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Les avantages d’exposer bébé à deux langues plutôt qu’une

En fait, on mentionne qu’exposer votre bambin à deux langues alors qu’il est très jeune permettra à ce dernier d’apprendre beaucoup plus rapidement que ses pairs dès l’âge préscolaire.

Du moins, c’est le cas au niveau cognitif. Des chercheurs ont découvert que des jeunes qui avaient évolué dans deux langues identifiaient beaucoup plus vite des images familières qui leur étaient présentées. En plus, ils portaient plus attention aux images inconnues.

Leher Singh, auteur de la présente recherche, mentionne que les scientifiques ont remarqué par le passé que les bébés qui s’ennuyaient rapidement lorsqu’on leur présentait des images apprenaient plus rapidement. Ils développaient plus facilement des aptitudes cognitives et de langage plus tard. Ils ont donc voulu vérifier si le bilinguisme avait une incidence.

Les résultats ont rapidement été concluants. « En tant qu’adulte, apprendre une autre langue peut être très laborieux », explique Singh. « On projette parfois cette difficulté à nos bébés, imaginant que cela représente une énorme confusion pour eux. » Pourtant, au contraire, cela les avantage.

Le détail de l’étude peut être consulté dans la publication Child Development.

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Les bébés peuvent apprendre jusqu’à 3 langues simultanément

Selon Julia Pimsleur Levine, fondatrice et PDG de Little Pim, qui offre un programme d’éducation des langues étrangères pour les jeunes enfants : « Avant même que les bébés soient en mesure de parler, leur cerveau est déjà équipé pour accueillir l’apprentissage de jusqu’à 3 langues ».

L’aptitude est cependant temporaire. Dès 6 ans, elle diminue considérablement, et entre 10 et 12 ans, la difficulté se corse une fois de plus. D’où la difficulté à apprendre une langue seconde à l’école.

Si vous souhaitez que votre enfant soit bilingue ou multilingue, il vaut mieux commencer tôt, aussi tôt que lorsqu’il atteint 6 mois, selon SheKnows.

Selon les spécialistes, pour qu’un enfant apprenne plus d’une langue, il lui faut une référence constante. Par exemple, papa parle en anglais uniquement, et maman en français. D’autre part, ce sera plus difficile si les langues sont trop similaires, comme l’italien et le français.

Entre l’âge de 2 et 4 ans, vous verrez l’évolution du langage de votre enfant. Celui-ci commencera à comprendre qu’il s’exprime en plus d’une langue, et il se peut que la période transitoire nécessite des ajustements. Mais les retards de langage se résorberont avec le temps.

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Apprendre une seconde langue pourrait freiner le développement de l’Alzheimer

Top Santé rapporte une étude qui étonne et qui rappelle à quel point les actions et la stimulation mentale d’un individu peut faire varier le destin de sa santé à long terme.

Cette fois, une équipe de chercheurs d’Édimbourg, en Écosse, a établi par le biais de ses recherches que les personnes qui parlaient plusieurs langues, soit au moins une de plus que leur langue maternelle, pouvaient voir le développement de la maladie d’Alzheimer et de la démence être retardé de plusieurs années.

Jusqu’à cinq ans, dans certains cas, peut-on lire dans cette recherche, une cause à effet des plus inattendues pour les amateurs de langues étrangères.

Les chercheurs impliqués dans l’étude ne s’en cachent pas, les raisons de ce phénomène restent à être éclaircies et expliquées. Ils sont cependant convaincus de ce qu’ils avancent, après avoir testé la nouvelle théorie lors d’essais sur des sujets volontaires.

On croit pour l’instant que la conversion entre les langues nécessite un effort de la part du cerveau comparable à une gymnastique mentale, ce qui permettrait de le garder plus en forme, plus longtemps.

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Parler deux langues serait bénéfique pour le cerveau

Plusieurs sources, dont topsante.com, rapportent une étude qui trace un lien entre la maîtrise de plusieurs langues et les performances cérébrales.

On parle d’au moins une seconde langue, comme parler l’anglais pour un francophone, ou l’inverse. Selon les chercheurs de l’Université du Kentucky, qui parlent de « flexibilité cognitive », le fait d’être bilingue (ou trilingue, pourquoi pas) aurait un réel impact sur le lobe cérébral frontal.

Ces variations et optimisations cognitives seraient observables de façon croissante tout au fil de la vie d’un individu qui parle plus d’une langue, toujours selon l’étude publiée dans la plus récente édition du Journal of Neuroscience.

