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Un Canadien retrouve enfin sa mère biologique après 46 ans

Un homme est parvenu à retrouver sa mère biologique, 46 ans après sa naissance, rapporte TVA Nouvelles.

Pendant plusieurs années, Jean-Luc Martin a attendu d’être vraiment prêt avant d’entamer des recherches afin de retrouver sa mère biologique.

L’homme de 46 ans a expliqué à TVA Nouvelles: « Voilà 20 ans, je n’étais pas prêt à faire ça. J’y pensais, mais je n’étais pas là dans ma vie encore. Beaucoup d’incertitudes. Ils veulent-tu savoir quelque chose de moi? »

Les recherches de Jean-Luc Martin ont débuté là où il est né, soit à l’île du Prince-Édouard.

M. Martin a donc contacté le service d’adoption de la province, puis après avoir fait des tests d’ADN, il a reçu l’aide de l’organisme Valoris, dans l’Est-Ontarien.

En septembre dernier, M. Martin allait faire une rencontre très chargée en émotions. En effet, voilà qu’il allait faire la connaissance de sa demi-soeur pour la toute première fois: « J’étais assis sur le perron en avant. Elle arrive, elle se met à courir vers moi… Je ne sais pas comment décrire ça. C’est un feeling incroyable. C’était vraiment… Vraiment spécial. »

Un mois après cette première rencontre, M. Martin et sa demi-soeur ont ensuite pris la route jusqu’à l’Île du Prince-Édouard afin de réserver une surprise de taille à leur mère biologique.

Darlene Matthews, la mère biologique de Jean-Luc, est visiblement très reconnaissante de cette expérience: « C’est génial. C’est juste génial. Mon cœur est rempli maintenant, je peux vous dire ça! Oui, c’est génial, je n’ai jamais cru que ce jour viendrait. Je ne croyais pas que le jour où je le verrais encore. »

M. Martin ne cache pas que ces retrouvailles ont été particulièrement émouvantes, mais il n’hésite surtout pas à recommander à quiconque qui songe à suivre sa démarche de le faire.

Enfin, M. Martin a conclu en confiant: « Si quelqu’un a la chance de le faire, puis de vivre ce que j’ai vécu, de le faire. Ah oui! Puis, ce n’est pas fini, l’histoire elle continue. »

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Nightlife.ca

Cette entreprise québécoise a créé une boîte de chocolats véganes à l’érable, sans sucre et sans gluten!

Kétolat est une entreprise québécoise fondée en 2019 par un couple qui voulait nous offrir des produits de chocolat sain, pour qu’on puisse en manger sans se sentir coupable. À ce jour, Véronick et Danny proposent des barres de chocolat, des fondues et des barres glacées sur leur boutique en ligne. Le tout est végane, sans sucre, sans gluten et fait au Québec, on imagine donc que la plupart d’entre vous serez heureux de découvrir Kétolat!

L’idée de l’entreprise est venue de Véronick qui a reçu un diagnostic de Lupus en 2018. Elle a donc dû changer ses habitudes alimentaires en diminuant sa consommation de sucre et en augmentant ses bons lipides. Se sentant beaucoup mieux, elle a voulu nous transmettre un moyen de manger du chocolat sans culpabilité. Tous les ingrédients utilisés sont donc naturels et biologiques tout en ne contenant que très peu de glucides (est-ce que ça veut dire qu’on peut manger du chocolat à toutes les heures de la journée maintenant???!!!).

Kétolat vient tout juste de lancer une boîte de chocolats à l’érable idéale pour célébrer le temps des sucres à Pâques! « La boite Plaisirs d’érable vous transportera dans un endroit où bien-être et gâterie sucrée se rencontrent. Cette boîte en édition limitée contient 120g de petit chocolat fait avec la plus grande délicatesse qu’une main peut concevoir et elle est inspirée des produits québécois de chez nous. Vous y retrouverez 6 chocolats fondants à l’érable ainsi que 6 chocolats au mélange parfait d’érable et pacane. »

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Nightlife.ca

SAGA Grand Gin: le premier gin québécois certifié biologique!

Microdistillerie artisanale située à Saint-Jacques, dans Lanaudière, la Distillerie Grand Dérangement est non seulement la première microdistillerie de la région mais aussi la première distillerie certifiée biologique de toute la province de Québec.

Lançant cette année son premier produit, le SAGA Grand Gin, qui est d’ailleurs le premier gin biologique québécois, Grand Dérangement prévoit faire son entrée en marcher dans les semaines (voire, jours) à venir, tandis que leurs premières cargaisons de gin étaient livrées le 20 octobre dernier.

PREMIER LOT DE NOTRE GIN EN ROUTE VERS LA SAQ! Patience pour 2-3 semaines encore avant de le voir apparaître en ligne et…

Posted by Distillerie Grand Dérangement on Tuesday, October 20, 2020

« Élaboré et distillé avec conviction à partir de matières premières locales, SAGA Grand Gin propose un savant assemblage d’aromates et d’épices provenant de terroirs incomparables.

