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Les aliments bios n’échapperaient pas au bisphénol A

La polémique entourant le bisphénol A et sa présence dans plusieurs produits et aliments consommés et utilisés par la population ne cesse de grandir.

On apprenait récemment que plusieurs contenants de plastique qui contiennent l’infâme bisphénol A, ou des phtalates, ont la capacité de transférer ces éléments directement dans les aliments que nous consommons.

Faire réfrigérer des repas dans les mauvais types de contenants de plastique serait suffisant pour « contaminer » la nourriture, ce qui soulève l’ire des consommateurs avertis un peu partout dans le monde.

Cette fois, c’est Santé Log qui nous apprend que même les aliments bios n’échapperaient pas nécessairement au phénomène, si l’on en croit les conclusions d’une étude américaine sur le sujet.

Publiées dans l’édition du 27 février du Journal of Exposure Science and Environmental Epidemiology, ces révélations font état des dangers de ces contenants de plastique et du bisphénol A, peu importe le type de nourriture. Même l’eau embouteillée pourrait bien devenir nocive, après observation.

On demande donc à la population d’être vigilante et de bien se documenter sur le sujet, qui n’a pas fini de faire couler de l’encre.

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Une découverte archéologique dévoile d’anciennes pratiques en médecine

C’est toute une découverte qu’ont faite des chercheurs alors qu’ils fouillaient les ruines d’un ancien navire, rapporte www.nlm.nih.gov.

Les archéologues présents lors de l’expédition ont en effet déniché ce qui serait une bouteille de médicaments qui daterait de près de 140 ans avant Jésus-Christ!

La bouteille, bien scellée, renfermait des pilules de couleur gris-vert dans lesquelles on a décelé des traces d’oxyde de carbone, de cire d’abeille, de résidus de pin et de graisses animales. On a également relevé la présence de résidus de légumes.

« La recherche souligne la continuité de l’Homme à vouloir traiter des problèmes et des symptômes à l’aide de traitements et de substances. Elle démontre également le soin que ces gens prenaient dans le choix des substances qui allaient composer ces mixtures, afin d’obtenir les effets thérapeutiques désirés et d’aider à l’application de la médecine », s’étonne la chimiste et archéologue Gianna Giachi, de Toscane, en Italie.

C’est d’ailleurs là que cette découverte a été effectuée, dans le cadre d’une fouille d’un ancien vaisseau qui avait sombré depuis des lunes.

Les chercheurs ont fait d’autres découvertes lors de cette fouille, mais aucune aussi importante que celle-ci. La trouvaille pourra sans doute permettre de mieux comprendre comment la médecine était appliquée dans ces temps anciens.

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L’eau en bouteille : un choix pas si évident

S’il semble simple de choisir une eau embouteillée lorsqu’on fait son marché, on constate en regardant de plus près que les options sont nombreuses et varient selon le type et la marque.

Donc, quel type d’eau choisir? Voici quelques informations pertinentes à ce sujet, entre autres rapportées par Conseilsnutrition.tv.

D’abord, plusieurs voudront sans doute faire un choix local et acheter de l’eau québécoise. C’est possible de le faire, en optant pour les bouteilles Amaro, Labrador ou Aqua Nature, par exemple.

Maintenant, différents types d’eau s’offrent à vous. Le bon choix dépend de vos besoins et de vos goûts, bien entendu. Ainsi, si vous souhaitez faciliter votre digestion, les eaux pétillantes ou gazéifiées sont indiquées, de même que certaines eaux minérales.

Pour les gens aux prises avec des problèmes aux os ou un manque de calcium, certaines eaux qui contiennent de hauts taux de magnésium et de calcium existent sur le marché.

Finalement, la bonne vieille eau de source conventionnelle vient elle aussi avec son lot de choix et de marques. Après avoir fait votre choix en matière de type d’eau, ce n’est plus qu’une question de goût personnel!

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Des mises en garde contre l’alcool sur des bouteilles en Corée du Sud

(SÉOUL-AFP) – Le premier fabricant de boissons alcoolisées de Corée du Sud a annoncé jeudi (12 juillet) qu’il apposait désormais sur ses bouteilles une mise en garde contre la violence provoquée par l’alcool, dans ce pays qui est un fort consommateur de spiritueux.

Les bouteilles de bière et de soju (un alcool fort coréen à base d’alcool de riz) vendues à Séoul par le groupe Hite-Jinro portent dorénavant l’avertissement « Cessons la violence causée par l’alcool. Améliorons notre culture de la boisson! ».

Hite-Jinro est le premier fabricant de soju et le deuxième de bières en Corée du Sud.

Cette campagne, menée en coordination avec la police, vise à freiner les actes de violence découlant d’une trop forte consommation d’alcool et autres comportements délictueux, a indiqué un porte-parole.

La consommation annuelle par adulte sud-coréen de spiritueux (whisky, vodka, etc.) est de 9,57 litres, soit la plus élevée au monde, selon des chiffres de 2005 de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publiés en 2011.

Les comportements délictueux imputés à l’alcool sont nombreux, mais la justice se montre souvent indulgente dans ces cas-là.

En 2009, l’auteur d’un viol sur un enfant avait écopé de 12 ans de prison, alors que l’accusation réclamait beaucoup plus, le juge ayant estimé que le coupable avait agi sous l’emprise de l’alcool. Le verdict avait déclenché un mouvement d’indignation dans le pays.

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Les parents devraient faire attention aux surdoses

Selon la revue Prescrire, les étiquettes apposées sur les contenants de médicaments ne proposent pas toujours le bon dosage.

