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Le bonheur = longévité

Une nouvelle étude parue dans Proceedings of the National Academy of Sciences confirme que le bonheur rime avec longévité.
 
3800 personnes âgées de 52 à 79 ans ont participé à cette étude. Celles qui évaluaient leur bonheur à un niveau plus élevé étaient moins susceptibles de mourir dans les cinq ans suivants.
 
Même après avoir pris en compte d’autres facteurs comme l’âge, la maladie et le style de vie, les personnes les plus heureuses avaient 35 % moins de risques de décéder dans les années subséquentes.
 
Bien qu’il n’existe aucune preuve que le bonheur est directement lié à une longévité accrue, cela relie parfaitement de précédentes études qui mentionnaient que le bien-être et une attitude positive pouvaient aider à prolonger la vie.
 
Cinq ans après l’étude, seulement 3,6 % des personnes s’étant dites heureuses étaient décédées. Chez les moyennement heureuses, il y avait eu 4,6 % de décès et chez les gens moins positifs, on notait 7,3 % de morts.
 
Même en considérant d’autres facteurs comme le taux de dépression, le niveau de santé physique et le niveau de richesse, on conclut tout de même que le tiers des personnes heureuses sont moins susceptibles de mourir plus jeunes.

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Être parent rend-il heureux?

Les résultats d’un sondage mené auprès de 10 000 couples quant à leur bonheur d’avoir des enfants ne se sont pas révélés ceux auxquels on s’attendait. Alors que l’on croit généralement qu’être parent nous aidera à trouver le bonheur, la réalité ne serait pas si rose.

Ainsi, comme on lit dans Libération, il semble que « [l]e fait d’avoir un bébé donne une probabilité de répondre un peu plus négativement à la question sur le niveau de satisfaction dans la vie. »

Bien que les couples aient répondu vivre une satisfaction générale quant à leur vie, une nuance s’est immiscée lorsqu’il a été question de la venue d’un enfant. La raison semble être que la vie en est alors transformée : difficultés budgétaires, horaires changés, maison soudain trop petite, etc.

Les résultats de ce sondage effectué par l’INSEE sont donc à comprendre selon plus d’un angle. Il semble, en fait, que les parents sont très heureux d’avoir des enfants, mais que cette nouvelle vie apporte malgré elle quelques difficultés.

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Le gène du bonheur

Translational Psychiatry vient de présenter une étude s’interrogeant encore une fois la possibilité d’un gène du bonheur. Il semble qu’un enfant présentant un gène « plus triste » en viendrait quand même à voir les choses du bon côté si son éducation se fait dans l’amour et l’harmonie.

Parmi 1900 enfants présentant une variation génétique qui les prédisposait à avoir de plus faibles taux de sérotonine au cerveau, ceux qui vivaient avec des parents positifs ont eu plus tendance à maintenir des émotions heureuses.

Rappelons-nous qu’un faible taux de sérotonine cérébral peut mener à une humeur plus sombre. Ainsi, ceux qui étaient prédisposés à ce type d’humeur, mais qui n’avaient pas reçu le soutien parental mentionné, avaient démontré moins d’émotions positives que les autres.

On reconnaît donc que le rôle parental est primordial. Si notre enfant a un tempérament plus difficile, l’éducation parentale peut faire toute la différence.

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Un mariage heureux est bon pour le coeur

Un mariage heureux est bon pour le cœur, rapporte le journal The Health Psychology.
 
Les personnes mariées et heureuses qui ont subi une chirurgie cardiaque s’en sortent mieux que les personnes malheureuses ou célibataires.
 
L’étude menée à l’Université de Rochester aux États-Unis démontre que 83 % des femmes mariées et heureuses en ménage qui avaient eu un pontage ont survécu 15 ans, comparativement à seulement 28 % de celles malheureuses en union et 27 % des célibataires.
 
