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Le bisphénol A à l’origine du diabète de type 2 et de l’obésité

La revue PLoS ONE dévoile trois récentes études qui confirment que le bisphénol A serait à l’origine du diabète de type 2 et de l’obésité.
 
Des chercheurs espagnols, chinois et américains arrivent aux mêmes conclusions.
 
« Les auteurs concluent que le BPA doit être considéré comme un facteur de risque de troubles métaboliques chez l’homme », dit le Réseau Environnement Santé (RES).
 
Les autorités européennes recommandent donc d’adopter des lois contre le BPA.
 
« Il faut mettre la question des perturbateurs endocriniens au coeur des politiques de santé publique. Les perturbateurs endocriniens apparaissent plus que jamais comme une clé essentielle pour agir sur la prévention des cancers, des désordres métaboliques (obésité-diabète), des troubles de la reproduction et neurocomportementaux », conclut le RES.
 
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Le bisphénol A à l’origine du diabète de type 2 et de l’obésité

La revue PLoS ONE dévoile trois récentes études qui confirment que le bisphénol A serait à l’origine du diabète de type 2 et de l’obésité.
 
Des chercheurs espagnols, chinois et américains arrivent aux mêmes conclusions.
 
« Les auteurs concluent que le BPA doit être considéré comme un facteur de risque de troubles métaboliques chez l’homme », dit le Réseau Environnement Santé (RES).
 
Les autorités européennes recommandent donc d’adopter des lois contre le BPA.
 
« Il faut mettre la question des perturbateurs endocriniens au coeur des politiques de santé publique. Les perturbateurs endocriniens apparaissent plus que jamais comme une clé essentielle pour agir sur la prévention des cancers, des désordres métaboliques (obésité-diabète), des troubles de la reproduction et neurocomportementaux », conclut le RES.
 
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La soupe en conserve dangereuse?

Une équipe de l’Université Harvard dévoile dans le Journal of the American Medical Association que les soupes en conserve représentent un risque de dangerosité.
En fait, 75 personnes ont participé à l’étude. Elles ont consommé de la soupe en conserve ou de la soupe fraîche pendant cinq jours consécutifs. Selon des échantillons d’urine, les personnes qui avaient eu les soupes en conserve présentaient un taux de bisphénol A beaucoup plus élevé que les autres.
 
« Nous savons depuis un moment que consommer des boissons qui sont restées longtemps dans certains récipients en plastique dur accroissait la présence de bisphénol A dans le corps. Mais notre étude suggère que la nourriture en conserve pourrait être un sujet d’inquiétude plus important encore, surtout en raison de son usage très répandu », mentionne Jenny Carwile, coauteure de l’étude.
 
Toutefois, comme le bisphénol A est éliminé par l’urine, on ignore quelle quantité demeurait dans l’organisme. De nouvelles études sont donc nécessaires pour en savoir plus.
 
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Attention aux emballages alimentaires dangereux

Cette fois-ci, c’est l’Agence nationale de sécurité sanitaire de France qui sonne l’alarme. Le bisphénol A, un composé chimique surtout utilisé pour tapisser l’intérieur de certaines boîtes de conserve et de canettes, est un perturbateur endocrinien qui peut affecter la santé.

Pour l’agence française, il est important d’éviter l’exposition des populations les plus sensibles et d’accélérer la substitution du bisphénol A dans la fabrication des plastiques.

Les scientifiques sont affirmatifs : « Ce travail met en évidence des effets sanitaires, avérés chez l’animal et suspectés chez l’homme, même à de faibles niveaux d’exposition. » Ils considèrent « disposer de suffisamment d’éléments scientifiques pour identifier d’ores et déjà comme prioritaire la prévention des expositions des populations les plus sensibles que sont les nourrissons, les jeunes enfants ainsi que les femmes enceintes et allaitantes ».

L’Agence nationale de sécurité sanitaire de France retient dans son rapport que le bisphénol A a des effets avérés chez l’animal sur la reproduction, la glande mammaire, le métabolisme, le cerveau et le comportement.

Ses effets chez l’être humain sont suspectés, car plus difficile à démontrer, sur la reproduction, le métabolisme des sucres et des graisses (et donc l’obésité et le diabète) ainsi que sur les pathologies cardiovasculaires.

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Le syndrome de Down relié aux BPA

Le bisphénol A est sous la loupe depuis quelques années. Les possibles conséquences d’une exposition à cette substance omniprésente dans les produits en plastique sont de plus en plus nombreuses.

Cette fois, on apprend dans Human Reproduction qu’elle peut altérer le développement des ovocytes et des futurs ovaires chez la femme. Cet effet réduirait possiblement la fertilité de la progéniture de la femme, en plus d’augmenter la prévalence du syndrome de Down dans les générations suivantes.

Rappelons que le syndrome de Down est ce que nous appelons couramment la trisomie 21. Il s’agit d’une maladie chromosomique congénitale qui est engendrée par un chromosome surnuméraire à la 21e paire. Ses signes physiques sont reconnaissables, et elle entraîne un retard cognitif. La trisomie 21 est la maladie génétique la plus commune.

Des chercheurs ont analysé plus de 21 000 ovocytes in vitro pour établir cette corrélation. L’exposition aux BPA aux degrés permis par les autorités de la santé comporterait en fait des dangers pour le fœtus.

Le risque d’échange de chromosome se trouverait par ailleurs doublé par cette exposition. L’analyse du chromosome 21 en particulier, dans le développement de 90 ovocytes, a indiqué un plus grand risque du syndrome de Down chez la future progéniture du fœtus.

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L’utilisation des forceps remise en question?

Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire nous fait part d’une étude ayant visé le matériel médical utilisé dans le cadre de certains accouchements. Elle a porté sur plus de 500 naissances en France.

On y apprend que les femmes qui subissent une césarienne sont plus exposées que les autres à la contamination. Celles avec qui l’on doit recourir aux forceps seraient, elles aussi, plus à risque d’être contaminées.

Après avoir analysé 279 échantillons, des chercheurs ont remarqué que chez ces femmes, la concentration en bisphénol A (ou BPA) et en phtalates dans l’urine était plus élevée que chez les autres.

Ces résultats ne sont évidemment pas à prendre à la légère. Les risques de l’exposition à ces substances ne cessent d’être démontrés.

Le bisphénol A et les phtalates sont de plus en plus confirmés comme étant des perturbateurs thyroïdiens. Ils auraient aussi des impacts sur la reproduction et le développement cérébral.

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L’exposition aux BPA durant la grossesse : autres dangers

On apprend une autre répercussion possible des BPA sur la santé. Selon des chercheurs, une exposition à ces produits chimiques pendant la grossesse entraînerait un plus faible poids de naissance. De plus, cette exposition serait celle que les deux parents vivent dans leur lieu de travail.

Selon les résultats parus dernièrement dans Reproductive Toxicology, on a constaté une chute marquée du poids chez les bébés dont la mère avait été directement exposée au Bisphénol A durant sa grossesse dans son milieu de travail.
 
De plus, la même constatation a pu être faite chez les enfants dont la mère avait été exposée aux BPA, mais par le biais du travail du père. La plus faible baisse a finalement été remarquée chez les bébés dont le père occupait un emploi l’exposant le moins au Bisphénol A.
 
Bien que des recherches subséquentes soient requises pour tirer des conclusions définitives, on peut déjà dire que les BPA ont des répercussions sur le développement fœtal durant la grossesse.

L’étude en question a porté sur une cohorte de 1 000 hommes et femmes chinois travaillant dans des manufactures.

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Bisphénol A : de nouvelles mises en garde

On s’inquiète encore du Bisphénol A (BPA). Une recherche menée par le Penn State fait état de plus grands risques d’asthme et de difficultés respiratoires chez les enfants dont la mère a été exposée au BPA, lisons-nous sur Santé log.

Les chercheurs ont suivi 367 bébés dont la mère avait un niveau important de BPA dans son urine durant sa grossesse (dans 99 % des cas). Ces enfants ont ensuite été observés sur une période de trois ans.
 
Il semble que les enfants dont la mère avait été très exposée avaient deux fois plus de risques d’avoir une respiration sifflante. Ces résultats ont été obtenus après que les parents aient dû relever toute respiration sifflante de leur bébé, et ce, chaque semestre.
 
Finalement, on a remarqué que le moment de l’exposition au Bisphénol A n’entraîne pas les mêmes effets. Ainsi, la respiration sifflante du bébé serait liée à une présence de BPA dans l’urine de la future maman à 16 semaines de grossesse, alors que rien n’a été remarqué à la 26e semaine.

On a donc conclu que l’exposition au BPA serait plus dommageable en début de grossesse plutôt qu’à la fin.

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Bisphénol A : dangereux pour le foetus aussi

De nouveaux risques de l’exposition au bisphénol A (BPA) ont été découverts. En effet, des chercheurs du CNRS et de l’Inserm ont mené une recherche dont les conclusions portent à croire que de fortes doses de BPA entraînent des dommages au fœtus.

On peut donc lire dans le BMC Developmental Biology qu’une étude a été faite sur des embryons de poisson-zèbre et de grenouille (le xénope). Les œufs ont été exposés à des doses variées de bisphénol A.

Après l’analyse subséquente des embryons, on a pu conclure qu’une quantité importante de BPA avait causé des dommages à l’oreille interne, provoquant ainsi une perte marquée de l’audition.

Les chercheurs ne peuvent pour l’instant établir des liens avec l’ouïe de fœtus humains. Toutefois, des résultats de cette expérience, on peut retenir que le bisphénol A provoque des dommages que l’on ne connaît pas encore. Des recherches sont donc à prévoir afin de les découvrir et de les prévenir.

Rappelons finalement que le bisphénol A est une substance chimique utilisée dans la fabrication de certains types de plastiques et de résines. Son utilisation a été interdite l’an dernier dans la fabrication des biberons, au Canada et ailleurs.

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Première étude longitudinale sur les phtalates

Selon Le Figaro, une étude vient d’être entreprise afin de voir les effets des phtalates, des pesticides, du bisphénol A et des métaux lourds sur la santé humaine. Pour ce faire, 20 000 enfants seront suivis durant 18 ans.

Les futurs participants ont été tirés au sort. L’étude sera entamée sous peu, à partir de la naissance de chaque enfant.

On pourra ainsi reconnaître certains des effets de ces polluants chimiques. Différents impacts seront évalués, tels que les problèmes de développement fœtal, la croissance déficiente des organes génitaux, les allergies et la puberté précoce.

Des impacts sociaux seront aussi évalués. On entend par là que l’on tentera de faire un lien entre les difficultés d’apprentissage et l’exposition aux substances à l’étude.

Pour les biens de la recherche, dès la naissance d’un poupon, des analyses seront faites sur le sang de son cordon ombilical et ses selles. La nouvelle maman sera aussi invitée à remplir un questionnaire.

Pendant les deux premières années de vie des enfants à l’étude, on joindra leur mère par téléphone afin de suivre leur développement. Les questions porteront alors sur l’alimentation, la croissance, les ententes de garde, la vie familiale, etc. Des visites à la maison suivront, soit à trois ans et vers sept ou huit ans.