auraient pourtant pas d’influence sur le développement et le bien-être des adolescents. 

Ce sont les conclusions auxquelles parviennent des chercheurs après avoir suivi 18 000 enfants jusqu’à l’adolescence. Selon le Journal of Marriage and Family, les chercheurs ont mesuré les effets des repas en famille selon trois principaux critères, soit les symptômes de dépression chez les jeunes, l’usage de drogues et la délinquance.
 
On ne remarque aucun bénéfice notable des repas en famille sur le développement et le bien-être de ces jeunes.
 
Les avantages des repas en famille seraient plus pour les parents. Ces moments sont des occasions de reconnecter émotionnellement avec leurs enfants, de surveiller leurs activités et de transmettre des valeurs.
 
La capacité de gérer les repas en famille est toutefois grandement facilitée avec les ressources comme le temps et l’argent. Ces repas sont beaucoup plus fréquents chez les familles avec les deux parents biologiques, la mère au foyer et un revenu plus élevé.
 
Mais des études plus approfondies doivent être faites, notamment sur le contexte de repas en famille à savoir s’il y a un réel échange ou si les personnes regardent la télévision ou envoient des messages texte en mangeant.
 
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Les parents sont plus heureux que les autres

Alors que c’était la croyance des dernières décennies, les résultats de deux études parues dans le USA Today émettent le contraire.

« Nous ne trouvons aucune preuve que le bien-être des adultes diminue une fois qu’ils deviennent parents. Nous avons même découvert des preuves solides que le bien-être est élevé lorsque les gens planifient une grossesse et attendent leur premier bébé », affirme l’un des auteurs, Mikko Myrskylä, de l’Institut Max Planck pour la recherche démographique à Rostock, en Allemagne.

En effet, il semblerait que « le bonheur pour les parents augmente de beaucoup au premier enfant, de peu au deuxième, et pas du tout au troisième », avance Myrskylä.

L’âge des parents influencerait également le niveau de joie et de bien-être. Les jeunes parents auraient un niveau de bonheur moins élevé que ceux qui ont un âge plus avancé.

Les parents seraient relativement plus heureux que les non-parents, car au fil des ans, le bonheur des non-parents diminue tout simplement, évaluent les experts.

Pour en arriver à ces conclusions, les niveaux de bonheur de 130 000 adultes dans le monde entier, dont plus de 52 000 parents avant et après la naissance de leur enfant, ont été comparés lors d’une étude à long terme.

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Des semaines de 35 heures de travail pour les parents?

Jörgen Larsson de l’Université de Göteborg a développé sa thèse de doctorat sur le fait que les parents travaillent beaucoup plus que par le passé et pourraient facilement mieux gérer leur stress s’ils se livraient moins au boulot.

L’homme croit même que le gouvernement devrait compenser la perte de revenus des familles qui choisissent de travailler moins, et ce, pendant les années où l’enfant est d’âge préscolaire.

Depuis les années 70, le temps de travail total payé pour les mères et les pères de jeunes enfants a augmenté en moyenne de 10 heures par semaine.

Larsson a analysé les données de 20 000 parents et a réalisé des entrevues auprès de 19 pères afin d’évaluer le bien-être temporel de ces derniers.

Par bien-être temporel, l’auteur de l’étude entend la façon dont vous êtes satisfait avec votre répartition du temps entre votre travail rémunéré, par exemple, les enfants, votre partenaire, votre travail à la maison et le temps que vous accordez à vous-même.

Il a été mis en évidence que le bien-être temporel à la maison est nettement plus faible chez les parents que chez les personnes sans enfants.

De plus, il a été prouvé qu’il y avait un grand écart entre les sexes en ce qui a trait au travail à temps partiel. Beaucoup plus de femmes (28 % contre 2 % des hommes) travaillent de 30 à 36 heures semaines.

Il ne s’agirait pas nécessairement là d’un choix ou de sexisme, mais plutôt de l’idée que les hommes qui veulent plus de temps pour prendre soin de leur famille sont encore confrontés au jugement de la société. La classe sociale plus élevée des hommes ferait en sorte également qu’ils peuvent travailler moins.

