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Nicole Scherzinger s’est sentie stupide de révéler son trouble alimentaire

Nicole Scherzinger, ex-Pussycat Dolls et figure féminine adorée partout dans le monde, dévoile et commente ses états d’âme en lien avec sa révélation sur ses troubles alimentaires, en 2012.

Elle avouait alors avoir souffert de boulimie et avoir combattu une pauvre image d’elle-même durant des années.

Selon Elle Canada, la chanteuse s’est sentie stupide et exposée après avoir dévoilé ces détails de sa vie privée.

Pourtant, il s’agit d’un beau geste et d’un très beau modèle pour les millions de jeunes femmes dans le monde aux prises avec le même genre de trouble alimentaire.

Elle affirme que c’est son petit ami, Lewis Hamilton, superstar de la F1, qui l’a grandement aidée à vaincre la maladie. Un autre bel exemple.

« Toute ma vie, jusque dans la trentaine, j’ai été très consciente et préoccupée par mon corps. Je m’entrainais comme une folle dès l’âge de 14 ans. Je courais et courais jusqu’à ce que je ne le puisse plus », ajoute Scherzinger.

Elle affirme avoir pleuré et regretté ses déclarations, mais se sent aujourd’hui beaucoup plus à l’aise d’avoir révélé ces problèmes. Elle croit qu’on la perçoit maintenant comme une personne plus normale.

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Des jouets qui causent l’anorexie chez les garçons

G.I. Joe, Superman et tous les autres sont un exemple de courage pour plusieurs petits garçons, mais aussi de corps parfait.

Sculptés avec leurs multiples abdominaux, ils sont minces et bien musclés, avec un visage bien structuré agrémenté d’une chevelure cirée, volumineuse et bien coiffée.

Très jeunes, les garçons, tout comme les fillettes avec leurs poupées Barbie, ont pour modèles leurs jouets favoris.

À ce sujet, la thérapeute américaine Niquie Dworkin explique sur le site 7sur7.be que les garçons pensent que le corps de leurs personnages préférés en plastique est la norme.

« Les petits garçons sont aussi exposés à des images d’hommes surréalistes », dit-elle.

Ainsi, en vieillissant, si plusieurs filles sont portées à se priver de nourriture ou à se rendre malades pour garder la ligne, les garçons sont extrémistes en salles de sport et tentent à tout prix d’avoir une belle carrure avec de gros muscles. Plusieurs se tournent même trop souvent vers les stéroïdes.

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Les troubles alimentaires touchent aussi les femmes plus âgées

Contrairement à la croyance populaire, il n’y a pas que les adolescentes qui peuvent être obsédées par leur poids et leur image; les femmes adultes aussi.
 
Une étude américaine parue dansl’International Journal of Eating Disorders mentionne que les troubles alimentaires guettent de plus en plus les femmes de 50 ans et plus.
 
Malheureusement, à cet âge plus avancé, les troubles alimentaires peuvent s’avérer être plus dommageables pour la santé des femmes.
 
62 % des plus de 50 ans ont dit que leur poids ou leur ligne avait un impact négatif sur leur vie, alors que 13 % des femmes de plus de 50 ans sont obsédées par leur poids au point de souffrir de troubles alimentaires comme l’anorexie, la boulimie ou le sport en excès.
 
1849 femmes ayant en moyenne 59 ans ont répondu à des questionnaires. 25 % étaient obèses, 29 % en surpoids, 42 % de poids normal et 2 % trop maigres.
 
Ces femmes peuvent également avoir recours à différents moyens pour perdre du poids, comme les pilules amaigrissantes (7 %), l’excès de sport (7 %), les diurétiques (2,5 %), les laxatifs (2 %) ou encore les vomissements (1 %).
 
79 % des femmes de plus de 50 ans ont déclaré qu’elles n’aimaient pas leur corps. Ainsi, cette étude révèle que les pressions sociales exercées sur les femmes et l’importance de l’image corporelle peuvent avoir un impact également plus tard dans la vie, et non seulement à l’adolescence.
 
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Qu’est-ce qui peut causer l’anorexie et la boulimie?