Cela sans compter que plusieurs flacons ne sont pas sécuritaires pour les tout-petits, qui pourraient les ouvrir à tout moment s’ils les trouvaient.

« Dans le domaine de l’automédication pour les enfants, l’insuffisance de qualité des dispositifs doseurs est trop fréquente, y compris avec des substances dangereuses », peut-on lire dans la revue.

Le fait que plusieurs médicaments susceptibles d’être ingérés en trop grande quantité impliquent des opioïdes, par exemple, n’a rien de rassurant.

Inquiets de cette situation, les spécialistes de Prescrire ont fait quelques recommandations à l’Agence européenne du médicament et à l’Agence nationale de sécurité du médicament, en France, afin de mettre en place un règlement qui contraindrait les compagnies pharmaceutiques à rendre plus sécuritaires leurs produits.

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L’eau d’érable bientôt sur le marché

Depuis sept ans maintenant, la Fédération des producteurs acéricoles du Québec tente d’établir les paramètres de pasteurisation qui permettrait de conserver l’eau d’érable plus longtemps.
 
Le but est de commercialiser cette eau, notamment sous forme embouteillée et enrichie de prébiotiques et probiotiques.
 
Selon Le Soleil, une première entreprise, qui préfère ne pas être nommée, souhaite déjà commercialiser l’eau d’érable dès l’an prochain.
 
On parle de débouchés commerciaux non seulement au Québec, mais au Japon également.
 
Le milieu gastronomique est un de ceux qui présentent un intérêt important quant au produit.
 
À l’instar du sirop, l’eau d’érable pourra seulement être produite sur de courtes périodes, mais cela permettrait d’augmenter la production des cabanes à sucre.
 

L’eau d’érable serait notamment un bon véhicule pour transporter les prébiotiques et probiotiques jusqu’aux intestins.

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Le vin lors des repas expose à un risque de maladies graves

Les couples qui partagent une bouteille de vin lors des repas s’exposent à un danger important.
 
Alors que l’on raconte que l’alcool peut avoir des effets bénéfiques sur la santé cardiovasculaire, le Daily Mail mentionne maintenant que ces bienfaits sont contrecarrés par d’autres risques de maladies comme le cancer et les accidents vasculaires cérébraux.
 
Vous pouvez donc devenir des buveurs à risque, même si n’avez pas une dépendance envers l’alcool.
 
Selon la recherche, les femmes sont également plus à risque que leur partenaire, car leur tolérance à l’alcool est moindre.
 
Les personnes qui boivent plus de deux fois la quantité hebdomadaire d’alcool recommandée augmentent de sept fois leur risque de maladies du foie, de cinq fois leur risque de cancer de la bouche et de trois fois les risques d’attaques. Les femmes voient leur risque de cancer du sein être multiplié par deux.
 
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Des parents préfèrent l’eau embouteillée

À la suite d’un sondage réalisé auprès de 632 parents dont l’enfant a été reçu dans un service d’urgence pédiatrique, on a remarqué certaines habitudes quant à la consommation d’eau.

On a demandé aux participants quelles étaient leurs croyances quant à l’eau, leurs expériences passées ainsi que leurs sources d’information sur le sujet.
 
Il semble donc que si la plupart donnent de l’eau du robinet à leur enfant, peu d’entre eux se tournent vers la populaire bouteille en plastique, comme nous pouvons le lire dans Archives of Pediatrics and Adolescent Medicine. L’impact sur l’environnement est bien entendu à considérer, mais aussi celui de la santé des enfants.
 
Les parents qui préfèrent donner de l’eau embouteillée le font souvent parce qu’ils croient que c’est plus sécuritaire, du point de vue de la santé. Pourtant, de nombreuses études ont relevé des cas de contamination bactériologique et de maladies reliés aux bouteilles d’eau.

Finalement, ce que peu de gens savent, c’est que l’eau en bouteille n’est pas fluorisée comme l’est celle du robinet, ce qui peut entraîner des problèmes quant à la santé bucco-dentaire des enfants.

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Le biberon, lié à l’obésité?

Les parents pourraient faire une meilleure prévention de l’obésité auprès de leur bébé en limitant l’emploi de la bouteille. C’est ce que nous apprend une récente recherche parue dans le Journal of Pediatrics.

Après avoir analysé des données portant sur 6 750 bébés nés en 2001, les chercheurs ont pu établir un lien entre l’usage du biberon à 24 mois et le risque d’obésité à l’âge de 5,5 ans.
 
Précisément, 23 % des enfants qui buvaient à la bouteille de façon prolongée étaient obèses une fois l’âge de 5,5 ans atteint. Parmi les participants, 22 % buvaient au biberon à 2 ans en guise d’alimentation de base. Ces derniers pouvaient aussi être mis au lit avec une bouteille contenant beaucoup de calories.
 
On estime que les bébés de 2 ans buvant encore au biberon courent 30 % plus de risques de souffrir d’obésité à l’âge mentionné, et ce, indépendamment du poids de leur mère, de leur propre poids de naissance et des façons dont ils étaient nourris durant leur petite enfance.
 
La raison en serait que les enfants qui traînent leur biberon auraient plus tendance à ingérer plus de calories que les autres. Par exemple, une petite fille de 24 mois, de taille et de poids moyens, qui s’endort avec un biberon de lait de 8 onces ingérera près de 12 % de son apport calorique quotidien de cette bouteille.

Finalement, éviter le biberon dès que l’enfant fête son premier anniversaire pourrait prévenir l’obésité.