Un article publié dans le Journal of Proteome Research laisse envisager que, dans un futur proche, un nouveau test salivaire serait utilisé pour détecter plus rapidement l’autisme chez l’enfant.
Des chercheurs de l’Université catholique du Sacré-Coeur à Rome ont effectué des essais cliniques de ce test et ont découvert que les résultats présentaient la présence anormale d’une protéine chez 27 patients souffrant de ce trouble envahissant du développement.
Bien que cette découverte laisse entrevoir un meilleur diagnostic de l’autisme, le Dr Massimo Castagnola précise toutefois que d’autres recherches devront être menées afin de déterminer le lien entre ce test et les premiers symptômes de ce trouble.
Environ une personne sur 150 souffre d’autisme, qui se caractérise par une difficulté à établir des relations normales avec les autres et à réagir normalement aux situations de la vie courante.