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Les bébés bilingues connaissent les rudiments de la grammaire dès 7 mois

À partir de 7 mois, les bébés commencent déjà à faire la différence entre deux langues qui possèdent une structure grammaticale différente. Les chercheurs ont démontré qu’ils sont sensibles à des signes subtils, comme l’ordre des mots ou le ton utilisé.

Les chercheurs ont observé des bébés exposés à deux langues pour lesquelles l’ordre de mots est inversé : l’anglais où, comme pour le français, l’article ou le mot de « fonction » vient avant le nom — par exemple, the dog (le chien), with friends (avec des amis), his hat (son chapeau) —, et le japonais, où c’est le contraire et où, de plus, le nom est prononcé avec un son plus aigu que le reste des mots.

« En anglais, les mots the et with sont beaucoup plus fréquents que tous les autres, alors les bébés les apprennent par répétition. Mais les bébés exposés à un environnement bilingue ont besoin de stratégies plus sophistiquées que cela, alors ils les développent », a affirmé l’auteure de l’étude, la psychologue Janet Werker, selon Science Daily.

« Les bébés bilingues sont très bien équipés pour garder leurs deux langues séparées, et ils le feront d’une manière remarquable. »

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Apprendre une deuxième langue à ses enfants

Quel est le meilleur moyen d’apprendre une langue seconde à ses enfants si on ne la parle pas à la maison? Les exposer à cette langue le plus possible, toujours sous forme de jeu et de façon légère. Par exemple, on peut leur faire écouter de la musique dans une langue étrangère : même s’ils ne comprennent pas les mots, ils pourront sans doute accrocher à la mélodie et aux rythmes. De plus, la musique pour enfants utilise souvent un vocabulaire simple et répétitif, alors ils retiendront sûrement quelques mots et « se feront l’oreille ». On peut aussi se servir de livres ainsi que d’applications pour ordinateur et téléphones mobiles.

Quel est l’âge idéal pour commencer? On peut commencer dès la naissance! En règle générale, plus les enfants apprennent tôt, plus c’est facile pour eux. Avant l’âge de 7 ans, le cerveau des enfants assimile les langues plus directement. Mais il n’est jamais trop tard.

Quel est l’avantage du bilinguisme pour nos enfants? Ils sont multiples : les enfants bilingues ont une plus grande habileté à analyser les situations et à interagir avec les autres. Les enfants bilingues apprennent aussi à s’adapter à des environnements et des contextes différents, ce qui augmente leur estime d’eux-mêmes.

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Six langues que vos enfants devraient apprendre

 

En fait, l’apprentissage d’une langue seconde se fait plus facilement pour les enfants. C’est pourquoi plusieurs experts croient qu’il serait mieux d’enseigner une seconde langue à votre enfant avant qu’il n’atteigne l’âge de douze ans.

De plus, le fait d’apprendre une autre langue améliore les capacités cognitives, la mémoire et la capacité d’écoute des jeunes.

Comme première langue à apprendre, le site suggère l’espagnol puisqu’elle est l’une des plus parlées en Amérique et comporte les mêmes lettres que les nôtres.

Ensuite, on propose aux jeunes anglophones d’apprendre le français. Le français est populaire puisqu’il est la quatrième langue la plus parlée aux États-Unis.

Puis, on propose le mandarin chinois à cause de la croissance économique et du pouvoir politique croissant de la Chine.

Les dernières de ces langues populaires à apprendre sont l’italien, l’allemand et le langage des signes.

Rappelons qu’apprendre une langue seconde en bas âge améliorerait les habiletés mentales. Le bilinguisme chez le jeune enfant améliore ce que nous connaissons comme l’attention d’exécution.

Crédit photo: FreeDigitalPhotos.net

 

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Le bilinguisme aide à freiner la maladie d’Alzheimer

Une étude canadienne dévoilée dans le magazine Cortex avance que le bilinguisme permettrait de conserver les fonctions cognitives plus longtemps, et ce, même si l’on est atteint de la maladie d’Alzheimer.
 
Les chercheurs ont analysé l’imagerie médicale du cerveau de 40 personnes ayant reçu un diagnostic précoce de la maladie d’Alzheimer.
 
50 % des personnes étaient bilingues, et les autres ne maîtrisaient qu’une seule langue.
Le bilinguisme procurerait des effets qu’aucun médicament ne peut donner.
 
Même si les deux groupes de personnes ont obtenu des résultats similaires concernant leurs performances cognitives, les personnes bilingues avaient pourtant deux fois moins de dommages au cerveau que les unilingues. Cela laisse croire que le fait de parler plus d’une langue freine, en partie, les effets de la maladie.
Les personnes bilingues utilisent constamment leur cerveau, le gardant ainsi actif. C’est aussi pour cette raison que les médecins recommandent souvent de faire des mots croisés et des sudokus, afin de garder le cerveau toujours en activité, pour réduire les effets de l’Alzheimer et d’autres dégénérescences cognitives.
 
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Apprendre une langue grâce à bébé

On lit dans le Journal of Phonetics les résultats d’une étude surprenante quant au bilinguisme chez les tout-petits. C’est que l’on croit que les bébés auraient la clé de l’apprentissage d’une deuxième langue.

Menée par des chercheurs de l’Institute for Learning & Brain de l’Université de Washington, cette recherche est la première à mesurer l’activité cérébrale durant l’enfance en fonction de l’exposition à une langue et aux aptitudes langagières.

Nous savons que les bébés, même les enfants, ont plus de facilité à apprendre une nouvelle langue. Pourtant, cette grande capacité semble s’estomper dès que le bébé dépasse un an.

