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Un autre usage du Botox

Selon le Dr Giuseppe Brisinda et ses collègues de l’Université catholique de Rome, le Botox pourrait traiter les hommes atteints d’hypertrophie bénigne de la prostate, qui se caractérise par une augmentation du volume de la prostate, un jet d’urine faible et des mictions fréquentes.

Le chercheur a travaillé avec 77 hommes, âgés de 50 à 80 ans, atteints par cette maladie.

Au début des traitements, la prostate des patients avait en moyenne un volume de 54 ml et le flot urinaire était de 8,6 ml par seconde. Après 30 mois de traitements de Botox, le volume de la prostate avait chuté à 27 ml, alors que le flot urinaire avait augmenté à 14,5 ml par seconde.

Malgré ces résultats encourageants, les chercheurs affirment que d’autres essais cliniques sur le Botox devront être effectués afin de mesurer son efficacité pour traiter l’hypertrophie bénigne de la prostate.

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Courteney Cox n’aime pas le Botox

Courteney Cox a révélé avoir succombé à la tentation du Botox et affirme qu’elle n’expérimentera plus jamais cette pratique, rapporte Starpulse.com

La star affirme carrément que si elle abusait de cette pratique cosmétique, elle détruirait ses talents d’actrice.

La star de 44 ans déclare : « Le Botox? Je crois que c’est fantastique, mais également horrible. Ils ont inventé ce truc qui nous permet de ne plus avoir l’air en colère. Mais il faut l’utiliser avec modération. »

Cox ajoute : « Je suis une actrice, je dois pouvoir bouger mon visage. Quand les gens commencent à avoir le front abîmé et qu’ils ne peuvent plus soulever leurs paupières, c’est étrange. Ce n’est pas que je n’ai pas essayé le Botox, mais j’ai détesté ça. »

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Le Botox pointé du doigt

L’Agence européenne pour l’évaluation des médicaments (EMEA) a répertorié 600 cas où les injections de Botox ont entraîné des effets secondaires négatifs. Selon l’Agence, 28 personnes sont même décédées à la suite de ces injections.

Dès juillet 2007, l’Union européenne avait demandé aux professionnels de la santé d’user de prudence en matière de toxine botulique et avait resserré la législation concernant le Botox.

Cette décision va dans le même sens que les actions prises par la Food and Drug Administration aux États-Unis, qui a allongé la liste des effets secondaires dangereux reliés au Botox, allant jusqu’au décès et des difficultés respiratoires en cas de surdosage.

Une association américaine de protection des consommateurs, la Public Citizen, a déjà affirmé que l’usage du Botox avait entraîné 87 hospitalisations aux États-Unis entre le 1er novembre 1997 et le 31 décembre 2006, et que 16 personnes en seraient mortes.

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Le Botox remis en question

Alors que la Food and Drug Administration (FDA) commençait à remettre en question l’usage du Botox pour la correction des rides, Santé Canada entend se pencher sur les effets néfastes que pourraient avoir la toxine botulique, mieux connue sous le nom de Botox.

Le mois dernier, la FDA a publié des documents où l’on mentionnait que la toxine botulique pouvait parfois entraîner des symptômes qui s’apparentent au botulisme.

Cette toxi-infection se caractérise par une dilatation anormale de la pupille, une sécheresse de la bouche, des vomissements et des douleurs abdominales. Les personnes infectées ressentent aussi une faiblesse musculaire pouvant se transformer en paralysie progressive. Il est essentiel de se faire vacciner si le patient qui en atteint veut éviter la mort.

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Avis contre le botox

Selon la Food and Drug Administration (FDA), la toxine botulique, mieux connue sous le nom de botox, pourrait causer des problèmes respiratoires et même des décès à la suite de son utilisation.

Cette mise en garde fait suite à des rapports d’analyse reçus par la FDA où l’on fait état des effets secondaires de ce produit, similaires aux symptômes du botulisme. Ces effets se produisent quand la toxine botulique se répand dans le corps au-delà de l’endroit où elle a été injectée.

L’agence n’interdit pas le botox, dont l’utilisation va bien au-delà de la correction des rides. Le strabisme, la transpiration excessive, les contractions involontaires des muscles du cou et des épaules, les battements incontrôlés des paupières sont autant de troubles qui peuvent être corrigés par l’injection de la toxine.