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La vérité sur les boissons énergétiques

Un article publié sur le site LaNutrition explique qu’il existe deux sortes de ce type de boisson pour sportifs d’endurance; les boissons dites « de l’effort » et celles de recharge glycogénique.

Les premières sont généralement utilisées pour apporter l’énergie nécessaire au sportif durant l’effort.

Les deuxièmes sont des boissons dites « maltos » et doivent être consommées au court des quelques jours avant une épreuve sportive de longue durée, car elles offriraient une libération progressive de l’énergie.

Cependant, les valeurs nutritionnelles annoncées sont souvent erronées. Contrairement à ce que l’on peut lire sur la majorité des sites commerciaux, les maltodextrines ont des index de glycémie (IG) très élevés. Ces sucres vont donc fortement perturber l’organisme, en particulier quant à la sécrétion d’insuline. Cela pourrait bien évidemment nuire à la performance.

De nombreuses études ont déjà démontré qu’avant la compétition, la consommation d’un repas à IG bas favorise l’oxydation des lipides durant l’effort.

Ceci étant dit, les conseils fournis par Fabrice Kuhn, médecin et triathlonien, est d’éviter les maltos avant la compétition et de les remplacer par des aliments à index glycémique bas et dense.

Kuhn, qui est aussi coauteur du livre Nutrition de l’endurance, donne un grand nombre de solutions alimentaires aux maltos qui sont tout aussi, sinon plus, efficaces.

Vous pouvez les consulter en cliquant sur le lien suivant :

http://www.lanutrition.fr/bien-dans-sa-sante/sport/l-alimentation-du-sportif/les-pieges-des-boissons-energetiques-pour-les-sports-dendurance.html

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Boissons énergisantes, produits sous surveillance étroite depuis des années

(AFP) – Les boissons dites énergisantes contenant taurine, caféine, guarana, ginseng ou encore vitamines qui pourraient être l’objet d’une taxation sont scrutées de près par les autorités sanitaires françaises pour leurs « effets indésirables suspectés ».

L’Agence nationale de sécurité sanitaire, Anses, a appelé encore récemment « les particuliers qui auraient ressenti des effets indésirables » en consommant ces boissons à prendre contact avec des professionnels de santé pour qu’à leur tour ils lui transmettent l’information.

« Récemment, plusieurs cas ont ainsi été rapportés à l’Anses, notamment lors de consommation de ces boissons en association avec de l’alcool », a souligné l’agence en juin.

Le terme « boissons énergisantes » n’est pas encadré réglementairement et désigne des boissons censées « mobiliser l’énergie » en stimulant le système nerveux. Elles contiennent généralement des ingrédients prétendus « stimulants » comme la taurine, la caféine, le guarana, le ginseng ou encore les vitamines.

La taurine est un dérivé d’acide aminé présent naturellement dans la bile d’animaux et chez l’homme. Les effets tonifiants de cette substance découverte dans la bile de taureau au 19e siècle sont contestés par des scientifiques.

L’agence indiquait en juin avoir reçu « plusieurs signalements d’effets indésirables suspectés d’être liés à la consommation de boissons énergisantes, dont deux cas mortels ».

Il s’agissait de deux décès par crise cardiaque pour lesquels des investigations étaient « en cours », expliquait l’agence qui rappelait à l’occasion que « ces boissons étaient réservées à l’adulte et déconseillées aux femmes enceintes ».

La surveillance de ces boissons, instituée en 2008, a permis de recenser, parmi 24 cas rapportés, treize pour lesquels « un lien de causalité possible ou probable a pu être établi », selon le point diffusé en juin.

Les effets rapportés sont d’ordre cardiaque (trouble du rythme : tachycardie), neurologique (crises d’épilepsie, tremblements, vertiges) ou psychiatrique (angoisses, agitation, confusion).

Par ailleurs, « trois cas d’accidents vasculaires cérébraux et deux cas d’arrêt cardiaque — dont un mortel — ont été signalés pour lesquels le lien avec la consommation de boisson énergisante n’a pu être clairement établi », indique l’Anses dans un communiqué.

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Mélanger boissons énergisantes et alcool favoriserait les relations sexuelles libres

(Relaxnews) – Une étude américaine menée auprès de jeunes étudiants universitaires montre que ceux qui mélangent boissons énergisantes et alcool sont plus susceptibles de se laisser aller à des relations sexuelles sans lendemain.

« Le fait de mélanger boissons énergisantes et alcool peut entraîner une suralcoolisation involontaire, car la caféine minimise l’ivresse ressentie », a confié la semaine dernière Kathleen E. Miller, en charge de l’étude auprès du Research Institute on Addictions de l’Université de Buffalo à New York.

