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Détails sur l’accident de voiture de George Michael

Jeudi dernier (16 mai), George Michael avait été transporté à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture sur une autoroute achalandée. Il s’agit de la M1, une autoroute à 4 voies.

Alors qu’il roulait dans un Range Rover, le chanteur de 49 ans a décidé d’ouvrir sa porte pour la refermer correctement. La voiture roulait à plus de 110 km/h. Michael s’est retrouvé sur la chaussée, laissant une traînée de sang sur son passage.

C’est une jeune femme de 23 ans, Katherine Fox, qui est venue au secours de la star en premier lieu. Elle a placé sa voiture de façon à protéger George Michael, tout en appelant les services d’urgence.

Fox a indiqué au journal The Sun : « Il y avait du sang partout et un homme par terre. J’ai cru qu’il s’était fait rouler dessus. J’ai dit aux urgences qu’ils étaient mieux de faire vite, parce que ce n’était pas beau à voir ».

Alors que le chanteur aurait vraisemblablement dû mourir, il s’en est tiré avec des blessures mineures. Fox a ajouté qu’il était incapable de prononcer une seule parole. « Il était sous le choc. Ses amis, avec qui il était dans la voiture, ont traversé deux voies achalandées pour le tirer jusqu’à la voie d’accotement. »

Lorsque l’ambulance est arrivée, George Michael était par terre, contre une voiture, dans les bras d’un de ses amis, toujours sous le choc.

« C’est un miracle qu’il s’en soit tiré », a ajouté Fox. « S’il était tombé dans la voie d’à côté, il était mort. »

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Les blessures liées aux sports et aux loisirs chez les enfants sont en baisse

Des chercheurs américains ont analysé des données portant sur les enfants et jeunes âgés de 5 à 14 ans, relativement aux blessures survenues lors de la pratique de huit activités préalablement identifiées par les CDC, l’agence fédérale de la santé.

Ces activités étaient la bicyclette, le basketball, le football, les sports de roulettes (patins à roues alignées, trottinettes et planches à roulettes), le baseball et la balle molle, les équipements de jeux (les balançoires ou les modules), le soccer et le trampoline.

Même si la population de ce groupe d’âge est restée la même entre 2000 et 2010, les chercheurs ont constaté que durant cette période, les blessures musculo-squelettiques, comme les fractures, les ligaments déchirés ou les entorses, ont chuté de 12,4 %.

De plus, le nombre de blessures a baissé dans six des huit catégories, par exemple de 38,1 % pour la bicyclette, de 20,8 % pour les sports de roulettes et de 17,5 % pour les trampolines.

Par contre, les blessures survenues au cours de la pratique du football et du soccer ont quant à elle augmenté, de 22,8 % et de 10,8 % respectivement, selon EurekAlert!.

Ces résultats ont été présentés lors du récent congrès de l’American Academy of Orthopaedic Surgeons.

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Les bébés victimes de violence présentent souvent des signes avant-coureurs

Des chercheurs ont évalué les cas de 401 bébés de moins d’un an qui avaient été vus par un travailleur social dans un hôpital à cause d’une crainte que l’enfant ait été violenté.

Ces bébés ont été séparés en quatre catégories : ceux qui avaient un traumatisme crânien manifestement causé par des sévices, ceux qui avaient une autre blessure aussi causée par des sévices, ceux qui avaient un risque jugé « intermédiaire » d’avoir subi de la violence, et ceux pour lesquels les sévices avaient été écartés après l’évaluation.

Un total de 27,5 % des enfants qui avaient assurément subi de la violence présentaient une blessure précédente appelée « sentinelle », c’est-à-dire qu’elle aurait dû sonner l’alarme. En comparaison, aucun des bébés qui n’avaient pas subi de sévices ne présentait une telle blessure.

Les chercheurs ont indiqué que chez des enfants de cet âge (l’âge moyen était de 4 mois), qui ne sont pas encore très mobiles, certaines blessures sont extrêmement rares, par exemple des ecchymoses ou des déchirures du filet de la langue.

Les chercheurs avancent que ces blessures devraient toujours être considérées comme suspectes, et que les médecins devraient les rapporter aux autorités, selon ce que rapporte Med Page Today.

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Les blessures liées aux jeux gonflables sont en forte hausse

« Les données de cette étude montrent qu’il y a une hausse alarmante des blessures causées par les jeux gonflables », a souligné le Dr Gary Smith, directeur d’un centre pour la recherche et la politique sur les blessures, tel que rapporté par EurekAlert.