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Adieu immunosuppresseur?

Une étude préliminaire de l’Université de San Fransico en Californie a prouvé que parmi 20 enfants ayant besoin d’une transplantation, 12 d’entre eux ont réussi à conserver la fonction du greffon normale sans la prise de médicaments immunosuppresseurs, et ce, pendant au moins un an.

Les sept patients qui ont développé un rejet du greffon aigu ou limite ont complètement récupéré en recommençant la prise de médicaments, mais la dose a pu être rapidement diminuée, voire éliminée, peu de temps après la réaction.

Les chercheurs écrivent : « Bien que l’arrêt du traitement immunosuppresseur chez les receveurs d’allogreffe de foie peut précipiter le rejet, la plupart des épisodes sont réversibles, sans conséquence à long terme. On peut ainsi minimiser la dose qui peut rendre les enfants à risque de dysfonction rénale, infections opportunistes, cancer et autres problèmes ».

Alors que des études antérieures laissaient croire que seuls 20 % des enfants greffés réagiraient bien sans immunosuppresseurs, 60 % comme taux de réussite a agréablement surpris les scientifiques.

L’élimination des immunosuppresseurs n’a octroyé aucune infection, décès ou perte du greffon, ce qui suggère que le retrait du médicament est possible pour tous les enfants.

L’étude se poursuit afin de savoir combien de temps les enfants peuvent tenir le coup sans immunosuppresseurs ou autres médicaments.

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Travailler à temps partiel rend les mamans heureuses

Pendant 10 ans, 1364 femmes et mères ont été suivies par des chercheurs. Ces derniers ont conclu que les mères qui travaillent, à temps plein ou partiel, font preuve d’une meilleure santé physique et d’un meilleur bien-être que celles qui restent à la maison. Le risque de souffrir d’une dépression serait moindre également.

Certaines diront que rester à la maison pour élever sa famille ne peut avoir que des bienfaits pour l’éducation et le suivi scolaire des petits. Cependant, selon cette étude, les mères qui travaillent à temps partiel réussissent tout autant que ces dernières à s’investir auprès de leurs enfants. Le point qui avantage les professionnelles est qu’elles seraient plus aptes à offrir des occasions d’apprentissage à leurs gamins.

En résumé, les chercheurs disent que si l’on tient compte uniquement du bien-être de la mère, il est mieux que celle-ci sorte de la maison pour travailler. Pour ce qui est du bien-être de la famille, puisqu’il n’y a pas de différence entre femmes au foyer et professionnelles au sujet de l’éducation, il serait mieux de valoriser un emploi à temps partiel pour équilibrer le tout et faire le bonheur de tous!

Les détails de cette étude se retrouvent dans le dernier numéro du Journal of Family Psychology.

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Être parent rend-il heureux?

Les résultats d’un sondage mené auprès de 10 000 couples quant à leur bonheur d’avoir des enfants ne se sont pas révélés ceux auxquels on s’attendait. Alors que l’on croit généralement qu’être parent nous aidera à trouver le bonheur, la réalité ne serait pas si rose.

Ainsi, comme on lit dans Libération, il semble que « [l]e fait d’avoir un bébé donne une probabilité de répondre un peu plus négativement à la question sur le niveau de satisfaction dans la vie. »

Bien que les couples aient répondu vivre une satisfaction générale quant à leur vie, une nuance s’est immiscée lorsqu’il a été question de la venue d’un enfant. La raison semble être que la vie en est alors transformée : difficultés budgétaires, horaires changés, maison soudain trop petite, etc.

Les résultats de ce sondage effectué par l’INSEE sont donc à comprendre selon plus d’un angle. Il semble, en fait, que les parents sont très heureux d’avoir des enfants, mais que cette nouvelle vie apporte malgré elle quelques difficultés.

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Les aliments gras ont le même effet que la drogue

Si vous n’arrivez pas à vous passer de croustilles ou de frites et que vous avez des envies irrépressibles d’en manger, sachez qu’il existe pour cela une explication scientifique.
 
Selon les Proceedings of the National Academy of Science (PNAS), des chercheurs américains ont découvert que les aliments gras augmentent la production de substances chimiques dans le corps, les endocannabinoïdes, qui provoquent un sentiment de bien-être au même titre que le cannabis, entraînant donc une surconsommation.
 