Les cocktails caféinés « ont des effets plus forts que l’alcool seul », a ajouté la chercheuse, « en d’autres termes, ils accroissent l’envie de consommer d’autres boissons, et au final on se retrouve à boire beaucoup plus ».

L’étude a pris en compte 648 étudiants, pour la plupart âgés de moins de 21 ans, en première ou deuxième année d’université.

Cette étude a montré que 29,3 % des étudiants actifs sexuellement avaient consommé des cocktails caféinés au cours du mois précédant l’étude. Par ailleurs, 45,1 % des sondés ont reconnu que leur dernière relation sexuelle avait été sans lendemain; 24,8 % étaient sous l’emprise d’alcool et de boissons énergisantes. Enfin, 43,6 % ont reconnu ne pas avoir utilisé de préservatif.

Ces résultats seront publiés dans la revue Journal of Caffeine Research.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Mieux vaut éviter les boissons énergisantes

Les boissons énergisantes ne sont pas des boissons à privilégier. L’Association française des diététiciens et des nutritionnistes (AFDN) recommande non pas seulement la prudence avec les boissons énergisantes, alors qu’il vaudrait même mieux éviter le plus possible d’en consommer.
 
Très populaires chez les moins de 35 ans, ces boissons contiennent de nombreuses substances excitantes comme la caféine et le ginseng.
 
Il y a quelques jours, on apprenait que boissons énergisantes et alcool ne faisaient pas bon ménage. On a rapporté quelques cas d’effets indésirables, et dans deux cas, cela s’est même avéré mortel.
 
Comme effets indésirables, on parle d’effets cardiologiques, comme une crise cardiaque mortelle, d’effets neurologiques, comme l’épilepsie, le coma et la désorientation, d’effets psychiatriques, comme des troubles du comportement, et d’une insuffisance rénale.
 
Les boissons énergisantes mobilisent l’énergie en stimulant le système nerveux. Ce type de boisson contient habituellement des sortes de stimulants comme de la caféine, de la taurine, du guarana, du ginseng ou des vitamines.
 
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Boissons énergisantes et alcool : un très mauvais mélange

L’Agence nationale de sécurité sanitaire en France met en garde les gens sur les dangers possibles liant la consommation de boissons énergisantes avec de l’alcool.
 
On a rapporté récemment quelques cas d’effets indésirables, et dans deux cas, cela s’est même avéré mortel.
 
Comme effets indésirables, on parle d’effets cardiologiques, comme une crise cardiaque mortelle, d’effets neurologiques, comme l’épilepsie, le coma et la désorientation, d’effets psychiatriques, comme des troubles du comportement, et d’une insuffisance rénale.
 
Les boissons énergisantes mobilisent l’énergie en stimulant le système nerveux. Ce type de boisson contient habituellement des sortes de stimulants comme de la caféine, de la taurine, du guarana, du ginseng ou des vitamines.
 
Le mélange avec de l’alcool peut donc s’avérer explosif. Ces deux types de consommations sont donc fortement déconseillés ensemble.
 
Les personnes qui auraient des effets indésirables devraient consulter un professionnel de la santé rapidement.
 
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Réduction de la caféine dans les boissons énergisantes

Le Canada veut ainsi réduire le risque de surconsommation de caféine et d’ingrédients tels que les vitamines.

Les boissons énergisantes étaient considérées jusqu’à maintenant comme produits de santé naturels (PSN). Les fabricants n’étaient donc pas obligés d’afficher un tableau de la valeur nutritive sur les canettes.

Après le changement, la plupart de ces boissons seront légalement reconnues comme aliments, comme elles le sont dans d’autres pays comme les États-Unis et l’Europe. Le tableau de la valeur nutritive apparaîtra donc sur chaque canette, et l’Agence canadienne d’inspection des aliments sera responsable de l’inspection.

En vertu de ces nouvelles mesures, Santé Canada exigera une limite de la teneur en caféine dans les boissons énergisantes fixée à 180 mg par canette (l’équivalent d’environ un café moyen).

L’étiquetage devra aussi être modifié. En plus des indications actuelles, l’étiquette devra dévoiler la teneur totale en caféine du produit. L’ajout d’informations nutritionnelles, de renseignements sur les ingrédients et les allergènes, les types et les proportions de vitamines et de minéraux devront aussi figurer sur les contenants.

Finalement, une mise en garde indiquant de ne pas consommer le produit avec de l’alcool devra aussi être affichée.

Les boissons énergisantes devraient répondre aux nouvelles exigences dans les 18 à 24 prochains mois.

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Le dilemme des boissons énergisantes

Selon ce qu’a appris Postmedia, Santé Canada s’apprêterait à changer l’appellation des boissons énergisantes pour une appellation nettement plus contraignante, faisant référence à une « drogue stimulante contenant de la boisson ».

