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Comment rendre son enfant heureux

Faites-le se sentir en sécurité : Avec l’amour, il s’agit peut-être du sentiment le plus fondamental pour les jeunes enfants. Ils ont besoin de savoir qu’ils peuvent compter sur vous. Ça peut être fait par le contact physique, l’établissement d’une routine et une attitude à la fois aimante, ferme et régulière.

Montrez lui à quel point il est précieux pour vous : Cela lui donnera confiance en lui et lui fera comprendre que vous l’aimez tel qu’il est.

Complimentez-le… spécifiquement : Il ne faut pas est avare de compliments et d’éloges, mais en même temps, il ne faut pas en faire trop. On fait donc des compliments ciblés, par exemple : « Bravo pour avoir bien écouté ce que maman t’a dit! »

Critiquez de la même façon : Encore une fois, l’enfant ne doit jamais avoir l’impression que c’est lui qui est en cause, mais simplement son comportement ou une attitude.

Aidez-le à accepter ses échecs : C’est une des plus belles leçons de la vie, qui leur apprend également à persévérer et à apprécier encore plus les réussites.

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Consommer plus de fruits et légumes contribuerait au bonheur

(Relaxnews) – Une étude britannique de l’Université de Warwick a montré que plus les sujets consommaient des fruits et légumes, plus ils étaient heureux.

Pour leur étude, les scientifiques britanniques et ceux du Dartmouth College américain ont analysé les habitudes alimentaires de 80 000 Anglais et ont noté que leur bien-être culminait à sept portions par jour.

Il est vrai que la consommation de produits frais est très limitée au Royaume-Uni. Les chercheurs ont noté qu’un quart de la population en mangeait à peine une portion (voire moins) au quotidien, pendant qu’un dixième des Anglais consommerait sept portions par jour. Une portion représente environ 80 g.

Les résultats complets de cette étude paraîtront dans la prochaine édition de Social Indicators Research.

Par ailleurs, des recherches publiées dans le British Medical Journal ont montré que la consommation de légumes verts peut considérablement réduire le risque de développer du diabète de type 2, le diabète sucré.

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Le gène du bonheur serait réservé aux femmes

Généralement, les femmes se disent plus heureuses que les hommes. Des chercheurs de l’University of South Florida pourraient en avoir trouvé la raison.
 
Selon les résultats de leurs travaux, publiés dans le Progress in Neuro-Psychopharmacology & Biological Psychiatry, le gène A (MAOA), ou monoamine oxidose A, est lié au sentiment de bonheur et rendrait les femmes plus heureuses. Seulement, chez les hommes, ce gène n’a pas le même effet.
 
« C’est le gène premier du bonheur pour les femmes. J’ai été surpris par ce résultat parce que cette même expression du gène MAOA a déjà été associée à des comportements négatifs, comme l’alcoolisme, l’agressivité et un caractère antisocial. MAOA a même été appelé le “gène guerrier” par certains scientifiques, mais, du moins pour les femmes, ce gène montre ici un rôle plus positif », a déclaré l’auteur principal, le Dr Henian Chen.
 
Le MAOA régule l’activité d’une enzyme qui décompose certains neurotransmetteurs dans le cerveau. Un faible niveau de MAOA favorise une augmentation de la monoamine et accentue donc ces neurotransmetteurs, ce qui permet d’améliorer l’humeur.
 
On croit aussi que le niveau de testostérone inférieur chez les femmes pourrait aussi jouer un rôle.
 
On demande donc d’autres études approfondies sur le bonheur, autant qu’il y en a sur les troubles d’anxiété et de dépression.
 
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De bonnes relations sociales à l’adolescence liées au bonheur une fois adulte

Après avoir suivi 804 jeunes Néo-Zélandais jusqu’à l’âge de 32 ans, les chercheurs de l’Université Deakin en Australie ont découvert que les bonnes relations sociales durant la jeunesse étaient étroitement liées au bonheur et au bien-être à l’âge adulte.
 
Les liens sociaux seraient donc de meilleurs prédicateurs de bonheur plus tard, car les bons résultats scolaires, eux, n’influençaient pas le bonheur une fois adulte, d’après l’étude parue dans le Journal of Happiness Studies.
 
