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Le TDAH cause plus de blessures

Selon une étude de l’University of Alabama parue dans Academic Pediatrics, les enfants souffrant d’un trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH) seraient plus à risque de subir des blessures que les autres.

Après avoir suivi près de 5 000 enfants, on a évalué que les enfants atteints d’un TDAH étaient jusqu’à 2 fois plus enclins à souffrir d’une blessure sérieuse. Cette proportion est d’autant plus marquée chez des enfants de 11 ans.

En fait, plus un enfant aura des symptômes du TDAH, plus il courra le risque de subir des blessures. Les garçons seraient deux fois plus touchés que les filles par ce lien. De plus, cesdites blessures tueraient plus d’enfants atteints que toutes autres causes combinées.

Dans le cadre de cette recherche, on a défini les blessures comme en étant qui nécessitaient des soins médicaux. Plus de la moitié de celles-ci consistaient en des fractures osseuses.

Une raison simple de cette corrélation serait que les enfants vivant avec le TDAH sont impulsifs et inattentifs; ils bougent beaucoup et sont souvent portés à ne pas avoir conscience du danger.

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La boxe est à éviter pour les enfants

On lit dans Pediatrics une nouvelle mesure de l’American Academy of Pediatrics quant à la boxe chez les plus jeunes. Nous y retenons que ce sport ne devrait pas être pratiqué par des enfants, car il comporte de trop nombreux dangers.

La raison en est que le but premier de la boxe est de donner des coups à la tête, donc d’y porter un choc. Mais le cerveau d’un enfant est beaucoup plus vulnérable aux commotions cérébrales que celui d’un adulte.

De plus, une blessure à la tête chez un enfant prend beaucoup plus de temps à guérir que chez un adulte. Donc, si les risques de blessures à la tête et au visage sont élevés pour les amateurs de boxe – d’où le casque de protection –, ils le sont d’autant plus pour un enfant.

La boxe semble pourtant gagner en popularité. Depuis les années 90, le nombre de blessures liées à ce sport a considérablement augmenté.</p

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Dangers des mises en échec pour les jeunes hockeyeurs

On se questionne de plus en plus, et avec raison, sur la violence au hockey et sur la tolérance des mises en échec. Une recherche a été menée sur le sujet par le Centre de recherche de la prévention des blessures, à l’Hôpital St. Michael de Toronto.

Cette équipe a ainsi pu démontrer que les jeunes hockeyeurs de 9 à 10 ans sont 10 fois plus exposés à des dommages cérébraux depuis que Hockey Canada a permis les mises en échec dans le hockey mineur à la saison 1998-1999.

L’étude parue dans Open Medicine a porté sur 8 552 garçons âgés de 6 à 17 ans ayant été admis aux urgences à cause d’une blessure reliée au hockey. On a comparé les entrées enregistrées avant et après la nouvelle règle de Hockey Canada.
 
Plus de la moitié des blessures étaient dues aux mises en échec. En plus des dommages cérébraux, les risques de blessures à la tête et au cou ont, eux aussi, nettement augmenté.

Il faudra donc se questionner sur l’apport des mises en échec dans le hockey mineur, de même que dans le hockey en général.

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Dangers des parcs et des lits à barreaux

Des données récentes quant aux blessures entraînées par les berceaux, les parcs pour enfant ainsi que les lits à barreaux indiquent qu’elles ne sont pas un phénomène rare, même de nos jours.

En effet, aux États-Unis seulement, de 1990 à 2008, 181 654 enfants âgés de moins de 2 ans ont été admis aux urgences en raison de blessures liées à ces équipements. La majorité du temps, il s’agissait d’une chute.

En moyenne, il se produit 9 500 cas semblables, selon Pediatrics. Sur une base quotidienne, cela représente 26 enfants.

La majorité des blessures sont causées par les berceaux (83,2 %), puis les parcs pour enfant (12,6 %) et finalement les lits à barreaux (4,2 %).

En regard de ces chiffres, on a pu établir un taux annuel global de 12,1 sur 1 000 bébés de moins de deux ans qui se blessaient. Toutefois, on a remarqué dans cette analyse de données qu’au fil des années, le taux de blessures tendait à diminuer de façon marquante.

La cause est bien entendu l’amélioration des produits, c’est-à-dire le souci des fabricants de les rendre mieux adaptés, donc plus sécuritaires.

Les chutes représentent les deux tiers de toutes les blessures. Logiquement, plus l’âge augmente, plus elles sont fréquentes, en raison semble-t-il de la capacité de grimper et de la mobilité qui augmentent aussi avec le développement.

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Plus de blessures pour les petits coureurs

Des données sur les admissions aux urgences dans les hôpitaux américains ont permis de constater que certaines blessures sont plus récurrentes que d’autres chez les enfants.

En effet, selon les résultats d’une étude parue dans la présente édition de Clinical Pediatrics, il semble que courir implique plus de dangers que toute autre activité pour les plus jeunes.

Chez les enfants de 6 à 18 ans, la course est responsable de 16 000 entrées à l’hôpital en moyenne chaque année aux États-Unis. De plus, une augmentation de 34 % de ces mêmes cas a été relevée en 14 ans, soit de 1994 à 2007.

La majorité de ces blessures concernent les membres inférieurs. Le tiers de celles-ci sont dues à une chute et la moitié surviennent à l’école.

