Un homme de 81 ans qui est resté coincé pendant près d’une semaine dans un banc de neige est parvenu à survivre en se nourrissant de croissants, de bonbons et de biscottes.
C’est le 24 février dernier que Jerry Jouret, un octogénaire, a quitté sa maison de Big Pine, en Californie, afin de retourner à sa maison familiale à Gardnerville, au Nevada.
Même si une tempête de neige était sur le point de s’abattre sur l’État, M. Jouret a décidé de tenter sa chance en effectuant le trajet qui dure au moins trois heures de route.
Au grand malheur de M. Jouret, ce dernier a finalement dérapé avec son VUS, puis le véhicule est resté coincé dans une butte de neige.
Christian, le petit-fils de M. Jouret, a expliqué à CNN au sujet de son père: «Il est plutôt petit. Il n’a pas beaucoup de viande sur ses os.»
Comme l’a expliqué Christian, son grand-père a donc survécu en mangeant les collations qui se trouvaient dans la voiture, tandis qu’il a mangé de la neige en ouvrant sa fenêtre afin de s’hydrater.
Le grand-père a aussi pris le soin d’économiser l’essence et la batterie de son véhicule afin de pouvoir se réchauffer de façon strictement périodique.
C’est grâce à une mince couette et une serviette de bain d’hôtel qui se trouvaient dans la voiture que M. Jouret a pu se réchauffer.
Il faut savoir que lors de cette tempête qui a frappé la Californie, environ 3 pieds (91 centimètres) de neige sont tombés.
Comme les routes étaient enneigées et que plusieurs personnes étaient bloquées, M. Jouret a dû attendre longtemps avant même de pouvoir espérer que des passants puissent lui venir en aide.
La batterie de la voiture de M. Jouret a cessé de fonctionner au troisième jour alors qu’il remontait la vitre électrique. Celle-ci est demeurée ouverte de quelques centimètres jusqu’à la fin de son aventure.
Le bureau du shérif du comté d’Inyo a annoncé le 28 février avoir reçu «un appel pour une personne disparue», puis des équipes de recherche et de sauvetage du comté ont commencé à planifier des missions de recherche pour le jour suivant.
Des problèmes de sécurité causés par la tempête hivernale ont toutefois retardé les missions de recherches et ainsi, ce n’est que le 2 mars qu’une sonnerie de téléphone portable identifiée par une équipe de la California Highway Patrol a aidé à réduire la zone de recherche.
La voiture de M. Jouret a enfin été repérée par des équipages d’hélicoptères qui ont été déployés.
M. Jouret a été hospitalisé quelques heures, mais comme l’a indiqué son petit-fils, l’octogénaire se porte très bien malgré sa mésaventure: «Les infirmières étaient sous le choc de la qualité de ses signes vitaux.»
Signalons enfin qu’après sa sortie de l’hôpital, M. Jouret a dû prendre l’autobus pour aller rejoindre sa femme puisque le VUS du couple est toujours coincé dans la neige.
Si vous êtes à la recherche d’un emploi, nous en avons trouvé un particulièrement intéressant pour vous : testeur professionnel de bonbons pour une entreprise canadienne!
Eh oui, l’entreprise Candy Funhouse, fondée en 2018 près de Toronto, a publié une offre d’emploi tout à fait alléchante permettant de devenir « Officier en chef des bonbons » (Chief Candy Officer).
Cet emploi, qui se fait à partir de la maison, permettrait de gagner un salaire de 100 000$ par année et de déguster de délicieux bonbons. Tout le monde peut appliquer, même les enfants de 5 ans et plus (avec une autorisation et une surveillance parentales, évidemment). N’est-ce pas un emploi de rêve ?!
Parmi les tâches demandées, il y a notamment celle de goûter aux bonbons, mais aussi de diriger des réunions du « conseil des bonbons », être le testeur en chef de l’entreprise et plusieurs autres choses amusantes.
Depuis l’annonce de l’offre d’emploi en juillet dernier, plusieurs milliers de personnes auraient déjà appliqué. Nul doute que Candy Funhouse trouvera prochainement son nouvel Officier en chef des bonbons!
Les données récoltées font un constat alarmant. Entre 2001 et 2009, aux États-Unis seulement, plus de 112 000 cas d’enfants étouffés avec des aliments ont été soignés aux urgences. Cela n’inclut donc pas tous les autres cas que les parents ou autres intervenants réussissent à régler à la maison!
On pense souvent à tort que les noyaux de fruits sont très fréquemment responsables de ces étouffements. Or, ce sont les bonbons, durs ou mous et incluant les gommes à mâcher, qui sont en tête de liste. Avec 27,8 % du total des cas répertoriés, c’est donc plus de 4000 enfants annuellement, âgés en moyenne de 4 à 5 ans, qui sont transportés d’urgence à l’hôpital.
À la lumière de ces résultats, les spécialistes recommandent fortement d’éviter de donner des bonbons et gommes à mâcher aux enfants de moins de 5 ans. Une suggestion logique qui pourrait éviter nombre de cas d’étouffement, et donc diminuer les risques associés de complications, allant jusqu’au décès.
Voici quelques idées si vous cherchez des solutions de rechange qui plairont tout de même aux petits! Liste compilée par le magazine Canadian Family.
1. Des tatouages temporaires : Les enfants les adorent, presque autant qu’ils aiment les bonbons! De plus, ils ne sont vraiment pas chers, ils sont faciles à appliquer, faciles à enlever, et ils ne provoqueront aucune carie.
2. Des autocollants : Peut-être plus populaires auprès des petits enfants que des grands, les autocollants, surtout s’ils sont très attrayants visuellement, sont une valeur sûre.