Pour prouver ces dires, les chercheurs américains ont étudié les cas de 110 personnes (de 60 à 88 ans) à qui l’on faisait passer une série de tests afin d’évaluer cette fameuse « flexibilité cognitive ».

Les chercheurs ont pu constater que les sujets bilingues passaient les tests avec plus de facilité, en plus de dépenser moins d’énergie en le faisant (évalué sur le cortex préfrontal).

Plus étonnant encore, cette étude s’ajoute à une récente publication qui prétendait que le bilinguisme serait excellent dans la prévention de certaines maladies comme l’Alzheimer et la démence.

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Potins

Sugar Sammy donnera un spectacle bilingue le jour de la Saint-Jean

« On a 40 représentations qui sont vendues à guichet fermé et on vient d’ajouter cinq autres dates, dont le jour de la Saint-Jean », a confié Sugar Sammy à BUM interactif.

« Je pense que je vais assez loin dans mon spectacle, je pense que je vais garder ça comme ça », a-t-il dit, questionné sur ses intentions de faire un numéro spécial pour la Saint-Jean.

Rencontré hier (17 avril) à la première mondiale de l’exposition Star Wars Identités, il a révélé être un grand fan de la série de films de George Lucas, et ce, depuis son enfance.

« Mon personnage préféré? Han Solo, parce qu’il ramasse la fille, il a le vaisseau le plus rapide de la galaxie, il a le meilleur buddy avec qui il voyage et il deal de la drogue! C’est tout un homme », s’exclame l’humoriste d’origine indienne.

Sugar Sammy, de son vrai nom Samir Khullar, est en pleine tournée francophone et traversera du côté américain plus tard cette année.

Rappelons que Sugar Sammy s’est d’abord fait connaître sur la scène anglophone internationale, notamment en assurant la première partie de l’humoriste américain Dave Chappelle.

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Les enfants bilingues sont plus efficaces

C’est ce qu’ont tenté de démontrer les psychologues Raluca Barac et Ellen Bialystok, professeures à l’université York de Toronto, dans le cadre d’une étude parue dans le magazine Child Development cette semaine.

Les chercheuses ont demandé à plus de 100 enfants de six ans d’observer des images d’animaux et de couleurs à l’écran d’un ordinateur.

Lorsque les spécialistes ont demandé aux petits d’appuyer sur deux touches en même temps pour associer la couleur à l’animal, il s’est avéré que les enfants qui savaient parler deux langues étaient plus efficaces et rapides.

En fait, il a été démontré que tous les enfants (unilingues ou bilingues) appuyaient à la même vitesse sur la touche demandée, mais lorsqu’ils devaient en faire deux à la fois, les enfants qui maîtrisent deux langues se débrouillaient mieux.

Pour Peggy McCardle, responsable de l’unité de développement de l’enfant à l’Institut américain pour la santé de l’enfant, « les bilingues ont dans l’esprit deux façons de parler, et leur cerveau sait apparemment aller et venir entre deux activités ».

En revanche, lors d’un test de vocabulaire et de grammaire, il a été prouvé que les enfants bilingues excellaient moins que les enfants qui se concentraient sur l’apprentissage d’une seule langue.

Les enfants qui ont participé à l’étude parlaient uniquement l’anglais lorsqu’ils étaient catégorisés d’unilingue, et les bilingues parlaient couramment l’anglais et le chinois, l’anglais et le français ou l’anglais et l’espagnol.

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Le masculin et le féminin vus par les enfants

Une étude récente menée par l’Université de l’Alberta, publiée dans le Journal of Cross-Cultural Psychology, tente de déterminer si parler en français peut influencer la façon dont les enfants attribuent un genre (féminin ou masculin) à des objets.

Les chercheurs ont montré des objets et des images aux enfants participant à l’étude, leur demandant si les objets étaient masculins ou féminins.

Il semblerait que les enfants qui ne parlaient que l’anglais identifiaient la plupart des objets comme étant masculins.

Les anglophones qui échangeaient aussi en français ont été capables de considérer certains objets comme féminins, même s’ils ne les plaçaient pas toujours dans la bonne catégorie. Par exemple, les enfants bilingues, en voyant l’image d’une étoile, répondaient que c’était « une » étoile et non « un » étoile. Cependant, il arrivait fréquemment que l’étoile soit catégorisée de mot masculin.

