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Kesha met de la couleur dans sa vie

Kesha, 27 ans, qui arbore une chevelure bleue et des vêtements plus colorés qu’auparavant, ne fait pas ça pour la mode. Il s’agit plutôt d’une manière de voir autrement la vie, explique en quelque sorte celle qui a eu des ennuis de santé.

L’artiste, qui est passée à un cheveu de mourir (selon sa mère), a passé deux mois en cure de désintoxication en janvier et été traitée pour des troubles de boulimie et anorexie. Elle semble maintenant voir la vie d’une autre manière.

« Je transforme mes cheveux en arc-en-ciel ces temps-ci. Je passe par toutes les couleurs parce que je me sens comme un arc-en-ciel. C’est mon nouveau truc, je suis un arc-en-ciel. Avant, je portais beaucoup de noir. Et maintenant, j’ai laissé les couleurs entrer dans ma vie. C’est très métaphorique », a expliqué Kesha, ajoutant qu’elle s’en « sortait bien » lors de sa visite sur le plateau de Good Morning America

La star a confié avoir été touchée par l’amour et le soutien de ses fans, alors qu’elle vivait une période noire avec ses problèmes physiques et psychologiques.

Elle a toutefois révélé avoir trouvé difficile de composer avec les commentaires négatifs du milieu et du public. Ces mentions odieuses ont rendu Kesha malade. 

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La longue bataille de Nicole Scherzinger contre la boulimie

Nicole Scherzinger fait peut-être l’envie de bien des gens, mais l’ancienne chanteuse des Pussycat Dolls et définition incarnée de la pop star aura longtemps souffert de son combat contre la boulimie, rapporte BANG Media International.

Scherzinger admet avoir combattu ce trouble alimentaire durant près d’une décennie, celui-ci ayant bien failli détruire complètement sa vie.

Maintenant âgée de 36 ans, la belle chanteuse explique qu’il aura fallu huit ans pour qu’un événement la convainque finalement de demander de l’aide.

« Je me suis dit que j’allais perdre tout ce que j’aimais si je ne m’aimais pas moi-même. C’est une maladie horrible et paralysante. C’était une période si sombre pour moi. Je ne crois pas que quiconque dans le groupe ou dans ma famille ait été au courant, parce que je le cachais bien. J’avais honte », explique une Nicole Scherzinger émotive.

Celle qui décrit la boulimie comme une véritable drogue se dit maintenant bien et en santé, et donne beaucoup de crédit à son petit ami Lewis Hamilton, le champion de Formule 1 qu’elle fréquente depuis 2007.

Il s’agit d’un bel exemple pour ceux et celles qui traversent le même genre d’épreuve de la part de l’artiste qui nous revient avec un tout nouvel album solo cette année.

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Comment aider notre adolescent à éviter les troubles alimentaires

Les troubles alimentaires, rappelle Parentingsquad.com, touchent les gens de tous âges, et ce, peu importe le genre. Ils comprennent notamment l’anorexie, la boulimie et l’hyperphagie.

Or, l’adolescence peut représenter une période vulnérable pour ce trouble de santé, considérant la pression de l’image véhiculée par la société.

La communication est votre allié le plus précieux. Soyez à l’écoute, soyez alerte et assurez-vous d’être actif aussi sur les mêmes réseaux sociaux que votre adolescent.

Discutez de l’image véhiculée par ces réseaux. Les adolescents doivent se bâtir une bonne estime d’eux-mêmes, et vous pouvez y contribuer.

Soyez un parent, et non un ami. Vos enfants ont déjà des amis. Votre rôle consiste à faire des choix sensés pour leur santé. Montrez l’exemple, et ne faites pas de la nourriture un ennemi.

Changez d’alimentation, diminuez les portions, assurez-vous que toute la famille est active et boit beaucoup d’eau. Si vous ne montrez pas l’exemple, vous ne pourrez pas améliorer la confiance de votre jeune.

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Zoë Kravitz a bu de l’argile pour perdre 20 livres

L’actrice de 25 ans Zoë Kravitz a confié à Us Magazine qu’elle avait déjà vécu elle-même des troubles d’alimentation. Ce travail a donc été difficile, puisqu’elle a dû se remettre dans cet état pour le rôle de Marie.

« J’ai lutté contre ça par le passé. Je crois que toutes les jeunes femmes passent par là », affirme Kravitz, en se reportant à sa période d’adolescence.

