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Accouchement : ne pas reprendre le travail avant quatre mois

En effet, les mères sont souvent exténuées par l’accouchement et leur nouveau mode de vie. Même si le sommeil s’améliore au fil des semaines, la moitié des femmes sont encore prises de période de somnolence en pleine journée lorsque leur poupon a 18 semaines, rapporte le site Famili.

Des chercheurs australiens ont interrogé 33 femmes en parfaite santé psychologique et physique sur leur niveau de fatigue à différentes périodes post-accouchement. Il s’est avéré que la moitié d’entre elles étaient encore victimes de somnolence diurne 18 semaines après avoir accouché.

Les résultats se basent sur l’échelle de somnolence Karolinska, cotée de 1 à 9, qui évaluait le degré de fatigue post-accouchement  entre 5 et 6 même 4 mois plus tard.

Les experts conseillent donc aux jeunes mamans de bien se reposer avant de retourner progressivement au travail. Parmi les participantes à l’étude, il n’y avait d’ailleurs que cinq femmes qui avaient repris le travail à temps plein à l’intérieur des 4 mois suivant la naissance de leur bébé.

Le détail de la recherche est paru dans l’édition de juillet de la revue scientifique Plos one.

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Jennifer Garner jongle à merveille avec la famille et le boulot

Jongler avec la maternité et le travail n’est pas un casse-tête pour l’actrice de 42 ans qui élève trois enfants (Violet-8 ans, Seraphina- 5 ans et Samuel-2 ans) avec Ben Affleck, son mari depuis juin 2005.

À la version anglaise du magazine Hello!, la maman occupée révèle qu’elle pense être « définitivement la chef exécutive de la maison ». En ricanant, elle ajoute que son mari Ben « ne connaît probablement aucun nom de famille ni le salaire des personnes qui travaillent pour l’entretien de la maison.»

S’il y a une chose qui représente un casse-tête dans la vie de Garner, c’est bien ce travail qui exige « toute une logistique à concevoir des horaires, faire des chèques, ne pas oublier de préparer les dîners, conduire les enfants aux cours de karaté, aller à l’épicerie, etc. »

Elle confie qu’elle trouve ces tâches « absurdes et ennuyeuses, mais quelqu’un doit le faire dans chaque famille. »

Malgré une relation solide entre les deux amoureux, l’actrice confie que la pression « hollywoodienne » par rapport au succès des mariages des célébrités affecte occasionnellement leur couple. « Nous voulons être un couple en bonne santé, prendre du temps pour nous ainsi qu’avec les enfants et trouver la bonne façon de le faire. » A-t-elle mentionné avec le sourire, relate Film-news.

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Jennifer Garner jongle à merveille avec la famille et le boulot

Jongler avec la maternité et le travail n’est pas un casse-tête pour l’actrice de 42 ans qui élève trois enfants (Violet-8 ans, Seraphina- 5 ans et Samuel-2 ans) avec Ben Affleck, son mari depuis juin 2005.

À la version anglaise du magazine Hello!, la maman occupée révèle qu’elle pense être « définitivement la chef exécutive de la maison ». En ricanant, elle ajoute que son mari Ben « ne connaît probablement aucun nom de famille ni le salaire des personnes qui travaillent pour l’entretien de la maison.»

S’il y a une chose qui représente un casse-tête dans la vie de Garner, c’est bien ce travail qui exige « toute une logistique à concevoir des horaires, faire des chèques, ne pas oublier de préparer les dîners, conduire les enfants aux cours de karaté, aller à l’épicerie, etc. »

Elle confie qu’elle trouve ces tâches « absurdes et ennuyeuses, mais quelqu’un doit le faire dans chaque famille. »

Malgré une relation solide entre les deux amoureux, l’actrice confie que la pression « hollywoodienne » par rapport au succès des mariages des célébrités affecte occasionnellement leur couple. « Nous voulons être un couple en bonne santé, prendre du temps pour nous ainsi qu’avec les enfants et trouver la bonne façon de le faire. » A-t-elle mentionné avec le sourire, relate Film-news.

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Les habitudes alimentaires au travail blâmées dans le dossier de l’obésité

Le dossier du surpoids en Amérique du Nord ne cesse de faire jaser et d’alimenter les pages web spécialisées en santé et en nutrition.