Pour les spécialistes, l’idée que le genre du pronom dans la plupart des langues soit masculin et que le masculin l’emporte toujours sur le féminin en grammaire expliquerait pourquoi les enfants choisissent plus souvent le masculin que le féminin.

Les adultes qui parlent en français aux enfants semblent également donner une perspective différente sur les objets, en raison de l’utilisation des déterminants masculins et féminins dans la langue, pensent les experts.

Selon ces derniers, il n’y a rien de paniquant dans le fait qu’un enfant mélange autant les genres à l’âge préscolaire. Il s’agit plus d’une question de culture et de connaissances de la langue que de connaissances factuelles et biologiques.

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Le masculin et le féminin vus par les enfants

Une étude récente menée par l’Université de l’Alberta, publiée dans le Journal of Cross-Cultural Psychology, tente de déterminer si parler en français peut influencer la façon dont les enfants attribuent un genre (féminin ou masculin) à des objets.

Les chercheurs ont montré des objets et des images aux enfants participant à l’étude, leur demandant si les objets étaient masculins ou féminins.

Il semblerait que les enfants qui ne parlaient que l’anglais identifiaient la plupart des objets comme étant masculins.

Les anglophones qui échangeaient aussi en français ont été capables de considérer certains objets comme féminins, même s’ils ne les plaçaient pas toujours dans la bonne catégorie. Par exemple, les enfants bilingues, en voyant l’image d’une étoile, répondaient que c’était « une » étoile et non « un » étoile. Cependant, il arrivait fréquemment que l’étoile soit catégorisée de mot masculin.

Pour les spécialistes, l’idée que le genre du pronom dans la plupart des langues soit masculin et que le masculin l’emporte toujours sur le féminin en grammaire expliquerait pourquoi les enfants choisissent plus souvent le masculin que le féminin.

Les adultes qui parlent en français aux enfants semblent également donner une perspective différente sur les objets, en raison de l’utilisation des déterminants masculins et féminins dans la langue, pensent les experts.

Selon ces derniers, il n’y a rien de paniquant dans le fait qu’un enfant mélange autant les genres à l’âge préscolaire. Il s’agit plus d’une question de culture et de connaissances de la langue que de connaissances factuelles et biologiques.

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Les enfants bilingues reconnaissent d’autres langues

Selon Medical News Today, une étude de l’Université de la Colombie-Britannique nous apprend que les enfants qui grandissent dans un environnement bilingue ont une sensibilité perceptive plus avancée.

Par exemple, un enfant vivant au sein d’une famille où l’on parle l’espagnol et le catalan sera capable de reconnaître l’anglais au français, et ce, malgré le fait qu’il ne connaisse absolument pas ces deux langues.

De plus, on a démontré que des bébés ayant grandi dans un milieu bilingue arrivent à reconnaître les différences entre deux autres langues par l’observation des mouvements du visage, même s’ils n’ont jamais entendu parler ces langues auparavant.

Il avait en effet été déjà prouvé, par une étude de l’Université Pompeu Fabra à Barcelone réalisée à l’aide de vidéos, que les enfants n’avaient pas besoin d’entendre les gens parler pour comprendre qu’ils parlaient une langue différente.

Par ailleurs, on avait déjà démontré, dans le cadre d’autres recherches, que si les enfants bilingues pouvaient différencier des langues à quatre ou six mois, ils n’en sont plus capables une fois âgés de huit mois.

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Le bilinguisme : profitable pour les tout-petits

Les apports cognitifs de l’apprentissage de plus d’une langue sont reconnaissables encore plus tôt que l’on ne croyait jusqu’ici.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs des universités canadiennes Concordia et de York ainsi que de l’Université de Provence en France.

La recherche comprenait 63 jeunes enfants, lesquels ont été séparés en deux groupes, selon s’ils étaient bilingues ou unilingues.

 Aux fins d’évaluation, les parents ont dû remplir des questionnaires portant sur le langage des enfants, tandis que ces derniers ont fait cinq tests langagiers et cognitifs.

Il semble que l’exposition à un second langage en bas âge donne un avantage qui influence la capacité de concentration.

En effet, les enfants bilingues de l’étude ont mieux réussi que les autres en faisant des tâches pendant lesquelles ils étaient distraits ou dérangés.

La différence, pouvant être observée dès l’âge de 24 mois, serait due à l’expérience combinée d’écoute et d’usage de deux langues.

Tous les détails de cette recherche sont parus dans le Journal of Experimental Child Psychology.