En fait, davantage de mauvaises habitudes de vie et de comportements dangereux seraient recensés parmi les jeunes de race noire et latine de dix ans.
De plus, les scientifiques croient que l’école fréquentée par les enfants, l’éducation des parents et leur revenu influencent la santé des enfants.
Les experts ont étudié plusieurs facteurs de la vie de ces enfants, notamment la violence dont ils étaient témoins. Ils ont découvert, entre autres, qu’un enfant de race noire sur cinq et qu’un enfant de race latine sur dix avaient été témoins d’une situation de menace ou d’une blessure par arme à feu. Chez les enfants de race blanche, ce chiffre était d’un sur vingt.
Les enfants de race noire étaient également plus susceptibles de fumer ou de boire de l’alcool. Puis, un enfant de race noire ou latine sur trois était obèse, peut-on lire dans l’étude publiée dans le New England Journal of Medicine.
Les experts croient que les écoles seraient le meilleur endroit où inculquer de bonnes habitudes aux enfants.
Rappelons que les enfants de race noire ont plus de fractures aux bras puisque leur mode de vie, souvent, ne leur permet pas d’absorber assez de vitamines D. La densité de leurs os est donc moins bonne.