Les deuils, les problèmes relationnels, conflits ou ruptures amoureuses, les cas de sévices et d’agression sexuelle, les changements d’école ou d’emploi, les déménagements et les maladies ou hospitalisations peuvent s’avérer être la goutte qui fait déborder le vase pour certaines personnes.

Tous ces traumatismes peuvent se traduire en anorexie ou en boulimie, explique une étude de l’Université du Minnesota parue dans le Journal of Clinical Nursing.

C’est en discutant avec 26 femmes et un homme âgé de 17 à 64 ans que les chercheurs ont tenté de voir un lien entre les événements transitoires dans la vie familiale et l’apparition de troubles de l’alimentation.

Dans le groupe, neuf personnes avaient souffert d’anorexie et reçu un traitement entre 10 et 18 ans, quatre avaient été victimes de boulimie, et les 14 autres avaient vécu des problèmes alimentaires importants, mais qui ne répondaient pas aux critères d’un diagnostic officiel.

Les six grands thèmes et catégories mentionnés ci-dessus sont ressortis de cette étude voulant que les troubles de l’alimentation puissent être provoqués par des éléments déclencheurs durant la jeunesse.

Les participants étaient tous en accord pour affirmer qu’ils avaient manqué de soutien à l’époque.

Les spécialistes espèrent que les résultats de l’étude captureront l’attention des parents et professionnels de la santé, afin que ces derniers soient plus vigilants et altruistes dans des situations qui engendrent un stress ou traumatisme.

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Qu’est-ce qui peut causer l’anorexie et la boulimie?

Les deuils, les problèmes relationnels, conflits ou ruptures amoureuses, les cas de sévices et d’agression sexuelle, les changements d’école ou d’emploi, les déménagements et les maladies ou hospitalisations peuvent s’avérer être la goutte qui fait déborder le vase pour certaines personnes.

Tous ces traumatismes peuvent se traduire en anorexie ou en boulimie, explique une étude de l’Université du Minnesota parue dans le Journal of Clinical Nursing.

C’est en discutant avec 26 femmes et un homme âgé de 17 à 64 ans que les chercheurs ont tenté de voir un lien entre les événements transitoires dans la vie familiale et l’apparition de troubles de l’alimentation.

Dans le groupe, neuf personnes avaient souffert d’anorexie et reçu un traitement entre 10 et 18 ans, quatre avaient été victimes de boulimie, et les 14 autres avaient vécu des problèmes alimentaires importants, mais qui ne répondaient pas aux critères d’un diagnostic officiel.

Les six grands thèmes et catégories mentionnés ci-dessus sont ressortis de cette étude voulant que les troubles de l’alimentation puissent être provoqués par des éléments déclencheurs durant la jeunesse.

Les participants étaient tous en accord pour affirmer qu’ils avaient manqué de soutien à l’époque.

Les spécialistes espèrent que les résultats de l’étude captureront l’attention des parents et professionnels de la santé, afin que ces derniers soient plus vigilants et altruistes dans des situations qui engendrent un stress ou traumatisme.

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Mangez bien, pour tomber enceinte

On lit dans BJOG les résultats de chercheurs du Royaume-Uni quant à l’impact de l’alimentation sur la conception. Il a clairement été démontré qu’un trouble alimentaire peut faire en sorte que la grossesse soit retardée.
 
Les femmes participant à cette étude qui avaient déjà souffert d’anorexie ou de boulimie avaient pris plus de 6 mois à tomber enceinte dans presque 40 % des cas.
 
Toutefois, après un an, il y avait autant de grossesses chez les femmes souffrant ou ayant souffert d’un trouble alimentaire que chez les autres.
 
Ces problèmes de santé devraient donc être soignés adéquatement, selon les chercheurs, bien avant un projet de conception.
 
Il serait tout indiqué d’être mieux renseigné quant aux impacts d’un trouble alimentaire sur la fécondité de la femme. D’autre part, des traitements devraient être attribués lorsque nécessaires.
 
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L’anorexie frappe très jeune

On lit sur Francesoir.fr que les cas d’anorexie se font de plus en plus nombreux, en particulier pour les plus jeunes de la société occidentale. Une étude menée en Grande-Bretagne démontre une hausse inquiétante.
 