Les experts croient que le fait d’être marié encourage à adopter de saines habitudes de vie. De plus, le bonheur au sein du couple est synonyme de beaucoup moins de stress également. Cela est donc bon pour le cœur et la santé en général.
 
Par le passé, on a démontré qu’une union heureuse pouvait aussi augmenter l’espérance de vie.
 
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Les personnes religieuses seraient plus heureuses

En cas de conflits ou de difficultés, les personnes religieuses arriveraient mieux à survivre et à continuer à être heureuses que les personnes athées.

C’est ce qui ressort d’une étude de l’University of Illinois parue dans le Journal of Personality and Social Psychology.

Les chercheurs ont analysé des données recueillies entre 2005 et 2009 auprès de personnes provenant de 150 pays. Elles parlaient de leur religion, du soutien affectif qu’elles avaient et de leur satisfaction de la vie.

Apparemment, la religion apporterait un soutien affectif en cas de besoin, et les croyants se sentiraient valorisés et auraient moins de sentiments négatifs.

Des données qui seront fortement questionnées par d’autres chercheurs. Mais nous le savons, la religion est l’un des thèmes qui peuvent soulever les passions et les confrontations.</pas de conflits ou de difficultés, les personnes religieuses arriveraient mieux à survivre et à continuer à être heureuses que les personnes athées.

C’est ce qui ressort d’une étude de l’University of Illinois parue dans le Journal of Personality and Social Psychology.

Les chercheurs ont analysé des données recueillies entre 2005 et 2009 auprès de personnes provenant de 150 pays. Elles parlaient de leur religion, du soutien affectif qu’elles avaient et de leur satisfaction de la vie.

Apparemment, la religion apporterait un soutien affectif en cas de besoin, et les croyants se sentiraient valorisés et auraient moins de sentiments négatifs.

Des données qui seront fortement questionnées par d’autres chercheurs. Mais nous le savons, la religion est l’un des thèmes qui peuvent soulever les passions et les confrontations.

Crédit photo : dan / FreeDigitalPhotos.net

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D’autres bienfaits au télétravail

Les télétravailleurs seraient non seulement plus heureux, mais auraient également une meilleure santé et une vie plus équilibrée, selon une étude menée par Staples Advantages et publiée par BusinessNewsDaily.
 
Les personnes qui travaillent de la maison seraient plus productives et plus en phase avec leur emploi.
 
Déjà en 2010, une étude américaine avait révélé que le télétravail augmentait l’efficacité et la satisfaction personnelle. Bien que l’interaction avec des collègues soit bénéfique au bureau, la rivalité qui peut survenir au sein des employés accentue le stress et réduit l’efficacité.
 
Le télétravail fait même l’envie de plusieurs, car selon l’étude, 40 % des employés seraient prêts à diminuer leur salaire pour bénéficier de cet avantage. En effet, 20 % d’entre eux iraient jusqu’à réduire leur salaire de 10 %.
 
De nombreuses personnes aimeraient profiter de cette liberté que procure le télétravail. 40 % renoncerait à leur plat préféré ou à une heure de sommeil plutôt que de retourner au bureau.
 
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Rire est ce qu’il y a de mieux dans la vie

Un nouveau sondage effectué auprès de 2 000 répondants démontre que le bonheur signifie aussi la famille, les amis et la beauté de la nature.
 
Un simple sourire sur notre visage est un grand bonheur pour un bon nombre de personnes.
 
En fait, questionnées à savoir quel était le plaisir le plus important dans la vie, 22 % des personnes ont répondu en première place que c’était de rire. Au deuxième rang, on retrouve un dîner entre amis à 21 % et la troisième place est tenue par une accolade pour 19 % des répondants, mentionne le Daily Express.
 
Dans les dix plus grands plaisirs cités, on note également sentir le soleil sur son visage, lire un bon livre, marcher sur la plage et se coucher dans des draps propres.
 
Dans une société dite matérialiste, il est bon de voir que les plus grands plaisirs sont simples et ne sont pas reliés à l’argent, aux biens et à la gloire.
 