Cela déclenche également des envies irrépressibles d’aliments comme des croustilles et des frites, par exemple. Toutefois, les aliments sucrés et protéinés n’ont pas cet effet.
 
« C’est la première démonstration que les signaux d’endocannabinoïdes dans le ventre jouent un rôle important de régulation de la consommation des graisses », explique la chercheuse Daniele Piomelli.
 
Par contre, vous pouvez avoir cette même sensation de bien-être de façon plus saine, car le sport augmente aussi la production d’endocannabinoïdes.

Cette découverte pourrait éventuellement mener à la création d’un médicament pouvant contrer ce processus, afin de briser les envies continuelles de consommation d’aliments gras.

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Les bienfaits de la musique se confirment

Une nouvelle recherche publiée dans la revue Music and Medicine dévoile que la musique peut apaiser les personnes en soins palliatifs.
 
Cette étude, menée par l’Université Concordia à Montréal et dirigée pas la professeure Sandra Curtis, montre qu’en une seule séance de musique, on peut améliorer le bien-être des patients.
 
Pendant trois ans, l’équipe a étudié les effets de la musicothérapie sur 371 personnes en phase terminale âgées de 18 à 101 ans. La majorité de ces patients étaient atteints d’un cancer.
 
Les séances de musique duraient de 15 à 60 minutes, durant lesquelles on mesurait le niveau de douleur, de stress ainsi que l’humeur et la qualité de vie. La musique améliorait tous ces aspects chez les patients et augmentait sensiblement leur qualité de vie.
 
Depuis que cette étude a été dévoilée, deux centres de pédiatrie australiens ont décidé d’avoir recours à la musicothérapie pour soulager leurs petits malades.
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Jardiner permet de conserver une meilleure santé et un meilleur moral

Deux nouvelles études viennent d’être faites aux États-Unis sur l’entretien d’un potager et la santé des personnes âgées.
 
Dans un premier temps, sur un échantillon de 261 hommes et femmes de plus de 50 ans, dont 158 cultivaient un potager, on observe que ceux qui entretiennent un jardin ont plus tendance à consommer des légumes que ceux qui s’approvisionnent à l’épicerie ou dans les marchés. Ceci sans aucune différence entre le sexe, le nombre d’années d’expérience en jardinage et le nombre d’heures passées à s’occuper du potager.
 
Toutefois, on ne peut dire avec certitude s’il existe un lien entre le fait que les personnes font le choix de jardiner par plaisir et leur consommation accrue de légumes ou encore si jardiner finit par avoir une influence positive sur le mode de vie.
 
Une deuxième étude révèle que jardiner améliore le bien-être des personnes âgées. Elles sont plus satisfaites de leur vie et trouvent leur existence moins monotone ou ennuyante. De plus, ces personnes ont un sentiment d’accomplissement et se sentent moins vieilles et fatiguées.
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L’amitié permet de conserver une bonne santé

Avoir des amis est important, plus que vous ne pouvez le croire. En effet, ils contribuent à nous maintenir en forme, selon le constat qu’a fait une équipe de BBC News après avoir étudié une centaine d’études sur l’amitié et la santé.
 
Une personne qui est entourée d’amis et qui se reconnaît une place au sein d’un groupe aura tendance à prendre plus soin d’elle.
 
On va jusqu’à affirmer qu’avoir peu d’amis est aussi nocif pour la santé que peuvent l’être le tabac et l’alcool.
 
En revanche, les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter ne vous apportent rien. Ces derniers ne pourront jamais remplacer le lien qui se tisse entre deux personnes lorsqu’elles se lient réellement d’amitié, qu’elles se rencontrent et font des activités ou des sorties ensemble. Ceci permet de trouver un équilibre entre la vie professionnelle et l’épanouissement personnel.
 
Peu importe notre âge et notre classe sociale, les bienfaits de l’amitié sont réels sur notre santé. En vieillissant, il devient encore plus important d’avoir un entourage présent et aimant afin de maintenir la forme physique et intellectuelle.