Sa certification biologique garantit les meilleures pratiques environnementales et sociales à toutes les étapes de sa fabrication, ainsi qu’une traçabilité complète des ingrédients, du champ jusqu’à votre verre.

Vous découvrirez un gin complexe et équilibré, tout en fraîcheur et persistant en bouche. Il propose des notes de genièvre, de poivre (cubèbe) et de cardamome verte, avec des pointes d’agrumes et une finale vanillée », peut-on lire sur la fiche virtuelle de présentation du nouveau spiritueux.

Selon Grand Dérangement, les meilleures façons de déguster leur gin seraient sec ou sur glace, ou bien encore en cocktail ou avec une eau tonique (québécoise, bien sûr!) et un peu de lime.

ÇA S’EN VIENT BIENTÔT… TRÈS BIENTÔT!Il paraît que les meilleures choses ont besoin de patience… Eh bien nous avons…

Posted by Distillerie Grand Dérangement on Friday, October 2, 2020

Malgré que les bouteilles de SAGA aient été acheminées il y a 3 semaines, aucune date pour la mise en vente officielle n’a été annoncée — on suppose qu’il s’agit d’une décision qui sera prise par la SAQ, lorsque les succursales les mettront sur leurs étagères. Il s’agit toutefois d’une question de peu de temps avant que vous puissiez vous procurer votre bouteille.

Crédit:tirée du site de Grand Dérangement.ca

Les bouteilles de 750mL seront en vente au coût de 49,75$, et auront un taux d’alcool de 43% alc./vol.

Pour en savoir plus sur le gin ou la distillerie, rendez-vous sur le site Web de Grand Dérangement.

Bonne buvette!

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Stimuler l’horloge biologique d’une femme à l’aide d’une horloge réelle

Une recherche inusitée effectuée par un ex-professeur et un étudiant de psychologie a conclu à l’influence directe du bruit d’une horloge sur le souhait de procréer chez une femme.

L’étude de Jon K. Maner et Justin Moss a été menée auprès de jeunes hommes et femmes hétérosexuels de 18 à 22 ans.

En formant 2 groupes, ils s’informaient auprès d’eux du moment où ils voulaient fonder une famille. Par la suite, ils soumettaient ces mêmes sujets à un questionnaire sur le partenaire idéal, afin de mesurer si l’envie d’avoir des enfants plus tôt modifiait les critères de sélection.

Il s’est avéré que chez le groupe soumis aux bruits de l’horloge, les femmes se sentaient plus empressées d’avoir des enfants. Or, les hommes n’étaient nullement affectés par le tic-tac continu.

L’étudiant Justin Moss a par la suite constaté que le bruit de l’horloge modifiait aussi les critères de sélection d’un partenaire pour la femme.

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La lumière bleue donne un coup de pouce à l’horloge biologique

Un manque de lumière naturelle en journée, comme durant l’hiver ou dans un endroit où la luminosité est faible à modérée, peut provoquer un débalancement de l’horloge biologique (rythme circadien) qui sert à équilibrer les fonctions vitales de l’homme sur une période de 24 heures, explique Top Santé.

Si l’horloge biologique ne fonctionne plus bien ou est déréglée, des problèmes de fonctions cognitives, de sommeil, de vigilance, de mémoire et de fonctions cardiovasculaires peuvent survenir.

Pour éviter ces troubles de santé, des chercheurs de l’Institut de la santé et de la recherche médicale (Inserm) ont mis au point un système de lumière bleue en mesure de fournir suffisamment de lumière et à une bonne force.

L’effet de différentes lumières artificielles dans des conditions réelles, au sein de la station scientifique polaire internationale Concordia, a été analysé par des chercheurs durant neuf semaines lors d’un hiver polaire. Il s’agissait d’une première fois où les bienfaits de la lumière bleue, déjà prouvée pour son efficacité par le passé, se retrouvaient dans une situation réaliste.

Il est ressorti de cette étude que les semaines où les gens qui étaient en contact d’une lumière blanche enrichie en longueurs d’onde bleues, leur temps de sommeil était augmenté, ils avaient une meilleure réactivité et une plus grande motivation.

Un effet sur le système cardiovasculaire n’a toutefois pas été noté par l’Inserm, qui voit en la lumière bleue un excellent moyen de rétablir la bonne synchronisation « dans des situations extrêmes où la lumière solaire n’est pas disponible pendant de longues périodes ».

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Des chercheurs s’accrochent au virus de la variole

S’il est étonnant de prime abord d’apprendre que des chercheurs refusent de se défaire du virus de la variole et militent pour la survie des échantillons restants, la démarche est toutefois empreinte de logique.