Mais n’ayez crainte si vos enfants sont plus solitaires. Des études ont prouvé que le bonheur pouvait évoluer tout au cours d’une vie, donc ils peuvent aussi atteindre l’épanouissement, même s’ils sont plus retirés durant leur jeunesse.
 
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La trisomie ne brime pas une vie familiale

Plus de 332 parents vivant ou ayant vécu avec 272 enfants atteints de trisomie 13 ou 18 ont été interrogés dans le cadre d’une étude réalisée par la Dre Annie Janvier, du Centre universitaire de l’Hôpital Sainte-Justine et de l’Université de Montréal, et par Barbara Farlow, mère d’un enfant décédé de la trisomie 13.

Alors que les enfants atteints de trisomie 13 et 18 ont une espérance de vie courte et sont gravement handicapés, la majorité des parents se sont fait dire par les spécialistes que leur vie ne serait pas facile.

Parmi les parents, 87 % confirment qu’un professionnel de la santé leur a déjà dit que leur enfant serait « incompatible à leur vie », 50 % que leur petit serait « légume », 57 % auraient une « vie de souffrance », et 23 % se sont même fait dire que leur bébé « ruinerait leur vie familiale ou leur couple ».

Cependant, il s’avère que 97 % d’entre eux considèrent que leur enfant est ou était heureux, et que sa présence a enrichi la vie de leur famille et leur vie de couple, indépendamment de sa durée de vie.

Généralement, les enfants trisomiques (13 et 18) ne survivent pas au-delà de leur première année de vie. Ceux qui réussissent à passer ce cap ont une incapacité grave et une vie courte.

Plusieurs parents décident d’interrompre la grossesse lorsqu’ils reçoivent un diagnostic de ce genre. Ceux qui donnent naissance à un enfant dans cette condition sont souvent jugés et étiquetés par la société et même par les professionnels de la santé, confient les parents interrogés.

Barbara Farlow espère que « les résultats amélioreront la capacité des médecins à comprendre, communiquer et prendre des décisions avec ces parents ».

La trisomie 13 ou 18 est rare, elle touche environ un cas sur 10 500 naissances.

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Le respect des autres est la clé du bonheur

Des chercheurs en psychologie sociale de l’Université de Berkeley se sont penchés sur le statut économique et sociométrique des gens.
 
Après avoir mené des expériences, on constate que ce n’est pas l’argent qui procure un bonheur durable, mais bien le statut sociométrique, c’est-à-dire la place que nous occupons, l’image que nous avons, mais surtout le respect que nous suscitons dans notre entourage, qui a le plus d’impact sur la satisfaction personnelle, rapporte Le Figaro.
 
Le fait que l’on se sent admiré ou respecté dans notre entourage, que ce soit par nos amis, collègues ou même voisins, procure un sentiment de bien-être plus grand et durable que d’avoir plus d’argent. C’est la conclusion que tirent les chercheurs après leur recherche.
 
« Toutes ces recherches démontrent aujourd’hui l’importance du statut local pour être heureux. Le respect qu’une personne fait naître au niveau local détermine comment elle se sent globalement dans sa vie », indiquent les chercheurs.
 
D’autres études seront effectuées sur le sujet pour découvrir en quoi exactement le statut sociométrique procure une plus grande satisfaction.
 
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Les parents sont plus heureux que les autres

Alors que c’était la croyance des dernières décennies, les résultats de deux études parues dans le USA Today émettent le contraire.

« Nous ne trouvons aucune preuve que le bien-être des adultes diminue une fois qu’ils deviennent parents. Nous avons même découvert des preuves solides que le bien-être est élevé lorsque les gens planifient une grossesse et attendent leur premier bébé », affirme l’un des auteurs, Mikko Myrskylä, de l’Institut Max Planck pour la recherche démographique à Rostock, en Allemagne.

En effet, il semblerait que « le bonheur pour les parents augmente de beaucoup au premier enfant, de peu au deuxième, et pas du tout au troisième », avance Myrskylä.

L’âge des parents influencerait également le niveau de joie et de bien-être. Les jeunes parents auraient un niveau de bonheur moins élevé que ceux qui ont un âge plus avancé.