En novembre dernier, un rapport présenté à Santé Canada recommandait de modifier l’appellation des boissons énergisantes telles Red Bull, Rockstar et Monster, entre autres.

Malgré cette recommandation, Santé Canada hésite à aller de l’avant. La pression de l’industrie n’est pas étrangère à cette situation. Le lobby de l’industrie est puissant et dispose de sommes considérables.

Si le Canada allait de l’avant, il devrait défendre cette position, car il créerait un précédent international. Si Santé Canada ne bouge pas, elle sera critiquée de ne pas écouter les recommandations de ses propres experts.

Le contenu élevé en caféine de certaines boissons énergisantes est au centre de toute cette controverse. Ces boissons sont pour le moment régies comme étant des produits de santé naturelle.

Malgré que ce soit une catégorie relativement nouvelle dans le secteur des boissons, les boissons énergisantes représentaient déjà 4 p. 100 du total du marché canadien des boissons gazeuses en 2008. Agriculture Canada prévoit que les ventes de boissons énergisantes atteindront 375,2 millions en 2011.

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Le dilemme des boissons énergisantes

Selon ce qu’a appris Postmedia, Santé Canada s’apprêterait à changer l’appellation des boissons énergisantes pour une appellation nettement plus contraignante, faisant référence à une « drogue stimulante contenant de la boisson ».

En novembre dernier, un rapport présenté à Santé Canada recommandait de modifier l’appellation des boissons énergisantes telles Red Bull, Rockstar et Monster, entre autres.

Malgré cette recommandation, Santé Canada hésite à aller de l’avant. La pression de l’industrie n’est pas étrangère à cette situation. Le lobby de l’industrie est puissant et dispose de sommes considérables.

Si le Canada allait de l’avant, il devrait défendre cette position, car il créerait un précédent international. Si Santé Canada ne bouge pas, elle sera critiquée de ne pas écouter les recommandations de ses propres experts.

Le contenu élevé en caféine de certaines boissons énergisantes est au centre de toute cette controverse. Ces boissons sont pour le moment régies comme étant des produits de santé naturelle.

Malgré que ce soit une catégorie relativement nouvelle dans le secteur des boissons, les boissons énergisantes représentaient déjà 4 p. 100 du total du marché canadien des boissons gazeuses en 2008. Agriculture Canada prévoit que les ventes de boissons énergisantes atteindront 375,2 millions en 2011.

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Les boissons énergisantes : un danger pour les musiciens?

Les musiciens sont souvent des amateurs de boissons énergisantes en raison de leurs heures de travail tardives et de leur manque de sommeil notamment.
 
Une étude menée par l’Université de Buffalo établit ainsi un lien entre la consommation de ce type de boissons et une consommation excessive de médicaments, de drogues et d’alcool chez les musiciens.
 
Selon le Journal of Caffeine Research, on a examiné des musiciens professionnels et amateurs de New York âgés de 18 à 45 ans.
 
57 % étaient des amateurs de boissons énergisantes. Parmi ceux-ci, 31 % faisaient un usage récréatif de médicaments, comparativement à seulement 13 % chez ceux qui ne prenaient pas les boissons énergisantes. 76 % des accros aux boissons énergisantes, disaient consommer beaucoup d’alcool, alors qu’ils étaient 59 % chez ceux qui n’en buvaient pas.
 
De plus, plusieurs ont affirmé consommer de la drogue. Il s’agissait de marijuana pour 52 %, de psychotropes pour 25 %, de médicaments pour 23 % et de cocaïne pour 21 % de ces musiciens.

Soulignons qu’au printemps dernier, 15 États américains ont interdit la vente de la boisson Blast by Colt 45 du rappeur Snoop Dogg. Une canette de 700 ml contient 12 % d’alcool, soit l’équivalent de six canettes de bière. On accusait donc le chanteur d’encourager la consommation excessive d’alcool chez les jeunes.

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Les boissons énergisantes favorisent la prise de poids

Le Daily Mail rapporte que donner des boissons énergisantes à des enfants favorise un gain de poids, car ils ne sont pas assez actifs pour brûler les calories supplémentaires.
 
De plus, les chercheurs rappellent que le plus gros problème caché de ce type de boisson est le taux extrêmement élevé de caféine, soit 14 fois plus que dans les boissons gazeuses. Ce niveau est pratiquement toxique, encore plus pour les enfants.
 
C’est connu, la caféine est un stimulant lié aux convulsions, au diabète, aux problèmes cardiaques et aux troubles de comportement.
 
On recommande donc fortement que les enfants ne consomment pas de boissons énergisantes et qu’ils privilégient toujours l’eau, les jus de fruits ou le lait faible en gras avec les repas.