« Il est grand temps que des actions soient posées pour prévenir ces blessures. Pour ce faire, les parents doivent être conscients des risques potentiels, et il faut améliorer la surveillance de ces blessures, développer des recommandations nationales et améliorer la conception de ces jeux », a-t-il ajouté.

Uniquement durant l’année 2010, plus de 30 enfants par jour, c’est-à-dire à peu près un enfant chaque 45 minutes, a été traité pour une blessure causée par un jeu gonflable aux États-Unis. 28 % de ces blessures étaient des fractures, 27 % étaient des entorses, tandis que 19 % étaient des blessures à la tête et au cou, beaucoup plus sérieuses.

S’ils décident de laisser leur enfant jouer dans un jeu gonflable, les parents devraient s’assurer qu’un adulte est présent en tout temps, et qu’un seul enfant utilise le jeu à la fois.

Les résultats ont été publiés dans la revue Pediatrics.

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Un cours sur les blessures au cerveau pourrait augmenter le port du casque à vélo

Dans le cadre d’un projet pilote, des experts américains ont donné une formation sur le port du casque à vélo et la prévention des blessures au cerveau à un groupe de 120 enfants et jeunes âgés de 5 à 18 ans.

À la suite de ce cours d’une durée de 30 minutes donné dans un hôpital pour enfants de Georgie, le port du casque chez ces jeunes a augmenté de 72,5 %, passant ainsi de 11 à 98 enfants.

Seulement un enfant sur 4 porte un casque à vélo, et ce nombre tombe pratiquement à zéro chez les adolescents, selon Science Daily. Les parents n’agissent pas souvent en modèles, puisque seulement 5 à 6 % portent un casque.

Pourtant, porter un casque peut réduire les risques de dommages graves au cerveau jusqu’à 88 %, ont affirmé les experts, notant aussi que les enfants sont beaucoup plus susceptibles de porter un casque si leurs parents le font aussi.

Durant cette formation, des professionnels de la santé ont comparé le cerveau à un œuf et ont montré le modèle d’un cerveau fait en gelée.

Les résultats de ce projet ont été publiés dans la revue Journal of Child Neurology.

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Les parents ne devraient pas envoyer des textos pendant qu’ils s’occupent de leurs enfants

Alors que le nombre de blessures chez les enfants était constamment en baisse depuis les années 70, celui-ci a augmenté de 12 % entre 2007 et 2010, selon des chiffres publiés par les Centers for Disease Control and Prevention. Cette hausse, a expliqué le pédiatre Dr Jeffrey Weiss au Wall Street Journal, « est vraiment saisissante ».

Des experts attribuent en grande partie cette augmentation à un autre phénomène social en forte croissance depuis les dernières années, c’est-à-dire l’utilisation des téléphones intelligents. En 2007, 9 millions d’Américains possédaient un tel appareil; aujourd’hui, c’est plutôt 112 millions.

L’urgentologue Wally Ghurabi a affirmé : « Les travailleurs d’urgence comprennent très bien que lorsque les adultes utilisent des téléphones cellulaires pendant qu’ils s’occupent de leurs enfants, il peut très bien se produire des blessures à cause de ça. Nous faisons constamment plusieurs tâches à la fois et nous ne pensons pas que nous sommes distraits. Mais en réalité, nous le sommes ».

Certaines sources ont toutefois relevé le fait que la hausse des blessures chez les enfants pourrait être une simple « anomalie statistique », ajoutant qu’il n’y a pas nécessairement de lien de causalité entre les deux éléments.

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Les blessures subites à la suite de maltraitance en légère hausse chez les enfants

Le nombre d’enfants hospitalisés à la suite de blessures sérieuses liées à la violence corporelle a augmenté de 5 % en douze ans aux États-Unis, a révélé la revue médicale Pediatrics dans son numéro de novembre, publié en ligne le 1er octobre.

L’étude en question contredit les données avancées par les agences américaines de protection des enfants, qui parlent plutôt d’une baisse de 55 % des cas de sévices pendant la période allant de 1997 à 2009.

Selon Healthy Children, les conclusions soulevées par cette étude font craindre que la baisse comptabilisée par les services de protection à l’enfance soit attribuable à des changements administratifs dans la collection de données, et non à une diminution réelle des cas.

L’auteur de l’étude, le professeur en pédiatrie de l’Université Yale, John M. Leventhal, a affirmé que « les résultats font ressortir le défi d’aider les parents à s’améliorer avec leurs enfants, ainsi que l’importance des programmes de prévention pour diminuer les blessures graves reliées à l’abus chez les jeunes enfants ».