On cherche des coupables, des solutions, et voilà qu’une nouvelle théorie vient d’être émise par des sondeurs de la compagnie CareerBuilder, une théorie rapportée par le Daily Mail (UK) notamment.

C’est après avoir réalisé un sondage auprès de 3700 travailleurs que les chercheurs sondeurs ont commencé à apercevoir des similitudes entre certaines réponses.

Ainsi, les habitudes alimentaires au travail pourraient être responsables dans certains cas de surpoids ou d’obésité. Notamment, on parle du manque d’activité physique découlant d’emplois statiques ou de bureau, en plus de l’absence de gym ou de temps, tout simplement.

Puis, les fameux 5 à 7 sont aussi ciblés, en plus des nombreuses sucreries rapportées sur les lieux de travail, comme les beignes.

Au final, 55 % des répondants affirment afficher un surpoids, et 41 % d’entre eux blâment directement leur actuel emploi pour cette prise de poids!

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Le stress au boulot n’augmenterait pas les risques de cancer

C’est une nouvelle étonnante que nous rapporte The National Library of Medicine, alors que l’on apprend que le stress au travail n’augmenterait pas nécessairement les risques de développer un cancer.

Par contre, le stress peut agir sur un individu d’une telle façon qu’il peut le porter à poser des gestes ou à développer des comportements qui peuvent le mener vers la maladie.

On pense notamment aux abus de nourriture et d’alcool, ou encore à divers autres comportements, mais l’étude rapportée ici laisse croire que le stress en tant que tel n’est pas un facteur en soi.

« Nous savons déjà par d’autres études que le stress au travail n’est pas vraiment un facteur de risque de cancer. Même si réduire ce stress permet une amélioration de la santé mentale et physique, cela n’a pas d’impact sur le cancer à proprement parler », résume Katriina Heikkila, chercheuse en chef duFinnish Institute of Occupational Health d’Helsinki.

Ses collègues et elle croient néanmoins qu’il est important de parler du problème du stress chez les individus et de tenter de le réduire au maximum.

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Les parents stressés au boulot nourrissent moins bien leurs enfants

En fait, l’étude a regroupé des familles parmi lesquelles certaines mères travaillaient à temps plein. Pour les femmes dans cette situation, les repas familiaux étaient plus rares que chez les autres ménages. De plus, ces mamans servaient plus de malbouffe à leurs enfants et encourageaient moins leurs adolescents à manger de bonnes choses.

De plus, comme elles travaillaient davantage, elles prenaient moins le temps pour cuisiner et mangeaient moins de fruits et de légumes.

Chez les pères qui travaillaient à temps plein, peu de différences ont été observées, sinon qu’ils disposaient de moins de temps pour se faire à manger.

« Le stress au travail peut affecter plusieurs sphères de la vie, incluant le temps pour les repas et leur qualité », dit la professeure en science et politique de la nutrition à la Tufts University de Boston, Alice Lichtenstein. Selon elle, les enfants devraient apprendre à cuisiner.

Toutefois, peu importe si elles travaillaient à temps plein ou non, les femmes passaient toujours plus de temps à cuisiner.

Rappelons également que plus des deux tiers des parents ne font presque pas d’exercice physique et ne montrent donc pas l’exemple à leurs enfants.

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Emmener son chien au boulot serait bon pour la santé

D’après le professeur à la tête de l’étude, Randolph Barker, emmener un chien au travail « peut faire une différence très positive » dans la vie d’un employé.

L’étude menée par l’École de commerce de la Virginia Commonwealth University de Richmond a évalué le quotidien de 75 personnes divisées en trois groupes. D’abord, celles qui emmenaient leur chien au travail étaient regroupées, puis celles ayant un animal et le laissant à la maison, et finalement celles n’ayant pas d’animal.

Durant la journée, le niveau de stress a diminué chez les employés du premier groupe, tandis qu’il a augmenté pour ceux des deux autres groupes.

En fait, qu’il s’agisse de son propre chien ou de celui d’un collègue, sa présence au bureau réduirait le stress et serait bonne pour le moral des travailleurs.

Les résultats démontrent que les chiens représentent « des solutions de bien être à bas coût et accessibles très facilement pour les entreprises », selon le professeur Barker.

« Avoir un chien dans un environnement de travail peut contribuer aux performances et à la satisfaction des employés », termine-t-il.