On a toutefois remarqué, dans le cadre de cette nouvelle étude, que le vocabulaire des bébés bilingues demeure extensible malgré leur croissance. De plus, le bilinguisme améliore leurs capacités langagières durant la petite enfance.

En analysant ainsi les mécanismes cérébraux qui font en sorte que l’enfant peut progresser dans l’apprentissage d’une deuxième langue, on espère notamment trouver comment améliorer celle d’un adulte.</p

 

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Un nouvel appui pour le bilinguisme

Une nouvelle étude appuie l’idée qu’un enfant a tout à gagner d’apprendre plus d’une langue. Selon une étude menée au Tyndale University College, le bilinguisme chez le jeune enfant améliore ce que nous connaissons comme l’attention d’exécution.

Ce type d’attention consiste à aider la personne à mieux se positionner quant à l’information à intégrer. Autrement dit, le bilinguisme aiderait les tout-petits à différencier ce à quoi ils doivent accorder leur attention, quoi ignorer, puis quelle action poser.

L’attention exécutive des enfants peut donc croitre à la fois dans le cadre du développement cognitif et dans l’acquisition d’un autre langage.

Les chercheurs ont suivi 56 enfants de 4 enfants dont les parents étaient diplômés et faisaient partie de quartiers de classe moyenne. Leur étude vient de paraître dans Bilingualism: Language and Cognition.

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Un nouvel appui pour le bilinguisme

Une nouvelle étude appuie l’idée qu’un enfant a tout à gagner d’apprendre plus d’une langue. Selon une étude menée au Tyndale University College, le bilinguisme chez le jeune enfant améliore ce que nous connaissons comme l’attention d’exécution.

Ce type d’attention consiste à aider la personne à mieux se positionner quant à l’information à intégrer. Autrement dit, le bilinguisme aiderait les tout-petits à différencier ce à quoi ils doivent accorder leur attention, quoi ignorer, puis quelle action poser.

L’attention exécutive des enfants peut donc croitre à la fois dans le cadre du développement cognitif et dans l’acquisition d’un autre langage.

Les chercheurs ont suivi 56 enfants de 4 enfants dont les parents étaient diplômés et faisaient partie de quartiers de classe moyenne. Leur étude vient de paraître dans Bilingualism: Language and Cognition.

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Le bilinguisme retarderait la maladie d’Alzheimer

Une récente étude démontre qu’être bilingue retarde les symptômes de la maladie d’Alzheimer.
 
Même si la nouvelle recherche s’est effectuée auprès de gens qui étaient bilingues depuis plusieurs années, les chercheurs croient que ceux qui apprennent une deuxième langue plus tard dans leur vie peuvent également en tirer des bénéfices pour leur santé.
 
450 personnes avec l’Alzheimer ont participé à l’étude. Toutes présentaient les mêmes symptômes. La moitié du groupe était bilingue et parlait deux langues régulièrement. Chez ces derniers, les symptômes de la maladie sont apparus de quatre à cinq ans plus tard que chez ceux qui étaient unilingues.
 
De plus, les résultats de cette étude, réalisée par une équipe de l’Université York à Toronto, démontrent que même si chaque effort est important, plus une personne devient bonne dans la maîtrise d’une deuxième langue, plus les bénéfices seront grands.
 
Le bilinguisme ne prévient pas l’apparition de la maladie, mais il retarde bel et bien l’apparition des symptômes qui y sont reliés.
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Le bilinguisme : profitable pour les tout-petits

Les apports cognitifs de l’apprentissage de plus d’une langue sont reconnaissables encore plus tôt que l’on ne croyait jusqu’ici.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs des universités canadiennes Concordia et de York ainsi que de l’Université de Provence en France.

La recherche comprenait 63 jeunes enfants, lesquels ont été séparés en deux groupes, selon s’ils étaient bilingues ou unilingues.

 Aux fins d’évaluation, les parents ont dû remplir des questionnaires portant sur le langage des enfants, tandis que ces derniers ont fait cinq tests langagiers et cognitifs.

Il semble que l’exposition à un second langage en bas âge donne un avantage qui influence la capacité de concentration.

En effet, les enfants bilingues de l’étude ont mieux réussi que les autres en faisant des tâches pendant lesquelles ils étaient distraits ou dérangés.

La différence, pouvant être observée dès l’âge de 24 mois, serait due à l’expérience combinée d’écoute et d’usage de deux langues.

Tous les détails de cette recherche sont parus dans le Journal of Experimental Child Psychology.

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Parler deux langues ou plus peut retarder la maladie d’Alzheimer

La revue Neurology publie les résultats d’une étude, de l’équipe de l’Institut Rotman du centre de recherches gériatriques Baycrest à Toronto, qui dit que le bilinguisme retarde la maladie d’Alzheimer.
 
Après avoir analysé 200 dossiers médicaux de personnes âgées ayant reçu un diagnostic de la maladie, on constate que celles qui parlaient souvent deux ou plusieurs langues ont eu un délai allant jusqu’à cinq ans dans l’apparition des premiers symptômes de l’Alzheimer.
 
La maladie d’Alzheimer se caractérise notamment par des pertes de mémoire, de la confusion, des difficultés à résoudre des problèmes et à prévoir les événements.
 
« Nous ne disons pas que le bilinguisme peut prévenir la maladie d’Alzheimer ou d’autres désordres cérébraux, mais il peut contribuer à créer des réserves cognitives dans le cerveau qui semblent retarder l’apparition de symptômes d’Alzheimer pendant un bon bout de temps », explique le Dr Fergus Craik.