Le Daily Mail (UK) rapporte de nouvelles statistiques concernant la longévité, la santé, le vieillissement et la mort.
D’abord, les chercheurs de l’Université Harvard constatent bel et bien une longévité accrue, ce qui signifie que l’on vit plus longtemps, tout simplement. De plus, autre bonne nouvelle, non seulement nous vivons plus longtemps, mais il semble que la maladie soit de moins en moins fréquente.
Il n’y a pas si longtemps, on s’attendait à voir les six ou sept dernières années d’une vie se terminer dans la maladie et la souffrance. Ce ne serait plus nécessairement le cas, selon le professeur David Cutler.
« Avec l’exception de la dernière ou des deux dernières années, les gens sont plus en santé qu’ils ne l’étaient auparavant. Par conséquent, la période de temps associée à la maladie ou à une santé pauvre se retrouve compressée juste à la fin de la vie. Nous nous étions habitués à voir des gens très, très malades pour les six ou sept dernières années de leur vie, ce qui s’avère beaucoup moins commun », explique Cutler, enthousiaste.
Cependant et en conclusion, ce que ces données signifient est que les humains vont avoir tendance à « s’éteindre » plus abruptement, spontanément, sans souffrir sur de longues périodes. On baptise pour l’instant ce phénomène celui de « l’ampoule ».