À partir de bases de données d’hospitalisation, les chercheurs ont répertorié les cas de blessures graves subites par des enfants à la suite de la maltraitance, par exemple des blessures à la tête, des fractures, des brûlures ainsi que des blessures abdominales, et ont également étudié des données démographiques sur les patients.

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Les blessures ne nécessitent pas toujours d’aller à l’urgence

En fait, selon le médecin de l’urgence pédiatrique Martin Belson, il est préférable de consulter d’abord le médecin de votre enfant au téléphone avant de l’emmener à l’urgence dans quelques situations.

Par exemple, si votre chien a mordu votre enfant, mais que les crocs n’ont pas perforé la peau, il n’est pas nécessaire de céder à la panique et d’emmener le petit à l’hôpital.

Aussi, si l’enfant tombe ou reçoit un coup sur la tête, qu’il ne perd pas connaissance, ne vomit pas et n’enfle pas, vous pouvez seulement appeler son médecin.

Ensuite, s’il a une coupure mineure qui ne saigne pas abondamment après que vous l’ayez nettoyée, vous pouvez appliquer un pansement et le garder à la maison.

Finalement, s’il se brûle ailleurs que sur la main ou le pied et si sa peau n’est pas carbonisée et qu’il n’y a pas de cloques d’eau, vous pouvez rester à la maison.

Rappelons que certaines brûlures peuvent toutefois avoir de graves conséquences. Les enfants souffrant de brûlures couvrant 60 % ou plus de leur surface corporelle totale (TBSA) courent un risque beaucoup plus élevé de subir des complications graves ou la mort.

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Prévenir les blessures chez les petits sportifs

 

Bien que la majorité des blessures chez les enfants consiste en des égratignures et des ecchymoses, le Children’s Hospital of Philadelphia rapporte que sur dix ans, une hausse de 400% des blessures aux jambes a été observée chez les enfants.

Plus précisément, ces blessures sont localisées au niveau du ligament croisé antérieur — qui aide à tenir les parties du genou ensemble — ou du ménisque — un cartilage du genou.

De plus, le nombre de tendinites et de fractures a aussi augmenté.

Afin de prévenir ces accidents, le site suggère de jouer à plusieurs sports, puisque de répéter le même exercice durant des mois peut être nocif pour le corps d’un enfant.

Également, il est important que l’enfant apprenne les bons mouvements et fasse des étirements avant de pratiquer un sport.

Rappelons qu’il est important pour les enfants de faire du sport. L’exercice peut aider à la pensée des enfants en augmentant la circulation du sang et de l’oxygène au cerveau. Il peut aussi aider à augmenter les niveaux de noradrénaline et les endorphines pour diminuer le stress et ainsi améliorer l’humeur.

D’autre part, l’activité physique permet d’augmenter les facteurs de croissance qui aident à créer de nouvelles cellules nerveuses et soutenir la plasticité synaptique.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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À quel âge les jeunes joueurs de hockey devraient avoir droit aux mises en échec?

Depuis un certain temps, il y a un débat chaud concernant l’âge auquel les jeunes joueurs devraient avoir droit de faire des mises en échec au hockey.

Alors que plusieurs soutiennent que commencer à pratiquer les mises en échec tôt permettrait d’éviter des blessures à long terme, car les enfants apprendraient davantage à développer instinctivement leur capacité à se protéger, une étude de l’Université de l’Alberta affirme le contraire, disant que l’âge précoce ne change rien aux risques de blessures commises par des mises en échec.

Pour prouver leurs dires, les chercheurs ont analysé les taux de blessures de 8000 jeunes joueurs de hockey âgés de 9 à 15 ans. Les enfants ont été divisés en deux groupes. Le premier a joué de 1997 à 2002, et c’est à l’âge de 12 ou 13 ans qu’ils ont fait leurs premières mises en échec. L’autre groupe a joué de 2003 à 2010, et les jeunes ont commencé les mises en échec à 11 ou 12 ans.

Il s’est avéré qu’il n’y avait aucune différence significative en ce qui a trait au nombre de fractures ou de blessures au cou et à la tête parmi les joueurs les plus âgés dans les deux groupes. Tout comme il n’y avait aucune différence parmi les plus jeunes qui n’avaient encore jamais fait de mises en échec.

La seule manière efficace de réduire le risque de blessures pour les jeunes joueurs de hockey serait bien sûr d’interdire les mises en échec, lancent des spécialistes.

L’étude est parue dernièrement dans le Clinical Journal of Sport Medicine.