Le chorégraphe et maître de l’émission Révolution Jean-Marc Généreux a décroché tout un contrat : celui de jouer un homme des bois dans la populaire franchise Fort Boyard, qui diffusera sa 32e saison française. Le Journal de Montréal s’est entretenu avec l’animateur, afin d’en apprendre plus sur ce nouvel emploi.
C’est suite à sa participation à Boyard Land, un spin-off de Fort Boyard se déroulant dans un parc d’attractions, que Jean-Marc Généreux a abruptement goûté à la sauce de Fort Boyard. Effectivement, ce dernier avait mentionné quelques restrictions quant aux épreuves qu’il aurait à faire et la production lui a fait faire chacune de ces restrictions. « Je leur ai dit : ‘‘Regardez-moi bien, je ne reviens plus dans vos affaires!’’ Je leur ai dit que la seule façon que je reviendrais, c’est s’ils me font faire un personnage… », raconte-t-il au Journal de Montréal.
Eh bien, son souhait a été exaucé. Jean-Marc Généreux s’est retrouvé dans la peau de Gary Boo, un personnage visitant chacun des plus gros clichés de « l’homme québécois » que les Français s’amusent souvent à dépeindre. Jean-Marc a débuté les tournages de la 32e saison de Fort Boyard le 5 mai dernier. Par contre, le chorégraphe ne fera pas partie de la saison complète de l’émission à cause de conflits d’horaires. « Ils auraient voulu que je passe toute la saison, mais j’ai dû revenir pour le tournage de Révolution 3. Je fonde beaucoup d’espoir pour que le personnage revienne l’an prochain », déclare-t-il.
Cependant, l’animateur et juge a adoré son expérience et en a amplement profité. Il raconte que la journée commence avec 25 minutes de Zodiac pour se rendre au fort, qui est complètement isolé en mer. « J’ai comme l’impression que j’ai vécu un rêve. Je me suis vraiment, vraiment amusé. Il y a une vraie vie sur le fort, l’ambiance est bon enfant, les candidats arrivent et savent qu’ils vont en baver, qu’ils seront obligés de se dépasser », s’exclame-t-il.
Nous devons admettre ressentir une certaine jalousie face à Jean-Marc Généreux, parce qu’on va se le dire, côtoyer le Père Fouras plusieurs jours de suite est un peu notre rêve!