C’est par l’entremise d’une lettre publiée dans le magazine Plos Pathogens qu’un comité international de chercheurs a exprimé ses craintes face à la volonté de plusieurs décideurs de détruire définitivement les derniers échantillons de variole, une maladie éradiquée depuis 1980.

Le raisonnement de ce regroupement de spécialistes est simple : pour éviter un retour de la maladie et assurer la possibilité d’un nouveau traitement, les échantillons restants doivent survivre. Les craintes des chercheurs se situent notamment en ce qui concerne une possible attaque biologique intentionnelle, ou encore à la suite du réchauffement climatique, qui pourrait « dégeler » certaines formes de ce virus virulent.

On attend donc maintenant le verdict concernant le sort de ces dangereux mais précieux échantillons, qui devrait tomber au cours des prochains mois, rapporte Top Santé.

 

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Le changement d’heure augmente les statistiques d’AVC

Le changement d’heure estival apprécié de tant de gens pourrait-il avoir des conséquences néfastes sur la santé?

C’est ce qui ressort d’une étude américaine sur le sujet, qui estime que le changement d’heure augmente les statistiques d’accident cardiovasculaire de près de 25 %, rapporte Top Santé.

En fait, malgré ses allures de bénéfice, le passage à l’heure d’été aurait une incidence aussi forte, sinon plus, sur le corps que le décalage horaire. Affectant le rythme circadien de l’organisme, plus de gens seraient victimes de crises cardiaques le lundi suivant le changement d’heure.

C’est la conclusion à laquelle arrive le Dr Amneet Sandhu, de l’Université du Colorado, qui publie l’étude.

Celui-ci suggère notamment d’ajuster la période de coucher et de réveil en conséquence, afin de contrer les impacts du changement d’heure sur notre horloge biologique. Des siestes de dix ou quinze minutes durant la journée seraient également bénéfiques.

Les observations et conclusions de l’étude du Dr Sandhu vont dans le même sens que deux études précédemment proposées par l’INSERM.

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Nouvelle piste de solution pour traiter l’insomnie

Top Santé rapporte une découverte prometteuse de la part de chercheurs en matière de traitement de l’insomnie et des troubles liés au rythme circadien, aussi appelé l’horloge biologique.

C’est justement l’horloge biologique qui serait en cause dans plusieurs cas d’insomnie chronique, et des chercheurs britanniques de l’University College London, en compagnie de collègues de l’Université Queen Mary, semblent avoir déniché une piste de solution qui pourrait contribuer à enrayer le phénomène.

Les spécialistes ont utilisé un principe de traitement par vibrations sur des mouches, afin de manipuler le rythme circadien de ces sujets hors du commun.

« L’horloge biologique est réglée, chez la mouche, non seulement par le cycle quotidien de la lumière et de la température, mais aussi par des stimuli mécaniques qui excitent des récepteurs sensoriels dans le corps », explique d’abord le Dr Joerg Albert, directeur de la recherche et auteur de l’étude.

« Nos expérimentations offrent une nouvelle piste pour régler l’horloge biologique qui peut être utile pour le traitement de certaines pathologies liées à un dérèglement du rythme circadien comme l’insomnie, la dépression ou les troubles bipolaires », résume ensuite le chercheur et collègue du Dr Albert pour cette étude, Ralf Stanewsky.

Publiées dans le magazine Science, les conclusions de l’étude parlent d’un véritable impact sur le rythme circadien de la mouche à la suite d’une stimulation par vibrations de douze heures, ce qui pourrait paver la voie à un traitement expérimental du même genre chez l’homme.

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Une étude révèle un variant génétique qui « prédit » l’heure… de la mort

Une nouvelle saisissante fait le tour des médias et du Web depuis quelques heures, alors que le Beth Israël Deaconess Medical Center publie une étude concernant un variant génétique qui pourrait prédire l’heure de votre mort, ou à tout le moins la période de la journée.

Aussi terrifiante qu’invraisemblable, cette nouvelle est transmise par plusieurs sources, dont Santelog.com. Le site rapporte également que le variant permet de savoir si vous êtes une « personne de nuit », un noctambule ou encore un lève-tôt né.

Si cette dernière information est plus évidente à déduire par nous-mêmes, il en va autrement du moment de notre mort! Or, il semble pourtant logique que la fameuse « horloge biologique » qui régit tant de choses au cours de notre vie puisse aussi déterminer le moment du dernier souffle.

L’horloge circadienne (terme véritable de l’horloge biologique) détermine les moments de la journée où vous vous sentez plus en forme, et ceux où vous êtes plus somnolent.

Le Dr Andrew Lim, auteur principal de l’étude, déclare : « De précédents travaux chez les jumeaux ont suggéré que le retard ou la précocité de l’horloge peut être héréditaire. Des expériences sur l’animal ont également suggéré l’influence de gènes spécifiques ».

En clair, les chercheurs croient qu’une telle découverte pourrait influencer le choix de certains traitements chez des patients en phase terminale, entre autres.