Les parents seraient relativement plus heureux que les non-parents, car au fil des ans, le bonheur des non-parents diminue tout simplement, évaluent les experts.

Pour en arriver à ces conclusions, les niveaux de bonheur de 130 000 adultes dans le monde entier, dont plus de 52 000 parents avant et après la naissance de leur enfant, ont été comparés lors d’une étude à long terme.

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Ces parents qui regrettent d’avoir eu des enfants

« Si c’était à refaire, je ne le ferais pas » et « Sans enfant, je suis beaucoup plus heureux » sont des citations que vous avez peut-être déjà entendues dans votre entourage.

Ces mots prennent tout leur sens avec un sondage réalisé par RTL.be/Ivox en Belgique. Cette enquête a permis d’établir que 13 % des parents belges — et probablement une proportion équivalente dans d’autres pays — regrettent leur choix de vie.

Il semblerait même que le temps n’arrange pas les choses, car il y aurait plus de remords chez les parents plus âgés. Parmi ces 13 % de parents qui déplorent la parentalité, 6 % sont de jeunes parents de moins de 30 ans, et 14 % ont de 30 à 49 ans.

Il a été démontré que le niveau d’études pouvait également avoir un impact sur la façon dont était vécu le rôle de parents. En effet, ce sont 17 % des parents au niveau d’éducation plus faible qui regrettent, contre moins de 10 % des parents au niveau d’éducation plutôt élevé.

Alors que la société dresse un tableau parfait de la famille, du bonheur d’avoir des enfants et du sentiment de réalisation que la parentalité peut apporter à un couple, une mère de deux enfants, Corinne Maier, déçue par la maternité, a écrit le livre No Kid : quarante raisons de ne pas avoir d’enfant.

Pour ceux et celles qui se sentiraient jugés, anormaux ou qui aimeraient se comparer pour se consoler, découvrez les différentes raisons valables de ne pas procréer, selon cette auteure.

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L’alcool, la malbouffe et le tabac rendent les adolescents malheureux

5 000 jeunes ont été interrogés sur leur apparence, leur famille, leurs amis, l’école et leur vie dans l’ensemble et selon ce que rapporte le Daily Mail, les jeunes qui n’ont jamais consommé de l’alcool sont entre quatre et six fois plus susceptibles d’être heureux que ceux qui en ont pris.                        

Ceux qui se sont abstenus de fumer la cigarette sont quant à eux cinq fois plus susceptibles d’avoir une meilleure cote de bonheur.
 
Cette étude confirme donc que les habitudes de vie malsaines sont étroitement liées au niveau de bonheur, et ce, même en tenant compte du revenu familial et de l’éducation des parents.
 
Au niveau de la consommation d’alcool dans le dernier mois, 8 % des jeunes de 11 et 12 ans ont déclaré en avoir pris et 41 % chez les 13-15 ans.
 
Toutefois, les jeunes qui consomment le plus de fruits et légumes et qui font du sport sont plus heureux.
 
Les résultats démontrent également que pour les 13-15 ans, seulement 11 % disent consommer cinq portions de fruits et légumes quotidiennement. 
 
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Qu’est-ce qui fait le bonheur d’un enfant?

On lit sur Bioscholar.com une recherche ayant porté sur le bonheur des enfants. Les principaux intéressés ont répondu à différentes questions sur les attentes et leurs besoins. La liste du bonheur qui en découle comprend 10 points. En voici un aperçu.

Il semble que la consommation est au cœur des attentes des enfants d’aujourd’hui. Ainsi, les enfants voient en la possession de vêtements dernier cri un élément clé de leur bonheur.

Avoir un iPod ou un autre appareil technologique se classe en quatrième position, ce qui dénote que les enfants considèrent aussi ce point comme un indice du bonheur. Dix-sept pour cent des enfants de l’étude souhaitent d’ailleurs en posséder un.

Dans le même ordre d’idée, 18 % des jeunes répondants considèrent que recevoir de l’argent de poche les rend plus heureux.

On constate donc, à la lecture de ces résultats, que les enfants d’aujourd’hui semblent confondre « satisfaction des besoins » et « bonheur ».