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P-A Méthot s’ouvre sur son trouble bipolaire

En entrevue avec le 7 Jours, P-A Méthot s’est ouvert sur le sujet de sa bipolarité et a décrit une partie du mal-être qu’il vivait.

Commençant d’abord par expliquer que ce sont ses phases high qui étaient plus difficiles à vivre pour ses proches « parce que durant [ses] phases plus sombres, [il] se cachai[t] », il continue en racontant le genre de blessures qu’il s’infligeait dans ses périodes de down.

« Je pouvais m’enfermer chez moi pendant une semaine sans parler à personne, confie P-A. Je me mutilais, j’avais des idées noires… Durant ma pire période, je passais mes jointures sur les murs en stuc du corridor de mon appartement jusqu’à ce que j’aie les mains en sang. Je me suis aussi déjà cassé le nez tout seul, à coups de poing. Dans ma tête, c’était logique de faire ça, le fait de me faire mal en dehors me donnait l’impression d’avoir moins mal en dedans. Je me disais que si je me faisais encore plus mal, peut-être que ça allait s’estomper. C’était irrationnel. »

Heureusement, l’humoriste a depuis reçu un diagnostic de bipolarité ainsi que de trouble déficitaire de l’attention (TDA), ce qui lui permet d’avoir les soins appropriés et d’être en santé.

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Rene Russo s’ajoute aux célébrités bipolaires

L’actrice de 60 ans Rene Russo est surtout connue pour ses rôles dans Lethal Weapon 3, Get Shorty et Ransom, rappelle Film-news. Pour la première fois, la star s’est ouverte en ondes pour parler de son trouble de l’humeur.

Présente à l’émission The Queen Latifah Show pour promouvoir son dernier film, Nightcrawler, Russo était accompagnée de sa covedette, Jake Gyllenhaal.

« Je me suis littéralement écroulée, j’ai frappé un mur et je ne voulais plus sortir du lit. J’ai cru que c’était la dépression, mais lorsqu’on prend des antidépresseurs, c’est pire », a confessé la star.

« Je n’ai jamais partagé ça. J’ai des amis qui ne veulent pas de médication et qui souffrent », a mentionné Rene Russo, en indiquant que pour sa part, tout va mieux depuis que les médecins ont trouvé les bons médicaments.

De nombreux artistes et autres célébrités souffrent ou ont souffert de bipolarité, ce qui ne les a pas empêchés de mener une grande carrière.

Parmi les acteurs et chanteurs, on retrouve entre autres Jim Carrey, Marlon Brando, Ben Stiller et Cary Grant, ainsi que Jimi Hendrix, Alanis Morissette et Sheryl Crow.

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Création d’une application pour venir en aide aux personnes bipolaires

Une nouvelle application pourrait être bientôt lancée afin de venir en aide aux personnes atteintes de troubles bipolaires, rapporte The National Library of Medicine, un problème qui touche des millions de gens dans le monde.

L’application pour téléphone intelligent serait en phase de test et semble prometteuse. L’idée est de permettre aux personnes bipolaires de recevoir un avertissement en cas de changement d’humeur soudain, grâce à un système de reconnaissance vocale proposée par l’application.

En analysant la voix du propriétaire de l’appareil et de l’application, cette dernière envoie un message de prévention en cas de changement d’humeur. On souhaite ainsi, du côté de l’équipe de recherche du Michigan derrière le projet, permettre une longueur d’avance aux patients bipolaires sur le trouble, et réagir en conséquence.

Les chercheurs américains espèrent également pouvoir contribuer à la prévention de plusieurs suicides, un objectif plus que louable.

« Ces résultats de l’étude pilote nous donnent une preuve préliminaire qu’il est possible de détecter les états de l’humeur au cours des appels réguliers, sans violer la confidentialité de ces appels », explique le coauteur de l’étude proposée, Zahi Karam.

Si le projet s’avère un succès, d’autres applications pour divers troubles comme la schizophrénie sont alors envisageables, croient aussi les chercheurs de l’Université du Michigan.

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Amanda Bynes affirme qu’elle n’est pas schizophrène

Bien que jusqu’à présent, l’ancienne actrice Amanda Bynes n’ait émis aucun commentaire, elle a demandé à son avocat, Tamar Arminak, de redresser la situation.

« À titre informatif, Amanda n’est pas schizophrène et n’a jamais reçu de diagnostic à cet effet. »

Rappelons qu’en sortant de l’établissement dans lequel elle a reçu des soins et un traitement de désintoxication pendant 6 mois, Bynes a été livrée à la garde légale de sa mère. Mais depuis peu, elle a repris les rênes et prend ses propres décisions.

