L’Agence de l’efficacité énergétique (AEÉ) évalue la possibilité d’implanter un programme qui récompensera les consommateurs préférant une voiture moins énergivore, aux dépens de ceux qui achètent un modèle plus polluant.
Ce projet, encore à l’étude, s’inspire du système instauré en France selon la formule du bonus-malus. Les primes d’assurances tiendraient alors compte du degré d’émissions polluantes rejetées par les automobiles.
À titre d’exemple, un bonus est versé à l’acheteur français si son véhicule émet moins de 130 grammes de CO2/km. À l’opposé, si le consommateur se procure une voiture qui émet plus de 160 grammes de CO2/km, il devra payer une taxe supplémentaire.