3. Des bracelets phosphorescents : Non seulement les enfants trouveront qu’ils sont super cools, mais la plupart s’en serviront probablement immédiatement, afin d’être plus visibles dans les rues pendant leur tournée. Ceux-ci durent jusqu’à 4 heures.
4. Des bulles : Un petit contenant de liquide qui fait des bulles sera certainement remarqué et apprécié dans le sac d’Halloween.
5. De petits cahiers de notes : Ils sont pratiques, en plus de plaire aux enfants. Ils aimeront y faire des dessins ou y écrire tous leurs petits secrets.
Les nanoparticules de dioxyde de titane (TiO2) sont le nouveau cauchemar des parents. Les enfants en consommeraient notamment en mangeant des bonbons et autres douceurs, rapporte le site Santelog.com.
Dans les friandises, ce n’est pas le sucre qui est cette fois-ci montré du doigt par les scientifiques, mais bien la teneur en nanoparticules de dioxyde de titane. Les enfants en consommeraient plus que les adultes, car ils mangent régulièrement des bonbons.
Les sucreries sont parmi les produits qui ont le plus fort taux de dioxyde de titane, indique une nouvelle étude publiée dans Environmental Science & Technology, la revue de l’American Chemical Society.
Le Pr Paul Westerhoff de l’Arizona State University et son équipe indiquent que le dioxyde de titane se retrouve dans de nombreux produits de consommation comme les dentifrices ou encore les crèmes solaires.
Le dioxyde de titane sous forme nanoparticulaire est classé cancérigène possible pour l’homme par le Centre International de Recherche sur le Cancer depuis 2007.
Soulignons que la plupart des shampooings et déodorants contiennent les niveaux les plus bas en titane.
Au point de vue de la santé physique, les pommes sont un meilleur choix que les friandises ou les boissons gazeuses, mais pour les dents, c’est une autre histoire.
Des chercheurs du King’s College London Dental Institute affirment que les pommes sont quatre fois plus nocives pour les dents que les boissons gazeuses.
Ce fruit augmente l’acidité dans la bouche, ce qui est dommageable pour l’émail des dents. Par contre, les pommes contiennent aussi du calcium, qui renforce les os et les dents.
Selon certains experts, il ne s’agit pas de ce que l’on mange, mais plutôt de la façon dont on le mange. Ainsi, manger une pomme lentement donne plus de temps à l’acidité de causer des dommages, rappelle MedicMagic.
D’autres aliments qui endommagent les dents sont les boissons, le vin, la bière et les jus de fruits, qui augmentent les risques de caries. Les barres de céréales contiennent souvent beaucoup de sucre également.
La gomme à mâcher fait l’objet d’une controverse, alors que certains dentistes affirment qu’elle est nocive pour les dents, et d’autres disent qu’elle réduit la carie dentaire.
Cependant, une habitude qui devrait être délaissée est de se brosser les dents immédiatement après avoir mangé, car cela endommage l’émail. Il est plutôt recommandé d’attendre environ une trentaine de minutes avant de le faire.
Une étude qui fait sourire, mais qui demeure inquiétante nous rappelle que les médicaments doivent être rangés de manière sécuritaire.
On lit sur EurekAlert! que des enfants de la maternelle n’avaient pas pu différencier des bonbons de médicaments, dans une mesure d’un sur quatre. Ce qui est d’autant plus éloquent, c’est que leur enseignant n’avait pas mieux réussi : un sur cinq n’avait pas pu faire la différence.
Dans le cadre de cette expérimentation, on présentait un mélange de 20 bonbons et médicaments. En prenant en considération que les enfants ne savaient pas encore lire, 30 jeunes élèves et 30 enseignants se sont prêtés au jeu.
L’erreur se faisait souvent en raison de l’apparence des médicaments : ils sont souvent très colorés, lustrés et de forme ronde.
Finalement, le taux de réussite était sensiblement le même pour les adultes et pour les enfants, avec respectivement 78 % et 71 %.
Une étude dont on devine la controverse suggère qu’on ne devrait pas empêcher nos enfants de manger des bonbons. Ceux qui en mangent, qu’ils soient enfants ou adolescents, ont tendance à être plus minces que les autres.
Précisément, ils seraient moins enclins à être obèses ou à accuser un surpoids. Les responsables de cette étude du Centre agricole de l’Université d’État de la Louisiane insistent toutefois sur le fait que cette relation ne doit pas être prise au pied de la lettre.
Les bonbons ne devraient jamais remplacer les éléments d’une saine alimentation, mais il semble qu’un petit spécial peut encourager la modération et, bien sûr, procurer du bonheur.
On peut lire les résultats de cette recherche dans Food & Nutrition Research. Il est certain qu’elle fera partie du débat actuel sur l’obésité infantile, laquelle est en hausse inquiétante dans nos sociétés modernes.
Lors de la rencontre annuelle de la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis, des spécialistes ont statué que les colorants alimentaires rendent les enfants hyperactifs.
Selon Medical News Today, on a tiré cette conclusion à la suite d’une revue de plusieurs données recueillies sur le sujet. Il semble qu’il y ait suffisamment de preuves pour avancer un lien entre les colorants chimiques et l’hyperactivité.
On prévoit déjà des actions quant à ces substances, voire qu’elles deviennent toutes interdites.
Les colorants sont pourtant omniprésents dans l’alimentation des enfants. On en retrouve dans les céréales, les jus, les bonbons, le yogourt, de même que dans des centaines d’autres produits.
Nous ingérons 5 fois plus de colorants que dans les années 50. Il y aurait donc un lien entre cette augmentation et l’explosion du nombre de cas d’hyperactivité chez les enfants.