De plus, le type de blessure varie en fonction de l’âge. Les enfants de 6 à 14 ans tendent à se blesser en tombant ou en courant pendant qu’ils sont à l’école. Quant aux 15 à 18 ans, ils se blessent plus souvent lorsqu’ils se trouvent sur la rue ou pratiquent une activité récréative.

Finalement, si ces données nous en disent plus sur la façon de prévenir les blessures, il ne faut pas pour autant décourager les enfants et les jeunes de courir, car il s’agit là d’un signe d’une vie active.

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Les jouets d’aujourd’hui sont aussi dangereux qu’avant

Selon HealthDay, les parents devraient redoubler de prudence lorsqu’ils choisissent un nouveau jouet pour leur enfant. 

En effet, la Fédération américaine des consommateurs a émis de nombreuses mises en garde sur ce sujet, alors que les jouets d’aujourd’hui ne sont pas moins dangereux que ceux du passé.

S’ils comportent moins de risques d’étouffement, leurs puissantes piles, leurs aimants et leurs lumières lasers peuvent entraîner différentes blessures chez les tout-petits.

Il semblerait qu’aux États-Unis seulement, on répertorie 235 000 cas de blessures liées à des jouets chez les enfants chaque année. En 2008, on a même compté jusqu’à 19 morts.

Le jouet pouvant entraîner le plus de blessures serait le tricycle, ayant causé le plus grand nombre de décès en 2008.

On propose donc plusieurs actions préventives, dont le respect des normes du fabricant et l’observation attentive de toutes les parties du jouet.

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Rappel de sièges d’auto Britax Child Safety

Bien qu’il n’y ait eu aucune plainte de la part des consommateurs, la marque de sièges pour enfants rappelle certains produits vendus au Canada.

Il semble que la résine dont sont faites les pinces de harnais aurait été mal traitée. Des blessures pourraient donc survenir en raison du bord aiguisé de la pince.

Les pinces défaillantes portent la marque PC. Le détaillant de ces pinces s’engage donc à faire parvenir une trousse de réparation à tous les propriétaires concernés.

Britax est aussi ouvert à toutes les questions. Les consommateurs peuvent donc joindre l’entreprise par téléphone, au  1 888 427-4829, ou se rendre sur son site web, au www.chaperoneseatrecall.ca.

Mentionnons au passage que les pinces de harnais de marque POM ne sont nullement concernées par ce rappel.

On demande donc de retourner les sièges de modèle Frontier Chaperone portant les numéros E9L95P2, E9L95P3 ou E9L95P5. Cela concerne les sièges ayant été fabriqués entre le 1er avril 2009 et le 31 mai 2010.

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Mettre de la glace sur une blessure l’empêche de guérir

Pendant des années, on a recommandé de mettre de la glace ou un sac de pois congelés sur une déchirure musculaire afin de réduire l’enflure. Une nouvelle étude affirme toutefois que cela nuit à la guérison.
 
L’inflammation des muscles serait essentielle dans le processus de réparation, selon les résultats de la recherche publiée dans le journal de la Fédération des sociétés américaines pour la biologie expérimentale.
 
Les scientifiques ont découvert la présence d’une protéine (IGF-1) qui est produite par les tissus endommagés après une blessure. C’est cette protéine qui aide à la guérison de la blessure et augmente le taux de régénération musculaire.
 
On souhaite donc pousser les recherches encore plus loin afin de découvrir les différents rôles joués par les tissus lors de l’inflammation. Ainsi, les médecins pourraient parvenir à se servir des effets positifs pour contrer les effets négatifs.
 
Si les recherches se confirment, cela mènerait à une nouvelle façon de guérir les personnes blessées.
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Santé Canada emboîte le pas de la FDA

Santé Canada a mentionné hier (10 juillet) qu’elle exigerait des fabricants de certains antibiotiques d’ajouter sur leur avis de mise en garde une notice sur la possibilité de blessures aux tendons comme effet secondaire.

Cette décision fait suite à celle prise par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis. Chez nos voisins du Sud, les fabricants de fluoroquinolone doivent ajouter un avertissement sur les risques de ruptures de tendons sur leurs emballages.

Selon le porte-parole de l’agence fédérale de la santé, M. Alastair Sinclair, la tendinite, les problèmes de tendon et les ruptures de tendon comptent parmi les effets secondaires indésirables des quinolones. Santé Canada recommande que le patient cesse de consommer le médicament dès qu’il remarque une enflure ou une douleur au tendon.

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Le surplus de poids, dangereux au volant

Lors du congrès mondial de la Society of Automotive Engineers, les principaux joueurs de l’industrie automobile se sont entretenus à propos d’une récente étude qui met en garde les conducteurs automobiles ayant un surplus de poids.

En effet, ces derniers sont plus à risque que les personnes ayant un poids santé pour la simple et bonne raison qu’ils sont plus réticents à porter la ceinture de sécurité en raison de l’inconfort ressenti.

D’autres recherches vont dans le même sens. Celle de 2002 mentionnait que la masse en mouvement pouvait augmenter le risque de blessures chez les personnes obèses, tandis qu’une autre réalisée en 2003 prétendait que le taux de blessures abdominales chutait lorsque le conducteur était mince.