Déjà mince, la vedette a dû se débarrasser de 20 livres supplémentaires. Pour y arriver, elle a dû faire « un nettoyage ». Pour ce faire, elle a « bu de l’argile, parce que ça nettoie l’intérieur et ça remplit l’estomac ».

« Je mangeais un pot Masson de légumes en purée par jour et je faisais du jogging. » Cependant, la fille de Lenny Kravitz admet que le processus a été « épouvantable », et elle n’encourage personne à suivre ses traces.

Le plus difficile pour Zoë Kravitz a été de constater, en se documentant en ligne sur l’anorexie, qu’il existe des communautés qui souffrent de cette maladie, « et les gens s’encouragent entre eux ».

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Ke$ha n’a pas de problème d’alcool

La mère de la chanteuse Ke$ha insiste pour clarifier la situation. Sa fille, qui a été admise dans un institut de Chicago vendredi dernier (3 janvier), ne l’a pas été pour soigner diverses dépendances à l’alcool, mais plutôt pour soigner sa boulimie.

Pebe Sebert a confirmé l’information au site Celbuzz : « L’endroit où elle se trouve est un centre pour soigner les problèmes d’ordre alimentaire ». Elle ajoute : « Elle peut consommer de l’alcool ici et là, mais elle n’a aucun problème d’alcoolisme ».

La mère de la chanteuse de 26 ans croit savoir comment les problèmes de sa fille ont commencé : « Elle était à la diète et elle est devenue boulimique. Je me souviens que durant une période de quelques mois, elle est devenue très mince. Elle disait courir et manger sainement. La vérité est tout autre. Je n’en savais rien jusqu’à ce qu’elle me dise qu’elle voulait être soignée ».

Pebe Sebert affirme que l’interprète de Tik Tok va bien, mais que le traitement pourrait prendre plus de temps que prévu. « Cela ne sera pas facile pour elle. Cela fait partie de sa vie depuis si longtemps. Elle ne s’en sortira pas rapidement. Ce n’est que le point de départ. »

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Nouveau traitement prometteur mais controversé contre les troubles alimentaires

Des chercheurs de l’University Health Network de Toronto publient les résultats d’une recherche clinique et affirment détenir la clé d’une nouvelle méthode de traitement de certains troubles alimentaires comme la boulimie ou l’anorexie.

Il s’agit d’un traitement expérimental, prometteur mais controversé, qui utilise un système de stimulation magnétique au cerveau. Bien que l’on affirme que le traitement est « non invasif », toute stimulation cérébrale externe soulève bien sûr son lot de questions.

Toutefois, rapporte The National Library of Medicine, l’équipe torontoise menée par le Dr Jonathan Downar croit fermement que la méthode peut aider les patients aux prises avec de sérieux troubles alimentaires comme l’anorexie ou la boulimie, des problèmes qui demeurent extrêmement difficiles à soigner.

« Les résultats démontrent qu’entre 50 et 60 % du temps, vous voyez une réduction de 50 % des comportements compulsifs. Et ceci, chez des patients qui ont pourtant déjà essayé tous les autres traitements pour mettre un terme à leur trouble alimentaire, sans succès. Alors, ce dont nous parlons est absolument sans précédent », explique Downar, convaincant.

Downar et son équipe présentaient les conclusions de leur recherche à la rencontre annuelle de la Society for Neuroscience, à San Diego.

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Les troubles alimentaires touchent aussi les garçons

Radio-Canada rapporte une entrevue accordée à Catherine Perrin par trois invités qui se spécialisent à leur façon dans les troubles alimentaires, trois hommes de surcroît, et qui croient qu’on ne parle pas assez de ce type de problèmes chez les garçons.

Il s’agit du Dr Jean Wilkins, de l’auteur Simon Boulerice et de Jean-Marie Lapointe, qui partagent tous le même avis.

Simon Boulerice et Jean-Marie Lapointe veulent sensibiliser les garçons victimes de boulimie et d’anorexie et leur entourage, et lancer le message que le phénomène n’est pas plus banal lorsqu’il s’agit d’un garçon que d’une fille.

Le Dr Wilkins a quant à lui fondé la division de médecine adolescente de Sainte-Justine, et souligne qu’une personne sur dix souffrant de troubles alimentaires est en fait un garçon.

« Le contrôle est central dans cette maladie-là. On pourrait dire que c’est une inflammation du contrôle : une contrôlite! », explique avec couleur le spécialiste.