Au cours des 3 dernières années, on a relevé pas moins de 2 000 cas de trouble alimentaire chez les enfants de 5 à 15 ans. Parmi ces problèmes, on note l’anorexie, la boulimie et l’hyperphagie.
 
Ce dernier trouble, l’hyperphagie, consiste en une ingestion compulsive et démesurée de nourriture qui n’est pas suivie d’un comportement compensatoire (se faire vomir, prendre des laxatifs, par exemple).
 
La grande tristesse des présents résultats est que les troubles alimentaires frappent de plus en plus jeunes : sur les 2 000 enfants atteints, 98 sont âgés de 5 à 7 ans, et 600 n’ont pas encore 13 ans.
 
La Grande-Bretagne fait par ailleurs figure de contradiction : si 24,5 % de sa population souffre d’obésité, 3 enfants sur 1 000 démontrent des symptômes de trouble alimentaire.
 
Il est encore difficile, toutefois, de cerner les véritables raisons de l’anorexie chez l’enfant. Des causes génétiques pourraient être reconnues, mais l’on dénote des pressions sociales et l’imposition d’une certaine image corporelle depuis quelques années.
 
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Les repas en famille pour prévenir les troubles alimentaires

Les repas en famille ont un impact favorable chez les jeunes, notamment au niveau de leur santé.
 
Selon le Daily Mail, les repas réguliers en famille aident à prévenir les troubles alimentaires comme la boulimie et l’anorexie chez les adolescents.
 
Des repas en famille au moins trois fois par semaine sont bénéfiques pour vos jeunes. De plus, cela aide à réduire le tabagisme également.
 
Une étude mentionne que les troubles alimentaires sont réduits jusqu’à 35 % chez les jeunes qui mangent au moins cinq fois par semaine avec leurs parents. Ces adolescents ont aussi tendance à adopter de meilleures habitudes alimentaires.
 
Les repas en famille favorisent également un meilleur contact et une meilleure communication.

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Proportions inquiétantes de boulimie infantile

On apprend dans le Journal of Clinical Nursing que plusieurs enfants d’à peine 10 ans présentent des signes de troubles alimentaires futurs. Selon une étude taïwanaise ayant porté sur près de 16 000 enfants et adolescents, se faire vomir est assez fréquent chez les plus jeunes.

En effet, pas moins de 16 % des enfants âgés de 10 à 12 ans ont avoué se faire vomir dans le but de perdre du poids, contre 15 % chez les 13 à 15 ans. Le taux semble en fait diminuer au fil des ans : seulement 8 % des 16 à 18 ans, dans le cadre de cette étude, se faisaient vomir.
 
La différence était aussi notable entre les garçons et les filles, car ces dernières se faisaient vomir dans 16 % des cas au total, contre 10 % chez les garçons.
 
Ce comportement est précurseur de troubles alimentaires comme l’anorexie et la boulimie. Vu le nombre de jeunes enfants s’y adonnant, la prévention s’impose afin de contrer ces futurs problèmes psychologiques.

Selon les chercheurs, ce réflexe de vomissement pourrait être prévenu en s’assurant que l’enfant déjeune chaque matin, qu’il dort suffisamment, qu’il mange le moins possible de grignotines à base de friture en soirée et qu’il passe moins de temps devant un ordinateur.

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L’anorexie frappe très jeune

Des chercheurs de l’Institut de santé des enfants du Collège universitaire de Londres ont relevé, sur une période de 14 mois, 208 cas de troubles alimentaires chez des enfants de moins de 13 ans.

Les filles sont beaucoup plus souvent touchées : 82 % des cas les concernaient. Les enfants étaient admis à l’hôpital parce qu’ils se purgeaient, refusaient de manger ou ingéraient des laxatifs.
 
Il semble que la mode des mannequins rachitiques touche bien plus que les adolescentes, malheureusement.
 
Selon le British Journal of Psychiatry, au Royaume-Uni seulement, 100 000 jeunes de moins de 13 ans souffrent de troubles alimentaires.
 
Si les cas d’enfants de 6 à 8 ans sont plus rares, ils demeurent présents et le nombre de cas augmente avec l’âge.

Il semble toutefois que les traitements aient leur effet. On évalue à 73 % ceux qui voient une amélioration de leur état en 1 an.