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Selena Gomez aborde son diagnostic de bipolarité

Selena Gomez revient sur son diagnostic de bipolarité, une excellente chose selon elle.

Bien qu’elle aurait préféré traverser moins d’embûches en termes de santé physique et mentale, Selena Gomez se trouve à un bon endroit dans sa vie en ce moment. L’une des raisons de cette sérénité acquise en partie est son diagnostic de bipolarité obtenu et dévoilé récemment. La star aborde ce sujet lors d’un entretien accordé à Allure.

«J’ai toujours eu tellement d’émotions différentes et je ne savais pas trop comment les contrôler. C’était compliqué. Mais, je pense que je suis heureuse de les comprendre. Une fois que j’ai appris qui j’étais, j’étais fière. Je me suis aussi sentie confortable de savoir que je n’étais pas seule, et que j’allais m’en sortir. Je vais continuer d’être passionnée par le sujet, et c’est quelque chose dont je vais continuer de parler», confie Gomez en lien avec son diagnostic et son combat en santé mentale.

La chanteuse de maintenant 28 ans se fait d’ailleurs une importante porte-parole en ce qui a trait aux troubles de santé mentale depuis quelques années maintenant, souhaitant contribuer à éliminer les stigmates liés à ce sujet.

Rappelons que Selena Gomez a également traversé d’importants problèmes de santé physique, ajoutant à son épreuve, dont une spectaculaire transplantation rénale effectuée en 2017 à la suite de complications liées à un diagnostic de Lupus, obtenu en 2015.

Crédit photo : WENN/COVER

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Bébé et cie

Les femmes souffrant de bipolarité plus à risque de naissance prématurée

Science World Report expose les données d’un nouveau rapport. Celui-ci cumule des données de 2003 à 2011 sur les femmes ayant accouché d’un seul enfant. Parmi ces femmes, celles qui avaient été hospitalisées pour un trouble bipolaire étaient 2 fois plus à risque d’accouchement prématuré.

« Le trouble bipolaire représente la 6<e cause en importance des troubles qui atteignent les femmes étant dans une tranche d’âge pour procréer », rapporte la Dre Simone Vigod. Auteure principale de cette récente étude, elle rappelle qu’il y a cependant très peu de données reliant la bipolarité aux risques pendant la grossesse.

Medical Xpress mentionne quelques données de la recherche. Les bébés nés de mères bipolaires étaient plus gros par rapport à leur temps de gestation, ils étaient prédisposés à un taux plus élevé de malformations congénitales et autres complications, et étaient très souvent réadmis à l’hôpital à l’intérieur du premier mois de naissance.

Les résultats de la recherche ont été publiés dans la revue scientifique American Journal of Obstetrics.

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Quand la dépression touche Hollywood

C’est en 2011 que Catherine Zeta-Jones a été diagnostiquée du trouble de bipolarité (maniaco-dépression). L’acteur britannique Russel Brand a suivi la même trace. Il a aussi eu des épisodes de boulimie et d’auto-mutilation. Cette dernière a également touché Angelina Jolie durant l’adolescence.

D’autre part, le suicide est loin d’être étranger aux vedettes de cinéma. À l’âge de six ans, l’actrice Ashley Judd a pensé mettre fin à ses jours. La thérapie a sauvé cette femme qui admet qu’elle serait morte autrement. 

L’acteur Stephen Fry (bipolaire) qui a déjà remporté des prix pour son documentaire The Secret Life of the Manic Depressive y a aussi déjà pensé. 

En 1962, Marilyn Monroe, qui discutait ouvertement de ses troubles psychiques, est passés à l’acte. Toujours à l’époque du noir et blanc, Scarlett O’Hara a dû subir des traitements aux décharges électriques pour tenter de contrôler son irritabilité, sa bipolarité et son hypersexualité. 

Pour connaître les noms et histoires d’autres artistes malades mentalement, voyez le dossier de Radaronline. Comme le disait l’acteur de Jaws Richard Dreyfuss :  « Il n’y a pas de honte à avoir une dépression ». 

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Amanda Bynes affirme qu’elle n’est pas schizophrène

Bien que jusqu’à présent, l’ancienne actrice Amanda Bynes n’ait émis aucun commentaire, elle a demandé à son avocat, Tamar Arminak, de redresser la situation.

« À titre informatif, Amanda n’est pas schizophrène et n’a jamais reçu de diagnostic à cet effet. »

Rappelons qu’en sortant de l’établissement dans lequel elle a reçu des soins et un traitement de désintoxication pendant 6 mois, Bynes a été livrée à la garde légale de sa mère. Mais depuis peu, elle a repris les rênes et prend ses propres décisions.

« Elle ne prend aucune médication en ce moment », a ajouté Arminak. « Elle fait tous les efforts pour vivre une vie aussi saine que possible. » Elle serait également fière d’avoir cessé la consommation de marijuana depuis 9 mois.

Rien n’a été évoqué quant à la possible bipolarité de l’ancienne star de Disney. Mais selon film-news.com, Amanda Bynes continue à assister régulièrement à des séances de thérapie pour éviter de retomber dans ses comportements inadéquats.

