La société québécoise Bio-K+ International a dévoilé une recherche menée par l’INRS et l’Institut Armand-Frappier qui démontre l’efficacité de certains de ses produits afin de prévenir la croissance de certaines bactéries pathogènes, dont la Listeria monocytogenes.
Après une incubation à plusieurs bactéries, le Bio-K+ CL1285, qui contient plus de 50 milliards de bonnes bactéries, diminue de 78,4 % le développement des mauvaises bactéries.
« Il va de soi que cette étude constitue un indicateur significatif de la capacité du Bio-K+ CL1285(MD) d’agir sur des bactéries pathogènes dans un contexte d’intoxication alimentaire », a souligné Claude Chevalier, président et chef de la direction de la société.
« Même si d’autres études plus poussées sont requises pour connaître à quel point le produit est efficace dans le corps humain, il nous semble important que les gens soient dès à présent au fait de ces résultats obtenus in vitro, car ils démontrent que le produit réduit la croissance de la bactérie pathogène, Listeria monocytogenes », termine M. Chevalier.