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Des biberons plus sécuritaires au Canada

Après la découverte d’un possible danger concernant les biberons transparents composés de polycarbonate, le Canada a décidé d’agir et d’en interdire la vente au pays.

Dernièrement, des études ont révélé que le polycarbonate contient une substance appelée bisphénol A qui se libère lors d’un contact avec une source de chaleur.

Les biberons contenant principalement du lait chaud lorsqu’ils sont utilisés pour les nouveau-nés, le polycarbonate libère alors du bisphénol A et est ingéré par les enfants.

« Le Canada est le premier pays à proposer un règlement qui interdit les biberons en polycarbonate contenant du bisphénol A », a déclaré la ministre de la Santé, Leona Aglukkaq.

Elle ajoute que les taux d’exposition pour les nouveau-nés et les nourrissons de moins de 18 mois ne semblent toutefois pas assez sérieux pour provoquer des effets négatifs, mais que le Canada préfère l’interdire par mesure de précaution.

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Le danger des cannettes

Les cannettes de boissons gazeuses et énergisantes viennent d’être dénoncées parce qu’elles contiennent du bisphénol A, un produit chimique reconnu sur la liste des substances dangereuses au Canada.

Après les biberons, les bouteilles de plastique et les conserves, The Globe & Mail rapporte que les études de Santé Canada démontrent que la grande majorité (96 %) des cannettes de boissons gazeuses et énergisantes contiennent du bisphénol A.

On en a retrouvé en plus forte concentration dans les boissons à forte teneur en caféine et dans les cannettes de racinette, de cola diète et de soda au gingembre.

Selon le docteur Samuel Godefroy, directeur du Bureau d’innocuité des produits chimiques de Santé Canada, la quantité de bisphénol A est toutefois insuffisante pour causer des dommages sur la santé.

Les recherches concernant l’impact du bisphénol A sur la santé humaine se poursuivent tout de même, car à certaines doses, la substance pourrait affecter le cerveau, la prostate et les glandes mammaires, de même que modifier l’âge de la puberté chez les filles ou être liée aux problèmes cardiovasculaires et au diabète.

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Du bisphénol A, ailleurs que dans les plastiques

Selon le Dr Richard Stahlhut et ses collègues du centre médical de l’Université Rochester de New York, le bisphénol A (BPA), un produit chimique jugé dangereux, pourrait s’infiltrer dans le corps humain par la poussière ou par l’eau du robinet.

Le chercheur a analysé les dossiers médicaux de 1 469 adultes et a évalué l’hypothèse d’un lien entre la concentration de BPA dans l’urine des candidats et la durée durant laquelle une personne était restée sans consommer de nourriture.

Or, compte tenu de la métabolisation très lente du bisphénol A dans l’organisme, le temps de jeûne ne semble pas avoir diminué le taux de BPA dans le corps pour autant. « À titre d’exemple, les sujets qui avaient jeûné le plus longtemps, entre 15 et 24 heures, auraient dû avoir de nettement plus faibles concentrations de BPA dans leur urine que ceux venant de manger.  Or, leurs teneurs en BPA n’étaient que modérément plus faibles que celles des sujets qui venaient de consommer des aliments », a conclu M. Stahlhut.

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Fini le bisphénol A dans les biberons!

Le Canada est le premier pays à interdire formellement l’utilisation d’un produit chimique toxique, le bisphénol A (BPA), dans la fabrication des biberons et des gobelets.

« Le gouvernement fédéral a tenu sa promesse d’interdire le bisphénol A dans la fabrication de biberons et mérite d’être félicité. Ce geste place le Canada en première position dans la communauté internationale », s’est félicité Rick Smith, directeur général de Défense environnementale.

Récemment, une recherche publiée dans le Journal of the American Medical Association établissait un lien entre le bisphénol A et la hausse du risque des maladies cardiovasculaires, du cancer et du diabète.

Cette découverte avait mené à une coalition visant à interdire le BPA au pays par Santé Canada.

« Puisque nous disposons de solutions de rechange non toxiques, le gouvernement fédéral doit mettre en place, dans les plus brefs délais, un protocole de transition visant à éliminer le bisphénol A dans toutes ses applications liées à la fabrication de contenants de nourriture et de boisson », a conclu M. Smith.

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Le bisphénol A dans la lorgnette des chercheurs

Une équipe de scientifiques de l’Université d’Exeter, en Grande-Bretagne, ont analysé les conséquences du bisphénol A (BPA), un produit chimique que l’on retrouve dans plusieurs produits de consommation, et son incidence sur la santé des personnes.

Les chercheurs ont observé que les concentrations les plus élevées de BPA dans des échantillons d’urine augmentaient de 39 % le risque de maladies cardiovasculaires, de diabète de type 2 et d’anomalies des enzymes du foie.

« L’analyse de statistiques représentatives de la population adulte américaine a mis en évidence une relation entre les concentrations les plus fortes de BPA dans l’urine et un accroissement de la prévalence des maladies cardiovasculaires, du diabète et d’anomalies hépatiques », a souligné l’auteur de cette recherche, le Dr David Melzer.

1 455 sujets, de 18 à 74 ans, ont participé à cette vaste étude.

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Le bisphénol A, classé dangereux

Selon ce que rapporte le quotidien The Globe and Mail, le gouvernement fédéral pourrait désigner le bisphénol A (BPA), un composé chimique, comme étant une substance dangereuse et ainsi en limiter l’usage au pays.

En créant ce précédent, le Canada aurait pour but de faire pression sur les États-Unis et l’Union européenne afin qu’ils se penchent aussi sur le cas du BPA.
 
On trouve ce dernier dans plusieurs biens de consommation comme les biberons, les bouteilles d’eau en plastique rigide, les CD, les résines utilisées pour fabriquer les boîtes de conserve ou encore les scellements dentaires.

Selon certaines recherches, une exposition à ce composé chimique pourrait entraîner une perturbation endocrinienne nuisant à la production d’oestrogènes.