Entre autres, elle avait l’habitude de partir en guerre sans raison contre les célébrités sur les médias sociaux.

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Amanda Bynes affirme qu’elle n’est pas schizophrène

Bien que jusqu’à présent, l’ancienne actrice Amanda Bynes n’ait émis aucun commentaire, elle a demandé à son avocat, Tamar Arminak, de redresser la situation.

« À titre informatif, Amanda n’est pas schizophrène et n’a jamais reçu de diagnostic à cet effet. »

Rappelons qu’en sortant de l’établissement dans lequel elle a reçu des soins et un traitement de désintoxication pendant 6 mois, Bynes a été livrée à la garde légale de sa mère. Mais depuis peu, elle a repris les rênes et prend ses propres décisions.

« Elle ne prend aucune médication en ce moment », a ajouté Arminak. « Elle fait tous les efforts pour vivre une vie aussi saine que possible. » Elle serait également fière d’avoir cessé la consommation de marijuana depuis 9 mois.

Rien n’a été évoqué quant à la possible bipolarité de l’ancienne star de Disney. Mais selon film-news.com, Amanda Bynes continue à assister régulièrement à des séances de thérapie pour éviter de retomber dans ses comportements inadéquats.

Entre autres, elle avait l’habitude de partir en guerre sans raison contre les célébrités sur les médias sociaux.

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Reconnaître les signes d’un trouble bipolaire

Top Santé propose un dossier sur les troubles bipolaires et rappelle l’importance de reconnaître les signes de ce déséquilibre psychologique, et de quérir l’aide nécessaire afin de retrouver une vie normale.

Car la bipolarité n’a rien à voir avec de bénignes sautes d’humeur occasionnelles, et peut s’avérer fatale pour les relations interpersonnelles et professionnelles.

Si le problème réside principalement dans l’acceptation du diagnostic, la suite peut s’avérer grandement moins complexe grâce aux options de traitements désormais disponibles.

Ainsi, l’étape la plus importante et la plus difficile demeure la reconnaissance de ce trouble, qui toucherait 2 % de la population en général.

Plusieurs signes ou symptômes peuvent indiquer un trouble bipolaire. Notamment, une consommation excessive d’alcool, des crises soudaines d’agressivité ou des sautes d’humeur évidentes, une sensibilité accrue ou encore des troubles du sommeil.

Les personnes bipolaires vont souvent se mettre dans le pétrin face à la justice ou avec des pairs, ou encore faire preuve de témérité dans leurs décisions ou encore sur la route. Malgré une sensibilité parfois extrême, ces personnes auront toutefois du mal à extérioriser leurs émotions, apprend-on.

Si vous croyez souffrir d’un trouble bipolaire ou si vous croyez reconnaître le phénomène chez un proche, parlez-en rapidement avec votre médecin praticien ou avec un psychothérapeute.

Plusieurs options de traitement efficaces sont offertes afin de réguler les cycles de bipolarité et permettre aux patients de retrouver une vie normale. Encore une fois, le plus grand défi est de reconnaître la situation et de ne pas se laisser freiner par le déni ou la honte, afin de permettre un traitement le plus rapidement et efficacement possible.

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Reconnaître les signes d’un trouble bipolaire

Top Santé propose un dossier sur les troubles bipolaires et rappelle l’importance de reconnaître les signes de ce déséquilibre psychologique, et de quérir l’aide nécessaire afin de retrouver une vie normale.

Car la bipolarité n’a rien à voir avec de bénignes sautes d’humeur occasionnelles, et peut s’avérer fatale pour les relations interpersonnelles et professionnelles.

Si le problème réside principalement dans l’acceptation du diagnostic, la suite peut s’avérer grandement moins complexe grâce aux options de traitements désormais disponibles.

Ainsi, l’étape la plus importante et la plus difficile demeure la reconnaissance de ce trouble, qui toucherait 2 % de la population en général.

Plusieurs signes ou symptômes peuvent indiquer un trouble bipolaire. Notamment, une consommation excessive d’alcool, des crises soudaines d’agressivité ou des sautes d’humeur évidentes, une sensibilité accrue ou encore des troubles du sommeil.

Les personnes bipolaires vont souvent se mettre dans le pétrin face à la justice ou avec des pairs, ou encore faire preuve de témérité dans leurs décisions ou encore sur la route. Malgré une sensibilité parfois extrême, ces personnes auront toutefois du mal à extérioriser leurs émotions, apprend-on.

Si vous croyez souffrir d’un trouble bipolaire ou si vous croyez reconnaître le phénomène chez un proche, parlez-en rapidement avec votre médecin praticien ou avec un psychothérapeute.

Plusieurs options de traitement efficaces sont offertes afin de réguler les cycles de bipolarité et permettre aux patients de retrouver une vie normale. Encore une fois, le plus grand défi est de reconnaître la situation et de ne pas se laisser freiner par le déni ou la honte, afin de permettre un traitement le plus rapidement et efficacement possible.