« Elle ne prend aucune médication en ce moment », a ajouté Arminak. « Elle fait tous les efforts pour vivre une vie aussi saine que possible. » Elle serait également fière d’avoir cessé la consommation de marijuana depuis 9 mois.

Rien n’a été évoqué quant à la possible bipolarité de l’ancienne star de Disney. Mais selon film-news.com, Amanda Bynes continue à assister régulièrement à des séances de thérapie pour éviter de retomber dans ses comportements inadéquats.

Entre autres, elle avait l’habitude de partir en guerre sans raison contre les célébrités sur les médias sociaux.

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Amanda Bynes affirme qu’elle n’est pas schizophrène

Bien que jusqu’à présent, l’ancienne actrice Amanda Bynes n’ait émis aucun commentaire, elle a demandé à son avocat, Tamar Arminak, de redresser la situation.

« À titre informatif, Amanda n’est pas schizophrène et n’a jamais reçu de diagnostic à cet effet. »

Rappelons qu’en sortant de l’établissement dans lequel elle a reçu des soins et un traitement de désintoxication pendant 6 mois, Bynes a été livrée à la garde légale de sa mère. Mais depuis peu, elle a repris les rênes et prend ses propres décisions.

« Elle ne prend aucune médication en ce moment », a ajouté Arminak. « Elle fait tous les efforts pour vivre une vie aussi saine que possible. » Elle serait également fière d’avoir cessé la consommation de marijuana depuis 9 mois.

Rien n’a été évoqué quant à la possible bipolarité de l’ancienne star de Disney. Mais selon film-news.com, Amanda Bynes continue à assister régulièrement à des séances de thérapie pour éviter de retomber dans ses comportements inadéquats.

Entre autres, elle avait l’habitude de partir en guerre sans raison contre les célébrités sur les médias sociaux.

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Reconnaître les signes d’un trouble bipolaire

Top Santé propose un dossier sur les troubles bipolaires et rappelle l’importance de reconnaître les signes de ce déséquilibre psychologique, et de quérir l’aide nécessaire afin de retrouver une vie normale.

Car la bipolarité n’a rien à voir avec de bénignes sautes d’humeur occasionnelles, et peut s’avérer fatale pour les relations interpersonnelles et professionnelles.

Si le problème réside principalement dans l’acceptation du diagnostic, la suite peut s’avérer grandement moins complexe grâce aux options de traitements désormais disponibles.

Ainsi, l’étape la plus importante et la plus difficile demeure la reconnaissance de ce trouble, qui toucherait 2 % de la population en général.

Plusieurs signes ou symptômes peuvent indiquer un trouble bipolaire. Notamment, une consommation excessive d’alcool, des crises soudaines d’agressivité ou des sautes d’humeur évidentes, une sensibilité accrue ou encore des troubles du sommeil.

Les personnes bipolaires vont souvent se mettre dans le pétrin face à la justice ou avec des pairs, ou encore faire preuve de témérité dans leurs décisions ou encore sur la route. Malgré une sensibilité parfois extrême, ces personnes auront toutefois du mal à extérioriser leurs émotions, apprend-on.

Si vous croyez souffrir d’un trouble bipolaire ou si vous croyez reconnaître le phénomène chez un proche, parlez-en rapidement avec votre médecin praticien ou avec un psychothérapeute.

Plusieurs options de traitement efficaces sont offertes afin de réguler les cycles de bipolarité et permettre aux patients de retrouver une vie normale. Encore une fois, le plus grand défi est de reconnaître la situation et de ne pas se laisser freiner par le déni ou la honte, afin de permettre un traitement le plus rapidement et efficacement possible.

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Reconnaître les signes d’un trouble bipolaire

Top Santé propose un dossier sur les troubles bipolaires et rappelle l’importance de reconnaître les signes de ce déséquilibre psychologique, et de quérir l’aide nécessaire afin de retrouver une vie normale.

Car la bipolarité n’a rien à voir avec de bénignes sautes d’humeur occasionnelles, et peut s’avérer fatale pour les relations interpersonnelles et professionnelles.

Si le problème réside principalement dans l’acceptation du diagnostic, la suite peut s’avérer grandement moins complexe grâce aux options de traitements désormais disponibles.

Ainsi, l’étape la plus importante et la plus difficile demeure la reconnaissance de ce trouble, qui toucherait 2 % de la population en général.

Plusieurs signes ou symptômes peuvent indiquer un trouble bipolaire. Notamment, une consommation excessive d’alcool, des crises soudaines d’agressivité ou des sautes d’humeur évidentes, une sensibilité accrue ou encore des troubles du sommeil.

Les personnes bipolaires vont souvent se mettre dans le pétrin face à la justice ou avec des pairs, ou encore faire preuve de témérité dans leurs décisions ou encore sur la route. Malgré une sensibilité parfois extrême, ces personnes auront toutefois du mal à extérioriser leurs émotions, apprend-on.

