Catégories
Uncategorized

Les friandises sont bonnes pour le coeur et l’humeur

Vos enfants ont fait le plein de friandises hier lors de la soirée d’Halloween? Ne soyez pas découragés. Selon le magazine Psychology Today, les sucreries peuvent être bonnes pour la santé, dans la mesure où l’on n’en abuse pas.
 
Le magazine a dressé une liste de raisons pour manger des bonbons. Ainsi, on mentionne que selon une étude de l’école de la santé publique de l’Université Harvard, les personnes qui mangent régulièrement des friandises, soit quelques fois par mois, vivent plus longtemps que les autres.
 
Aussi, une dose de sucre permet de retrouver un peu de votre concentration et de votre volonté, rappelle une autre étude, de l’Université de la Floride cette fois.
 
Des recherches scientifiques ont également démontré que mâcher de la gomme améliore l’humeur et la concentration, diminue le stress et freine la douleur.
 
Finalement, on le sait depuis longtemps maintenant, le chocolat est bénéfique pour la santé. Manger du chocolat permet de réduire les maladies cardiovasculaires et la tension.
 
Bien entendu, les experts rappellent que pour bénéficier des bienfaits des sucreries, il faut en manger avec modération.
Catégories
Uncategorized

Les sucreries mèneraient à la violence

Le British Journal of Psychiatry a dévoilé les résultats d’une étude controversée sur les effets de l’alimentation des enfants sur leur comportement une fois à l’âge adulte.

Des chercheurs de l’Université de Cardiff, au pays de Galles, ont analysé 17 415 Britanniques nés en 1970. Ils ont conclu que les enfants de 10 ans qui mangeaient des bonbons ou du chocolat tous les jours avaient un taux de condamnation pour violence plus élevé lorsqu’ils étaient âgés de 29 à 34 ans.

Parmi ces personnes violentes, 62 % avaient mangé des sucreries presque quotidiennement durant leur enfance. Chez les personnes non violentes, 42 % avait reçu leur dose quotidienne de sucre.

On explique ce comportement en mentionnant que donner des sucreries aux enfants tous les jours les empêche d’apprendre à patienter pour obtenir ce qu’ils veulent et cela les pousse à avoir un comportement impulsif.

Toutefois, cette étude est décrite comme totalement absurde par la Fédération britannique des industries alimentaires et boissons. Selon elle, la violence découle de facteurs beaucoup plus profonds, comme l’environnement et l’éducation.