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Les caissiers et serveurs à risque à cause du bisphénol A?

Le métier de caissier, commis ou serveur est-il plus dangereux qu’on pourrait le croire? C’est ce que laisse entendre une nouvelle étude en provenance de l’Université de Cincinnati, maintenant rapportée par The National Library of Medicine. Elle conclut que les factures et reçus manipulés des milliers de fois par ces employés pourraient être toxiques.

Une toxicité explicable par la présence de bisphénol A (aussi largement connu sous le nom de BPA) dans les reçus de papier tendus aux clients à la suite d’une transaction.

Utilisé pour éviter que les couleurs et détails du reçu s’effacent, le bisphénol A n’aurait besoin que de deux heures pour causer un effet sur un caissier, selon les chercheurs américains.

C’est donc dire qu’après deux heures de travail intense, un commis verra ses taux de BPA augmenter radicalement. Cette conséquence peut s’avérer bénigne, mais les chercheurs s’inquiètent de voir de jeunes femmes enceintes ou fertiles passer 40 heures par semaine à manipuler ces reçus et factures.

La même crainte, cette fois en lien avec des contenants et bouteilles, a été établie au cours des dernières années concernant le BPA et les jeunes enfants.

D’autres études sur le sujet doivent être réalisées pour mesurer les effets réels à long terme du BPA retrouvé sur les reçus et factures des magasins.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association.

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Pas si dangereux que ça, le bisphénol A?

La controverse entourant le bisphénol A, aussi appelé BPA, vit un autre épisode de sa saga, alors qu’un toxicologue publie ses conclusions sur le sujet.

Le chercheur du Pacific Northwest National Laboratory croit, après avoir étudié une panoplie d’études précédemment publiées sur le sujet, que dans une grande majorité des cas, les taux de BPA retrouvés dans les bouteilles d’eau, les aliments et les contenants de plastique ne sont pas suffisamment élevés pour provoquer des problèmes de santé graves.

C’est Nutrition News qui rapporte les propos du spécialiste en toxicologie, qui sont corroborés par un collègue qui déclare : « C’est un millier de fois plus bas que les niveaux retrouvés chez les animaux qui causent vraiment des problèmes ».

De plus, on apprend que plusieurs pays ont aussi tranché en ce sens, notamment le Japon et son National Institute of Advanced Industrial Science and Technology, ainsi que l’OMS et l’European Food Safety Authority.

Le débat est lancé!

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Les aliments bios n’échapperaient pas au bisphénol A

La polémique entourant le bisphénol A et sa présence dans plusieurs produits et aliments consommés et utilisés par la population ne cesse de grandir.

On apprenait récemment que plusieurs contenants de plastique qui contiennent l’infâme bisphénol A, ou des phtalates, ont la capacité de transférer ces éléments directement dans les aliments que nous consommons.

Faire réfrigérer des repas dans les mauvais types de contenants de plastique serait suffisant pour « contaminer » la nourriture, ce qui soulève l’ire des consommateurs avertis un peu partout dans le monde.

Cette fois, c’est Santé Log qui nous apprend que même les aliments bios n’échapperaient pas nécessairement au phénomène, si l’on en croit les conclusions d’une étude américaine sur le sujet.

Publiées dans l’édition du 27 février du Journal of Exposure Science and Environmental Epidemiology, ces révélations font état des dangers de ces contenants de plastique et du bisphénol A, peu importe le type de nourriture. Même l’eau embouteillée pourrait bien devenir nocive, après observation.

On demande donc à la population d’être vigilante et de bien se documenter sur le sujet, qui n’a pas fini de faire couler de l’encre.