Si vous croyez souffrir d’un trouble bipolaire ou si vous croyez reconnaître le phénomène chez un proche, parlez-en rapidement avec votre médecin praticien ou avec un psychothérapeute.

Plusieurs options de traitement efficaces sont offertes afin de réguler les cycles de bipolarité et permettre aux patients de retrouver une vie normale. Encore une fois, le plus grand défi est de reconnaître la situation et de ne pas se laisser freiner par le déni ou la honte, afin de permettre un traitement le plus rapidement et efficacement possible.

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Nouvelle piste de solution pour traiter l’insomnie

Top Santé rapporte une découverte prometteuse de la part de chercheurs en matière de traitement de l’insomnie et des troubles liés au rythme circadien, aussi appelé l’horloge biologique.

C’est justement l’horloge biologique qui serait en cause dans plusieurs cas d’insomnie chronique, et des chercheurs britanniques de l’University College London, en compagnie de collègues de l’Université Queen Mary, semblent avoir déniché une piste de solution qui pourrait contribuer à enrayer le phénomène.

Les spécialistes ont utilisé un principe de traitement par vibrations sur des mouches, afin de manipuler le rythme circadien de ces sujets hors du commun.

« L’horloge biologique est réglée, chez la mouche, non seulement par le cycle quotidien de la lumière et de la température, mais aussi par des stimuli mécaniques qui excitent des récepteurs sensoriels dans le corps », explique d’abord le Dr Joerg Albert, directeur de la recherche et auteur de l’étude.

« Nos expérimentations offrent une nouvelle piste pour régler l’horloge biologique qui peut être utile pour le traitement de certaines pathologies liées à un dérèglement du rythme circadien comme l’insomnie, la dépression ou les troubles bipolaires », résume ensuite le chercheur et collègue du Dr Albert pour cette étude, Ralf Stanewsky.

Publiées dans le magazine Science, les conclusions de l’étude parlent d’un véritable impact sur le rythme circadien de la mouche à la suite d’une stimulation par vibrations de douze heures, ce qui pourrait paver la voie à un traitement expérimental du même genre chez l’homme.

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Catherine Zeta-Jones de retour à la maison

Le mari de l’actrice, Michael Douglas, s’est confié au magazine People en disant : « Elle revient à la maison demain (21 mai). Elle travaille très fort à retrouver son équilibre. Je suis très fier d’elle ».

Il explique aussi que bien que sa condition ne présentait pas de changement, elle est allée suivre un traitement à titre préventif. Elle aurait ainsi obtenu de bons résultats, et c’est pourquoi elle retourne chez elle.

D’ailleurs, une déclaration officielle du porte-parole de l’actrice de Chicago avait publié une déclaration le mois dernier disant : « Catherine s’est elle-même rendue dans une institution de santé mentale. Elle a précédemment déclaré qu’elle était déterminée à recevoir des traitements périodiques afin de gérer sa santé de la meilleure façon qui soit ».

Rappelons que c’est en 2011 que Jones, 43 ans, avait cherché de l’aide pour la première fois concernant ses troubles de bipolarité, en se présentant dans un centre de santé mentale au Connecticut. À ce moment, Douglas, 68 ans, combattait un cancer de la gorge.

Celle que l’on a pu voir récemment dans Broken City a tout le soutien et l’admiration de son mari. « Ça prend énormément de courage pour demander de l’aide, et je suis très fier de Catherine, qui fait ces démarches positives concernant sa situation. Tout va pour le mieux pour nous deux », avait dit l’acteur.

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Des tests au cerveau permettent d’identifier les risques de troubles bipolaires

Une nouvelle étude prétend qu’il est possible de détecter les personnes susceptibles de développer des troubles bipolaires à un très jeune âge.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs australiens ont utilisé des tests à résonnance magnétique au cerveau sur de jeunes sujets pour en arriver à ces conclusions.

« Nous avons trouvé, chez les gens qui ont un historique de bipolarité dans leur famille, une réponse cérébrale moins grande lors d’expressions faciales données, comme celles de la peur, que chez ceux qui n’ont pas (ou moins) de risques de développer ces troubles. Il s’agit d’une percée extrêmement prometteuse », explique l’auteur en chef de l’étude, Philip Mitchell, de l’Université New South Wales.

Le chercheur australien poursuit en expliquant que la zone cérébrale en question en est une qui doit justement réguler plusieurs réponses émotionnelles.

Cette étude permettrait de faire avancer la qualité des soins et traitements concernant les troubles bipolaires, en plus d’assurer une meilleure prévention, alors que d’autres recherches sont prévues à la suite de ce succès.