Boulerice et Lapointe en profitent pour partager leurs expériences avec la maladie, mais surtout pour dénoncer l’absence presque totale de compréhension et d’empathie de la part des gens, simplement parce qu’ils sont des hommes. Un problème que le trio souhaite contribuer à changer.

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Trouble alimentaire et grossesse, une combinaison dangereuse

Cependant, Science World Report ajoute à cela les indications de l’International Journal of Eating Disorders, dans lequel on cite également les risques élevés de fausse couche, d’avortement ou de mort-né.

Selon les données recueillies par la Dre Milla Linna, de l’Université finlandaise de Helsinki, 5 à 10 % des femmes souffrent de troubles alimentaires. L’étude comparative a été menée sur une période de 15 ans (de 1995 à 2010) auprès de 11 000 femmes.

Sur le lot, 2257 jeunes femmes souffraient de troubles alimentaires et étaient suivies par la Clinique du centre hospitalier de l’Université d’Helsinki.

La conclusion :

– Les femmes souffrant de boulimie étaient 3 fois plus à risque de fausse couche et 2 fois plus enclines à l’avortement.

– Chez les femmes anorexiques, la moitié des grossesses se sont terminées par une fausse couche.

Dre Linna est catégorique. Sans un suivi adéquat, les conséquences sont désastreuses. « Il faut absolument détecter le problème tôt, apporter les soins adéquats et assurer un suivi sur une période plus longue pour prévenir les risques. »

L’obésité et la sous-alimentation conséquentes des troubles de boulimie et d’anorexie sont reconnues comme des facteurs de risque de grossesse accidentelle. En effet, ils sont souvent accompagnés d’irrégularités ou d’absence du cycle menstruel, et par conséquent, les femmes se préoccupent moins des moyens de contraception.

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Les parents jouent un rôle important dans les troubles alimentaires des ados

C’est une nouvelle étude publiée dans le Journal of Adolescent Health qui fait état de ce constat. Comme le mentionne Medicalxpress, ces comportements ne sont cependant pas intentionnels et peuvent être corrigés.

La Dre Emma Haycraft du Centre for Research into Eating Disorders, au Royaume-Uni, explique : « Un parent qui dit “Tu ne quittes pas la table tant que tu n’as pas terminé” ou “tant que tu n’as pas mangé tes légumes” créé une atmosphère négative associée aux repas ». Haycraft ajoute : « Cela peut aussi enseigner à l’enfant à ignorer les signes de la satiété et donc à trop manger ».

Chez les garçons comme les filles, c’est le contrôle sur la quantité de nourriture qui indiquait de potentiels futurs problèmes alimentaires.

Les résultats de l’étude démontrent une particularité en rapport avec le sexe de l’enfant. Chez les garçons, le fait de se faire dire de « moins manger » faisait en sorte qu’ils développaient des symptômes associés aux désordres alimentaires.

Quant aux filles, ce sont les commentaires inverses, soit lorsqu’elles étaient forcées à manger plus, qui menaient aux problèmes boulimiques ou anorexiques.

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L’image corporelle chez l’enfant

Dès un très jeune âge, certains enfants souffrent déjà d’une faible estime de soi et donc, entre autres, de troubles de nutrition et d’hyperactivité volontaire.

Il n’est pas rare d’entendre que des enfants aussi jeunes que 5 ans refusent de manger par peur d’engraisser. D’autres font de l’exercice non pas pour s’amuser, mais pour « maintenir leurs poids ».

Sur PsychologyToday, on suggère plusieurs astuces pour encourager de saines habitudes chez nos enfants. On dit notamment de les encourager à boire beaucoup d’eau, de ne pas les forcer à finir leur assiette s’ils se disent rassasiés et de ne pas les critiquer sur leur apparence.

Il est important aussi de montrer l’exemple et de ne pas seulement dicter ce que l’enfant devrait faire. Comme nous avons tendance à être totalement déconnectés de notre corps, il est crucial d’expliquer comment écouter son corps. Ainsi ils apprendront à ne pas attendre d’être affamés pour manger, et cesser de manger avant de se sentir bourrés.

Il est également recommandé de les pousser à faire de sains exercices. À leur âge, ils ont besoin de beaucoup d’activité physique, mais il ne faut pas que le but soit autre que de brûler de l’énergie et de s’amuser.