Parmi la liste des grands plaisirs de la vie, on retrouve aussi regarder un coucher de soleil, regarder des images ou des souvenirs anciens et l’odeur de l’herbe fraîchement coupée.
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Les enfants très joyeux vivront moins longtemps

Des chercheurs affirment que les résultats d’une étude démontrent que les enfants « très joyeux » ont une vie plus courte que leurs compagnons plus calmes. Le Telegraph rapporte que la principale raison à cela réside au niveau des choix effectués plus tard dans leur vie adulte.

En effet, les enfants anormalement heureux, et ce, à des moments inappropriés, seraient plus enclin à développer une bipolarité ou à effectuer des choix de vie dangereux ou nocifs pour leur santé.

L’analyse, provenant de plusieurs universités, remonte aux années 1920, les enfants choisis ayant été suivis jusqu’à leurs vieux jours. En outre, les chercheurs ont découvert que le fait de tenter d’être heureux se soldait par un comportement d’autant plus dépressif.

La professeure June Gruber, coauteure du département de psychologie de l’Université Yale, explique : « Lorsque l’on tente les exercices proposés par nos lectures et que ceux-ci ne fonctionnent pas, nous éprouvons de la déception et la joie s’en trouve diminuée, contrairement à l’effet escompté. »

En résumé, la clé du bonheur consiste à entretenir des relations sociales gratifiantes avec nos proches et nos amis. Le reste n’est qu’illusion.

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Le bonheur serait en partie génétique

Des chercheurs ont récemment découvert le gène du bonheur. En fait, il s’agit de deux copies de gène, un de chaque parent. Si les personnes ont reçu les bonnes variantes, elles auront tendance à être plus satisfaites de leur vie.
 
Ce gène 5-HTT est responsable de la façon dont les cellules nerveuses gèrent la distribution de la sérotonine, qui, elle, contrôle l’humeur.
 
Les personnes avec un plus faible taux de sérotonine ont tendance à être plus dépressives. Chez celles avec les deux versions longues du gène, il y aurait toutefois un meilleur transport de l’hormone.
 
Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont analysé l’ADN de 2 500 personnes qui se disaient heureuses. Celles avec les bonnes versions du gène étaient à 69 % satisfaites ou très satisfaites de leur vie, comparativement à 38 % chez celles n’ayant pas les bonnes copies du gène.
 
Bien entendu, le gène ne détermine pas entièrement notre bonheur, mais il expliquerait le fait que certaines personnes semblent naturellement plus disposées au bonheur et que le niveau de référence est propre à chaque individu.
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Bonheur de l’enfant : l’importance de la vie de famille

Selon Medical News Today, une récente étude aurait démontré que le degré de bonheur que la mère retire de son couple a une grande influence sur celui de l’enfant, plus que celui du père.

Après avoir suivi 40 000 familles du Royaume-Uni, des chercheurs ont en effet remarqué que les enfants, une fois âgés de 10 à 15 ans, accordaient plus d’importance à la façon dont leur mère vivait son couple dans leur perception de la vie de famille.
 
En fait, si 60 % de tous les enfants sondés étaient parfaitement heureux de leur vie de famille, ce taux chutait à 55 % lorsque leur mère n’était pas heureuse.
 
Chez ceux qui trouvaient satisfaction dans leur vie de famille, la mère était heureuse dans 73 % des cas.
 
La recherche en question, Understanding Society Research, avait pour but premier d’explorer les relations des gens mariés et en union de fait, ainsi que celles entre parents et enfants.

Finalement, en tentant d’établir un profil type de l’enfant heureux moyen, il semble que ceux qui vivent le plus dans le bonheur sont ceux qui habitent avec deux parents, de familles non reconstituées, qui ont peu de disputes, qui prennent au moins trois repas en famille par semaine et dont la mère est heureuse dans son couple.